La sérénité ironique de George
Dumézil, affronté à la mort, nous semble incompatible avec l'intuition qui est la sienne d'une absence de sensation, en quelque sorte d'un «néant privé». Sa tranquillité, sa sincérité ne font pourtant aucun doute. Face à l'idée de mort, il est des types humains si différents les uns des autres que l'on comprend mieux le «menu» chrétien, lequel nous propose des types différents d'au-delà. Se pourrait-il que «plusieurs» types de mort existent ? Maintenant que
Dumézil a disparu, nous sommes absurdement tentés de l'interpeller.