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Les Quarante-cinq tome 0 sur 4

Claude Schopp (Éditeur scientifique)
EAN : 9782221064566
1020 pages
Robert Laffont (12/09/1999)
4.01/5   142 notes
Résumé :
"Les Quarante-Cinq" constitue le troisième volet du grand triptyque que Dumas a consacré à l'histoire de France de la Renaissance.
Il achève le récit de cette décadence de la seigneurie commencé par La Reine Margot et poursuivi avec La Dame de Monsoreau. A cette époque déchirée, tout se joue sur fond de guerre: guerres de Religion, guerres dynastiques, guerres amoureuses. Aussi les héros meurent-ils plus souvent sur l'échafaud que dans leur lit, et les héroïn... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Le roi Henri III est d'humeur sinistre. Il faut reconnaître qu'il a des raisons de l'être ! En cette triste année de 1585, treize ans après le bain de sang de la Saint-Barthélemy, il ne fait pas bon être roi dans une France plus que jamais écartelée par les conflits religieux. A Paris, la ligue, dévote et à la botte du redoutable duc de Guise, contrôle toutes les institutions et voue une haine féroce au monarque qu'elle juge trop peu zélé dans la lutte contre l'ennemi intérieur, les exécrés huguenots. Au nord, le frère cadet du roi, François d'Anjou, tente de se tailler un royaume en soutenant les flamands révoltés contre leurs maîtres espagnols , au risque de déclencher une guerre entre la France et l'empire espagnol. Au sud, Henri de Navarre, le « Renard béarnais », garde soigneusement profil bas et fait des risettes à tout le monde, mais d'inquiétantes rumeurs circulent sur les ambitions du trop ingénieux et trop discret souverain gascon. Comble de malheur pour le pauvre Henri III, Chicot, son fidèle et adroit bouffon qui l'avait si bien servi durant les événements emberlificotés de « La dame de Monsoreau », est mort dans d'étranges circonstances quelques mois plus tôt…

Mais, la chose est bien connue, la tombe n'est chose définitive que pour les niais manquant d'imagination. Et quand on s'appelle Chicot et que l'on a de l'esprit à revendre, on ne reste pas longtemps six pieds sous terre ! Décédé ou pas, le bouffon est donc prêt à prendre à nouveau tous les risques pour protéger son souverain, entre autres espionner la Ligue, mais surtout se rendre en Gascogne pour fouiner dans les affaires d'Henri de Navarre, monarque pour qui Chicot nourrit un certain faible, doublé d'une énorme quantité de suspicion. Mais Chicot n'est pas seul à être revenu miraculeusement du séjour des morts et, dans les rues noires de monde de Paris, deux silhouettes fantomatiques se meuvent : celle de Diane de Méridor, anciennement la dame de Monsoreau, et celle de Rémy le Haudouin, tous les deux décidés à tirer vengeance de François d'Anjou pour le meurtre de leur amant et ami, l'infortuné Bussy.

Troisième tome de la trilogie des Guerres de Religion d'Alexandre Dumas, « Les Quarante-cinq » est également le moins réussi. Non que la période historique décrite ne soit pas fascinante, ni le style du romancier toujours aussi addictif, mais parce que, à vouloir trop en faire, tout décrire, tout montrer, Dumas a trop dispersé ses personnages et son intrigue, créant un sorte de roman-monstre riche en idées ingénieuses et en morceaux de bravoure, mais également en longueurs et en culs-de-sac narratifs agaçants. Les nouveaux personnages sont nombreux mais pour la plupart si peu dignes d'intérêt que je ne me suis même pas donnée la peine de les mentionner dans mon résumé, la palme revenant aux frères Joyeuse, les nouveaux favoris du roi Henri III, tous deux à claquer, quoique dans des registres assez différents. On peut saluer d'ailleurs à nouveau l'incapacité triomphante de Dumas à titrer ses romans : les Quarante-cinq ? Franchement, quels Quarante-cinq ?

Tout est-il donc à jeter ? Meuh, non, voyons ! Comme toujours chez Dumas, on peut toujours extirper du pire fatras quelques pépites qui permettent de sauver l'ensemble. Si les nouveaux protagonistes sont insipides à souhait, les anciens sont toujours aussi sympathiques. J'ai joyeusement couiné de joie en retrouvant mon ami Chicot et sa longue ambassade en Navarre est assurément le meilleur passage du roman – d'un autre côté, étant donné qu'Henri de Navarre était mon personnage préféré de « La Reine Margot » et Chicot celui de « La dame de Monsoreau », on ne s'étonnera pas que leur rencontre équivaut pour moi à un combo de coolitude ! Quelques très belles scènes d'action pendant la Guerre des Flandres et une conclusion dramatique et oppressante à souhait viennent heureusement épicer le tout. L'ensemble donne un roman un peu bâtard au rythme souvent inégal, mais non dénué d'intérêt si l'on s'intéresse à la période évoquée et que l'on souhaite retrouver encore pour quelques centaines de pages les personnages des tomes précédents. Pas un must-read, mais globalement satisfaisant.
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Ce tome clôt la trilogie des Valois (La Reine Margot, La Dame de Monsoreau) : nous retrouvons quelques-uns des personnes du roman précédent, du moins ceux qui ont survécu. Évidemment, quand on lit du « Dumas », il faut mettre de côté l'exigence de vérité historique. Les rois et les princes ayant réellement existé sont revus et corrigés par la plume de l'auteur (ou par Auguste Maquet qui l'aidait à créer ses romans-feuilletons), pour nous proposer des caractères plus ou moins marquants.

Le style de Dumas reste très présent, avec cette faconde si typique et ses dialogues truculents. Certaines trouvailles sont excellentes, et participent au plaisir de lire les histoires de l'écrivain. C'est l'un des rares points positifs de cet ouvrage.

La première remarque qui vient à l'esprit en découvrant cet opus est… que c'est long ! Ce n'est évidemment pas le nombre de pages qui dessert le récit, puisque le roman précédent était aussi un pavé. Mais le lecteur se perd dans une profusion d'arcs narratifs très secondaires et sans grand intérêt, à tel point qu'il a du mal à percevoir l'intrigue principale. Quelle est-elle ? Difficile de la définir. La toile de fond est sans conteste le conflit entre la Royauté et La Ligue, et les maintes tentatives de celle-ci pour prendre le pouvoir. le reste est une accumulation de complots et de manipulations qui mènent les personnages à se méfier les uns des autres et à se piéger dans une atmosphère de suspicion et de faux-semblants.

En lisant ce livre, je n'ai pas pu m'empêcher de penser que certains chapitres n'étaient là que pour remplir des pages, certains microévénements longuement décrits ne se justifiaient que par le paiement à la ligne de l'époque, quand ce type d'histoire paraissait en feuilleton.

On retrouve aussi — et malheureusement — un des défauts majeurs de l'auteur, à savoir les trop fréquentes coïncidences qui sont nécessaires à l'avancée de l'intrigue. le nombre de fois où des personnages se rencontrent par hasard, où ils sont témoins d'une scène qu'ils n'auraient pas dû voir… L'amoncellement en devient presque risible.

Un livre que j'ai eu du mal à terminer !

Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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ENFINNN !!! Fini la Guerre des religions et la Trilogie des Valois avec Dumas !
J'ai pris 74 jours et des poussières pour finir enfin ce livre... Mon Dieu que c'est pas trop tôt !
Est ce que Matthieu à réussi à survivre de cette barbarie, de cette misère sans que les protestants et catholiques prient ensemble la prière divine !
Non j'ai pas survécu je me suis dis clairement un peu ennuyé !
Bah alors Dumas !
Normalement c'était trop bien l'aventure avec toi !
Et là bah j'ai l'impression de tourner en boucle...

Non pas que le livre soit ennuyant en soi mais c'est juste que j'ai trop lu de Dumas au cours de cette année ! Et de l'année dernière il faut s'arrêter un moment ahah !
Je déclare forfait !

Et pourtant j'adore cette période hein mais Dumas c'est toujours trop ce que tu nous fais rahhhh !
Je suis un peu tristounet d'en arriver là mais bon...
J'ai essayé de le finir pour toi Dumas car je n'ai pas voulu abandonner l'affaire !
Mais maintenant je peux écrire ce souvenir pour que les générations soient au courant qu'il y a eu une Guerre !

Ce livre aussi quelle véritable guerre pour le lire ahah !

Dumas maintenant que je te reprend c'est pas avant longtempsssss ! Désolé mon vieux !

Alors que dire est ce que je suis toujours à côté des protestants ?
La Réponse est..............
OUI !

Vive les huguenots !
Vive l'Histoire avec un grand H !
Et vive Dumas malgré tout !

Et vous qu'avez vous pensez de ce livre ?


Sinon j'espère que tous le monde va bien et que votre rentrée ça c'est bien passé !!


Je vous embrasse

Matthieu
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Avec "Les Quarante-Cinq", Alexandre Dumas clôt (provisoirement peut-être) la "Trilogie des Valois", commencée avec "La Reine Margot" et continuée avec "La Dame de Monsoreau". Des trois romans, celui-ci paraît non pas le plus confus, mais le plus dispersé (ce qui n'enlève rien, je vous rassure, à l'intérêt du récit et encore moins au plaisir qu'on prend à le lire).
Plusieurs explications se présentent : d'abord le foisonnement des intrigues : nous sommes toujours en pleine guerre de religion, avec le roi en titre, Henri III, et ses prétendants, Henri duc de Guise, Henri de Navarre (d'où le nom de Guerre des trois Henri) et le propre frère du roi, François d'Alençon. L'histoire se déplace de Paris en Béarn, en passant par Nérac, pour finir dans les Flandres. Sur ce foisonnement politique se calque un foisonnement amoureux : nous retrouvons ici Diane de Méridor, "veuve" de Bussy et décidée à le venger, avec l'aide de Rémy le Haudouin, Diane qui, malgré elle, a attiré l'attention d'Henri du Bouchage, duc de Joyeuse. Parallèlement, Ernauton de Carmainges, l'un des Quarante-cinq ("ordinaires" du roi), est amoureux de la duchesse de Montpensier, soeur des Guise. Les intrigues se croisent. Dumas, à son habitude joue un peu avec les dates et même avec la vraisemblance (le personnage de Rémy déclaré mort dans le roman précédent, est ici ressuscité), mais la sauce prend quand même, grâce à un style toujours époustouflant de vie et de mouvement et par des portraits particulièrement réussis : Chicot, le bouffon du roi (peut-être le véritable héros du roman), Gorenflot, un moine que n'aurait pas renié Rabelais, ou encore le roi de Navarre (futur Henri IV), qui allie bonhomie et intelligence politique... On notera que par contre les portraits des deux jeunes amoureux (Henri du Bouchage et Ernauton de Carmainges) sont stylisés à l'extrême, assez fades.
Est-ce bien la fin de la trilogie ? On peut se poser la question. Il reste encore un haut fait historique à traiter : l'assassinat d'Henri III par Jacques Clément, et la passation du pouvoir à Henri de Navarre. Pourquoi nous présenter le moinillon Jacques Clément qui a un rôle si important à jouer ? de la même façon l'assassinat du duc de Guise par les Quarante-cinq (si peu présents, à part au début, dans le roman qui porte leur nom) aurait pu faire l'objet d'un traitement particulier. Et que deviennent Diane et Rémy, à la fin du roman ? Alexandre Dumas avait-il en tête une suite ? Nul ne le sait. Peut-être un écrivain talentueux se lancera-t-il dans l'aventure... Ou alors un manuscrit inédit... Nous, on aimerait bien...
En complément de la trilogie, le lecteur pourra avec jubilation se reporter à ces autres romans dumasiens de la Renaissance : "Ascanio, ou l'orfèvre du roi" (1843), "Le Page du duc de Savoie (1854)", "L'Horoscope" (1858) ainsi que "Les Deux Diane" (1846) (à noter que ce roman, signé par Dumas, est l'oeuvre du seul Paul Meurice)
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Henri III a perdu ses favoris. Ne lui reste que le moins aimé, D'Epernon, devenu duc et courtisan paresseux. Il se console donc en reportant son affection sur le duc Anne de Joyeuse et son frère Henri.

Pendant ce temps, les Guise, à la tête de la Ligue, n'en finissent pas de comploter et le duc d'Anjou s'est exilé, par la volonté royale, dans les Flandres. C'est alors que d'Epernon a l'idée de recruter 45 gentilshommes gascons pour constituer la garde rapprochée du roi. Parmi eux, le séduisant Arnauton de Carmainges qui tombe amoureux de la terrible duchesse de Montpensier, alliée aux Guise.

Deux personnages importants reparaissent alors à point nommé. Chicot, que l'on croyait mort, et qui, sous le nom de Robert Briquet, continue de servir son roi, et Diane de Meridor, comtesse de Monsoreau, qui ne vit plus que pour venger la mort de son amant. Tandis que Chicot se promène dans les couvents et rend visite à Henri de Navarre, dont les forces grandissent, Diane, aidée du fidèle Rémy, entreprend de rejoindre le duc d'Anjou dans les Flandres. Elle y est suivie par Henri de Joyeuse, éperdument amoureux de la jeune femme, hélas sans espoir de retour.

Henri III, se gardant à la fois des Guise et de son frère François, ourdit ses plans de bataille pour contrer les uns et les autres. Mais le destin de la France tient parfois à un fil capricieux. Diane de Meridor accomplit enfin sa vengeance, et Henri étant le dernier des Valois, devra trancher entre les Guise et Henri de Navarre pour la succession au trône...

Même si ce dernier volet est aussi riche en péripéties et rebondissements que les deux autres volumes, et que l'on prend plaisir à retrouver de vieilles connaissances (Chicot, Diane de Méridor et Rémy le Haudoin, le moine Gorenflot, Henri de Navarre et Margot....), c'est cependant le moins réussi des trois. La raison tient à la multiplication des intrigues et au fait que le roman n'est pas véritablement achevé : Dumas prévoyait une suite, qui ne fut en fait jamais écrite...

Dumas nous fait partager les amours malheureuses de Henri, comte du Bouchage, dédaigné par Diane de Méridor, puis le voyage de celle-ci avec Rémy pour accomplir sa vengeance
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
- Cahors pris ! continua Henri.
- Et de la bonne façon même, dit Chicot.
- Mais il a donc des généraux, des ingénieurs ?
- Nenni, dit Chicot, le Béarnais est trop pauvre ; comment les payerait-il ? Non pas, il fait tout lui-même.
- Et... il se bat ? dit Henri avec une sorte de dédain.
- Te dire qu'il s'y met tout d'abord et d'enthousiasme, non, je n'oserais pas, non : il ressemble à ces gens qui tâtent l'eau avant de se baigner ; il se mouille le bout des doigts dans une petite sueur de mauvais augure, se prépare la poitrine avec quelques mea culpa, le front avec quelques réflexions philosophiques ; cela lui prend les dix premières minutes qui suivent le premier coup de canon, après quoi il donne une tête dans l'action, et nage dans le plomb fondu et dans le feu comme une salamandre.
- Diable ! dit Henri, diable !
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Il avait deux bourses d’argent, car il s'était aperçu que le sachet remis par Sainte-Maline, outre la lettre royale, contenait certains objets arrondis et roulants qui ressemblaient fort a de l'or ou à de l'argent monnayé. Le sachet était une véritable bourse royale, chiffrée de deux H, un brodé dessus, l'autre brodé dessous.
« C'est joli, dit Chicot en considérant la bourse, c'est charmant de la part du roi ! Son nom, ses armes ! On n'est pas plus généreux, et plus stupide ! Décidément, jamais je ne ferai rien de lui. »
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- [...] Mais quel est le nom de la nouvelle maîtresse ?
- Oh ! c’est une belle et forte personne, qui porte une ceinture magnifique, et qui est fort capable de se défendre si on l’attaque.
- Et s’est-elle défendue ?
- Pardieu !
- De sorte que Henri a été repoussé avec perte ?
- D’abord.
- Ah ! ah ! et ensuite ?
- Henri est entêté ; il est revenu à la charge.
- De sorte ?
- De sorte qu’il l’a prise.
- Comment cela ?
- De force.
- De force !
- Oui, avec des pétards.
- Que diable me dis-tu donc là, Chicot ?
- La vérité.
- Des pétards ! et qu’est-ce donc que cette belle que l’on prend avec des pétards ?
- C’est mademoiselle Cahors.
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Quand l'ânon est destaché,
Quand le vin est débouché,
L'ânon dresse son oreille,
Le vin sort de sa bouteille ;
Mais rien n'est si éventé
Que le moine en pleine treille ;
Mais rien n'est si desbâté
Que le moine en liberté.

(Chanson de prédilection de Gorenflot, moine ivrogne et meilleur ami de Chicot, le fou du roi)
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« Monseigneur, interrompit Henri, racontez-moi comment le dieu tutélaire de la France a sauvé Votre Altesse.
- Eh ! cher comte, c'est bien simple, le dieu tutélaire de la France était occupé à autre chose de plus important sans doute en ce moment, de sorte que je me suis sauvé tout seul.
- Et comment cela, monseigneur ?
- Mais à toutes jambes. »
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T : 3:29 - TEMPS - Jean Martet 3:41 - TÊTE - Yves Constantin 3:54 - TOMBE - Xavier Forneret 4:04 - TRAVAIL - Jules Renard 4:19 - TROMPERIE - Sainte-Beuve
V : 4:30 - VALEUR - Marivaux 4:40 - VÉRITÉ - Louise d'Épinay 4:51 - VERTU DES FEMMES - Ninon de Lenclos 4:59 - VIE - Louis Aragon 5:10 - VIE ET MORT - Rastignac 5:22 - VIEILLE FEMME - Charles de Talleyrand-Périgord
5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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