Moi qui n'écris jamais sur les murs de Paris,
n'étant pas coutumier des œuvres qu'on ravale,
je tiens tant bien que mal tout ce que j'ai promis.
C'est toujours pas à pas que se font les scandales
qui renversent les murs au lieu de les salir.
Baroudeurs du micro, maquisards de théâtre,
la recette est fameuse, allez vous enrichir
mais ne m'attendez pas pour essuyer les plâtres.
Lecture du poême "Le bestiaire de Paris" de Bernard DImey