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EAN : 9782848051000
117 pages
Sabine Wespieser (25/08/2011)
3.39/5   79 notes
Résumé :

Avec ce court roman en forme d’allégorie, Clara Dupont-Monod confirme l’inscription de son travail littéraire dans la veine des portraits d’exclus et de marginaux. Nestor est comme exilé dans son propre corps.

Il est obèse. Le monde extérieur lui est hostile, les moindres gestes du quotidien sont pour lui une souffrance : depuis longtemps déjà, Nestor ne parvient plus à nouer ses lacets, descendre un escalier est une épreuve et parcourir ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (40) Voir plus Ajouter une critique
3,39

sur 79 notes
Ce roman a été difficile pour moi. La forme est omniprésente au détriment du fond que j'ai eu beaucoup de mal à cerner. Nestor est un homme obèse, qui se rend tous les jours au chevet de sa femme dans le coma. On ignore le drame qui l'a conduit entre deux rives, ni morte ni vivante. Tout comme Nestor qui ne sait plus s'il est vivant ou bien mort, il se réfugie dans les plis de sa chair pour dissimuler les émotions qu'il refuse. Il emmagasine la nourriture pour combler un vide immense. Nestor est seul, il se trouve laid, trop gros, inutile. Alors il erre, la peau pleine de sucre, l'âme pleine d'amertume salée, amère.
C'est un petit roman nageant, coulant sur des eaux noueuses, on nage, on coule, on s'échoue, on respire, on se demande qui est Nestor et où est l'île de l'espoir.
Mitigée donc. La grosse de Françoise Lefèvre, je l'avais dévoré ce roman. Nestor, je l'ai regardé de loin ne sachant comment lui venir en aide, comment l'aimer aussi. L'écriture est un art combien difficile, elle touche à gauche, passe son chemin à droite sans trop savoir pourquoi.
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Nestor est plus que gros.
Il est obèse, à tel point qu'il ne peut lasser ses chaussures.
Et il entretient cette obésité avec des repas conséquents artistiquement préparés.
Son obésité, c'est sa carapace pour lutter contre la mort imminente de sa femme, son exil d'Argentine, les drames de sa vie.
Son armure pour se protéger du monde qu'il n'a plus envie d'affronter.
Avec sa belle écriture, Clara Dupont-Monod nous fait entrer dans l'intimité de Nestor, dans ses tourments.
Il n'est pas spécialement sympathique, mais on s'attache à lui malgré tout.
Il ne se passe pas grand chose dans ce roman, à part les visites quotidiennes de Nestor à sa femme dans le coma.
Pourtant, pas d'ennui en lisant.
Le portrait de cet homme est juste, poignant, dérangeant.
La marginalité, on y est parfois confronté et Nestor nous amène à réfléchir sur notre attitude et nos réactions.
Clara Dupont-Monod ne choisit jamais des sujets mièvres ou ordinaires.
C'est le propre des bons auteurs, surtout quand l'écriture va de paire.
Ici, elle nous propose trois fins possibles.
Je choisis la première qui me semble la plus plausible, la deuxième étant pourtant la plus sympathique pour Nestor.
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Le livre

Nestor est obèse. Il se rend tous les jours au chevet de sa femme, qui est dans le coma. Petit à petit on comprend qu'ils ne s'aimaient plus. Par flash-back on remonte jusqu'au drame à l'origine de ces deux faits – l'obésité et l'éloignement. Mais dans sa solitude, Nestor éveille l'intérêt d'une jeune médecin qui va tenter de le faire sortir de la forteresse de chair derrière laquelle il se retranche.

“Lui, c'était un homme d'excès. Un homme qui n'avait pas peur des outrances, prêt à vivre avec un corps et une mémoire démesurés. Il mangeait trop, dormait en criant, ne passait pas les portes et ne faisait aucun effort pour se lier.”

Mon avis

Dans ce court roman, c'est une part d'humanité que nous dépeint Clara Dupond-Monod, à travers le quotidien de cet homme, ce “gros père” qui est terriblement seul, malheureux et qui se laisse mourir. Car le médecin s'en rend rapidement compte : “En réalité, Nestor dégringolait avec la majesté d'un oiseau suicidaire. Il se laissait glisser, conscient qu'à n'avoir aucune raison de vivre, on n'en a pas non plus pour mourir.”

En effet, c'est un drame qui est à l'origine de cette solitude, de cette tristesse immense qui crée une barrière entre Nestor et les autres, une barrière d'ignorance mutuelle. Une barrière que personne ne franchira, car elle a été forgée en partie par Nestor et son apparence extérieure qui n'appelle que mépris de la part du reste du monde, alors que lui voudrait oublier : “Nestor était maintenant persuadé que l'ignorance des souffrances renforce. Rien de pire que cette stupeur hébétée et la conscience des espaces noirs qui guettent.” Non seulement oublier les gens mais aussi le monde qui l'entoure : “Il fallait échapper à la mémoire des objets pour dormir enfin tranquille.”

Pourtant Nestor ne se résume pas à ça, et c'est le tour de force de Clara Dupond-Monod que de nous le montrer, de nous le faire admettre. Les apparences sont toujours trompeuses. Et page après page, alors qu'on prend connaissance du drame, notre coeur se serre, tout comme celui du médecin qui essaye de le sauver, jusqu'à l'aveu final : “De toute façon, et Alice s'en rendait compte, Nestor rendait les armes. le chagrin remontait en sursauts lents, capable d'anéantir cette masse. Alice assistait au carnage de Nestor, rempli de gémissements et de mises en garde.”

Mais Clara Dupond-Monod ne s'arrête pas sur cette fin que l'on pourrait qualifier de négative et nous propose une fin originale, qui en rend la perspective encore plus intéressante, laissant la clé du récit aux mains du lecteur. Difficile d'analyser plus loin sans tout vous dévoiler.

C'est donc l'histoire terrible d'un être se détruisant lui-même, un homme qui se laisse glisser, sans aucun moyen de se raccrocher au monde, sans main tendue, à cause de son apparence. Un homme à la douleur trop lourde pour avoir le goût de vivre. Un homme que le passé veut rattraper et qui s'y refuse, n'acceptant que l'évocation de son pays, de son bonheur, à travers un phare rouge.

Un récit délicat, fort et bouleversant qui nous fait voir la vie autrement.
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Nestor est énorme, mais délicat. « Il ménageait son corps lourd. Il ne lui demandait jamais d'effort superflu. Peut-être l'aimait-il quand même, cette masse de plis et de rebonds. Avec elle, Nestor se montrait charitable. » (p. 12) Nestor est une masse qui gravite sans satellite. « Mon corps m'éloigne de vous et il me tient chaud. En un mot, il m'isole. C'est un ami et un tyran. Il n'essaie pas de se rendre aimable. » (p. 22 & 23) Ses journées sont rythmées par des repas grandioses aux allures de cérémonies et par des visites mécaniques à l'hôpital. Dans une chambre anonyme, il retrouve Mélina, inconsciente et bardée de machines. Nestor n'a nulle part d'autre où aller. « Son horizon était accroché au mur. C'était une grande photo sous cadre. » (p. 13) La solitude de Nestor s'enroule autour de la photo d'un phare rouge et blanc.
Mais Nestor ne se bat pas. Il ne lutte pas contre la solitude. Il ne lutte pas contre la graisse qui l'envahit. Il ne lutte pas contre la disparition de son épouse. « Mélina meurt et je m'en fous. » (p. 24) Aveu d'impuissance, aveu de lassitude. Nestor rend les armes de la vie, de son couple et il se retire du monde. Incapable d'efforts infimes, il excelle dans un lâcher-prise extraordinaire. « Lui, c'était un homme d'excès. Un homme qui n'avait pas peur des outrances, prêt à vivre avec un corps et une mémoire démesurés. » (p. 81) Nestor voudrait fuir son passé, refouler les souvenirs et éteindre des douleurs incommensurables. Là encore il rend les armes et se laisse glisser vers le néant.
Il y a des peines que l'on voudrait muettes. En n'ouvrant pas les cahiers de Mélina, en ne triant pas les affaire de toute une vie, Nestor espère maintenir le statut quo, ne pas réveiller une conscience qui tend vers l'abrutissement. Mais auprès d'Alice, Nestor se livre, se vide. L'issue ? Il y en a trois : désormais, c'est l'auteure qui refuse de rendre les armes et qui les tend au lecteur pour qu'il continue le combat. Nestor, nous en ferons ce que nous voudrons.
Clara Dupont-Monod m'avait éblouie avec La passion selon Juette. Même effet avec son dernier roman. Nestor rend les armes est un hommage à la pudeur et à la délicatesse. La plume de l'auteure est faite d'un dénuement qui n'empêche pas une fabuleuse puissance d'évocation. On pourrait faire le tour de Nestor avec nos yeux, avec nos bras. On pourrait sentir son odeur grasse et fade. On pourrait lire dans ses yeux la douleur d'une bataille perdue. Nestor se dessine sur les pages, sa chair déborde des lignes et sa peine noie les mots. Mais son corps massif n'est pas écrasant : sa silhouette a l'allure d'une ombre chinoise, d'un dessin d'enfant. Un rien pourrait la souffler.
Ce que nous lisons, ce n'est pas un portrait, c'est une élégie. Poétique et bouleversant jusqu'au sublime, ce court roman ne se dévore pas : il se lit avec pondération, dans le respect d'une peine qui ne peut se dire que par touches.
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C'est donc l'histoire d'un homme, "un homme d'excès".
Cet homme obèse est de ceux qu'on peut croiser, gêné, en détournant le regard, par peur de montrer de la pitié ou de l'incompréhension face à ce qui semble être un laisser-aller. Mais cet homme-là se réfugie dans son obésité, elle lui sert de rempart face à l'adversité de la vie, comme cette photo de phare, seul élément de décoration de sa maison, à laquelle il s'accroche. (pourquoi ?)
" Son horizon était accroché au mur. C'était une grande photo sous cadre. (...) Aucun mur de la maison n'était décoré, sauf dans cette cuisine. le phare avait sa place. Nestor regardait intensément cette photo."
Cet homme-là est en fait un homme de caractère, et il a une histoire, originale, difficile. Argentin chassé de son pays par la dictature, exilé en France, il y a retrouvé et épousé une jeune femme rencontrée lorsqu'il était étudiant. Il était médecin, elle vendait des vêtements. On sent que leur vie était douce, ensemble.
"Jusqu'au drame qui inexorablement les a éloignés l'un de l'autre, au point qu'il finisse enfermé dans la rassurante forteresse de sa propre chair."
Ce drame qu'on pressent mais qui n'est révélé que dans la seconde moitié du livre les a coupés définitivement l'un de l'autre. Et pour se rassurer, se consoler, se protéger de la souffrance et du monde des vivants qu'il ne supporte plus, Nestor s'est donc mis à manger, grossir et va parvenir à son but : se couper du monde.
" Nestor s'était résigné à cet ensemble de règles qui verdit les feuilles, dicte les rencontres, massacre des vies pour en épargner d'autres (....) Il fallait s'y plier. Il n'y avait là rien à chercher, rien à comprendre, et la meilleure parade était encore d'ouvrir un réfrigérateur".
Et tandis que sa femme, Melina, se meurt à l'hôpital, maintenue en vie artificiellement tandis que Nestor semble a priori indifférent, ce dernier redécouvre leur passé par le biais des dossiers, factures, notes qu'il a entrepris de trier.
Il tombe alors sur des cahiers, écrits par Mélina, qui racontent leur vie. Et leur drame. Mais il n'ose les ouvrir...
Un jeune médecin, Alice, touchée par la détresse de Nestor, va se mettre en tête de l'aider contre l'avis de son entourage qui a du mal à la comprendre : “Pourquoi tu t'intéresses autant, à ce gros père ?” avait souri un confrère en se lavant les mains. Alice avait haussé les épaules. Il aurait fallu expliquer qu'à certains moments, une personne valide peut porter en elle l'infirmité de son conjoint. Alors, les soins prodigués à celui qui reste sont ceux qu'on donnerait à sa moitié alitée. Mais elle ne dit rien, et le confrère lui lança un clin d'oeil."
Alice va peu à peu s'immiscer doucement dans la vie de Nestor , "avec tendresse et patience", silencieuse, réalisant qu'il est en train de "rendre les armes".
Jusqu'à ce qu'une nuit...

A partir de là, l'auteure propose trois issues au roman, très différentes mais toutes les trois très belles, "comme s'il était impossible qu'une histoire aussi improbable et bouleversante finisse mal".
J'avoue que ma préférence va à la première, qui se termine sur un très beau paragraphe, et une (mini) chute...


Coup de coeur donc : un très très beau roman, une écriture ciselée et maîtrisée, profonde. Un vrai bijou que cette écriture, poétique par instants, un vocabulaire riche et humain : des phrases qui marquent l'esprit. Et une belle leçon de courage, de tolérance, d'humanité aussi : la pitié laisse place à l'empathie pour Nestor.

" Nestor voulait respirer. Ce souhait minuscule, élémentaire, buttait contre un geste simple que des milliers de gens effectuaient chaque jour. Lasser une paire de chaussures s'ajoutait à une longue liste d'inscousciances interdites. Nestor connaissait ces petites paix auxquelles il n'avait plus accès. (...) Il fallait croire qu'il y avait des élus."
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critiques presse (2)
LePoint
19 octobre 2011
L'écrivaine dresse ici le portrait tout en émotion retenue et en finesse d'un embastillé volontaire au sein de son propre corps. Mais son roman crépusculaire est aussi une ode à ces déserteurs sociaux qui, estimant avoir assez servi dans les combats perdus d'avance de la vie, ont rendu les armes pour trouver asile dans l'isolement.
Lire la critique sur le site : LePoint
Bibliobs
20 septembre 2011
Dans un style sans graisse, où seule l'émotion est généreuse, et avec beaucoup de finesse, Clara Dupont-Monod raconte le pathétique destin de Nestor, échoué dans la vie comme un cétacé à l'agonie sur le rivage des hommes.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
« Il sortit les aliments et les posa sur la table. Il procéda lentement, respectueux d’un protocole secret. Cette cérémonie exigeait du calme. Chaque chose avait sa place. Nestor aménageait l’espace selon un plan invisible. Les œufs, le jambon, le maïs, le saladier de pâtes, les escalopes panées, l’amas de fromages formaient une couronne autour de l’assiette. Le jaune du maïs et le rose du jambon côté fenêtre. Les couleurs venaient en dernier. On ne commençait pas la fête avec un feu d’artifice. Les fromages près des escalopes, deux petites pyramides de beauté granuleuse, aux reflets d’or. Les œufs, lisses et blancs, étaient couchés devant le verre, dont la tige de cristal dominait la table. Son ombre s’allongeait, pareille à une baguette d’orchestre attendant son chef. Sa rayure noire zébrait l’assiette. La reine de porcelaine ouvrait le défilé.

Nestor contempla la scène. Table, tableau. Un sentiment de gratitude l’envahit.

Morceau par morceau, il effaça le spectacle. Il ne saccageait rien. Il terminait. Un repas, c’est la seule chose au monde dont il pouvait décider la fin. Ce qu’il préférait, c’était déglutir. Il y a avait, bien sûr, la mise en bouche, ce moment où la matière rencontre la langue, et la mastication, cette douce destruction, et les saveurs libérée. Mais rien ne valait la sensation de chute au fond de la gorge. Combler, broyer, ingérer. La dernière étape signait la toute-puissance de Nestor. Chaque bouchée l’alourdissait un peu plus. Il imaginait parfois le sol craquer sus son poids et l’avale. L’avaleur avalé, pensa-t-il, et il se resservit.

Lorsque les plats furent vides, il garda les yeux rivés sur le phare. Puis la tristesse s’abattit.

Nestor détourna la tête. Il se souvint qu’un soir, en passant devant le magasin d’électroménager, son œil s’était laissé happer par le damier coloré, mouvant, des dix téléviseurs exhibés en vitrine. Un albatros pataugeait dans une flaque de pétrole. Cette image multipliée par dix, étalée sur un mir entier, semblait ne s’adresser qu’à lui. L’oiseau claudiquait. Pourtant, cette grâce engluée s’offrait sans honte ni humiliation. C’était les autres qui souffraient pour l’oiseau. Lui, il ne voulait qu’avancer. » (page 25)
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Nestor dégringolait avec la majesté d’un oiseau suicidaire. Il se laissait glisser, conscient qu’à n’avoir aucune raison de vivre, on n’en a pas non plus pour mourir. Il flottait. Parfois il se disait que les émotions ne pouvaient plus atteindre son cœur à cause des barrages de graisse à franchir. Alors, pensait-il, il valait mieux ne pas maigrir. Il serait terrassé par une rafale d’émotions enfouies dans ses plis. Il était une boîte fermée.
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Souvent, il s'était demandé pourquoi la solitude n'avait pas son expression corporelle, au même titre que la migraine, qui s'accompagne de nausées, ou la grippe avec ses frissons de fièvre. Il imaginait une pathologie de la solitude, un point de côté, par exemple, une flambée d'acné, des ballonnements gastriques, une infection du foie... quelque chose qui permette de dire : "Je souffre de solitude, le nom d'une maladie très précise dont voici les symptômes."Alors il suffirait d'une ordonnance et de quelques cachets pour que la maladie passe."
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"Elle connaissait le rituel. Elle poserait son menton sur son poing fermé, pour cacher ses ongles. Elle lancerait ses sujets de conversation. Elle les avait notés et mémorisés. Alice ne l'avait jamais révélé à personne : depuis son adolescence, elle appréhendait tellement les autres, et plus encore le tête-à-tête, qu'elle prévoyait les thèmes à aborder. (...)

Le terrain devenait dangereux. Déjà, elle ne s'attendait pas à ce visage un peu cabossé, ni à ce sourire. Alice se terrait au fond d'elle-même, pétrifiée par tant de gentillesse."
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“De toute façon, et Alice s’en rendait compte, Nestor rendait les armes. Le chagrin remontait en sursauts lents, capable d’anéantir cette masse. Alice assistait au carnage de Nestor, rempli de gémissements et de mises en garde.”
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