AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,77

sur 6203 notes
Marguerite Duras nous ressert le couvert d'Un Barrage Contre Le Pacifique en écrivant cette sorte d'addendum trente-cinq ans plus tard, où elle redore le blason de celui qu'elle appelait alors Monsieur Jo et qu'elle ne nomme désormais plus dans L'Amant que "l'homme de Cholen", nous offrant, ce faisant, un genre de pendant à la Lolita de Nabokov, mais raconté du point de vue de la jeune fille.
Avec l'âge, la reconnaissance et la maturité, Marguerite Duras n'éprouve plus le besoin de romancer ou d'aménager ses souvenirs autobiographiques comme dans le Barrage. Ici, elle laisse couler ses souvenirs et ses sensations à la façon du cours paisible du Mékong et nous les livre, non pas bruts, car l'âge aidant, ils sont largement passés au tamis des omissions, des hypertrophies et des embellissements divers mais donnent un réel sentiment d'authenticité, car on sent bien qu'elle ne cherche plus à plaire.
On dirait plutôt un addendum, un testament littéraire sur sa vie à Sadec en Indochine, destiné à ses proches pour quand elle ne sera plus. Aussi, je conseille au lecteur de lire préalablement Un Barrage Contre Le Pacifique, qui est en quelque sorte la pièce maîtresse à laquelle l'auteur souhaite apporter des éclaircissements ou des modifications (notamment le fait qu'à l'époque où elle écrit le Barrage, sa mère et son frère aîné ne sont pas encore morts et elle ne peut donc pas avouer dans le livre ce qu'elle leur a caché durant toute sa vie, d'où le rôle tronqué de Monsieur Jo, qui retrouve ses lettres de noblesse dans L'Amant tandis que son frère Joseph subit, lui, plutôt une rétrogradation et devient moins attachant).
Néanmoins, il faut prévenir le lecteur qu'à aucun moment on ne retrouve la construction et la linéarité d'Un barrage Contre Le Pacifique. L'Amant est une somme de souvenirs souvent pêle-mêle comme notre cerveau les emmêle parfois en oubliant de les classer.
Stylistiquement, ces discontinuités et cette manière de ne pas nommer les personnages principaux engendrent un certain mystère et possèdent un potentiel lyrique et nostalgique indéniable, mais ce n'est là que mon avis, autant dire, pas grand-chose.
Commenter  J’apprécie          1543
J'ai adoré...refermer ce bouquin et passer à autre chose...
Un point commun cependant avec l'auteur , la lassitude profonde suscitée par la vision cinématographique d'Annaud à l'esthétisme outrancier et ennuyeux .
Point de discorde , enfin j'imagine , concernant le style Durassien qui m'a profondément déplu .
D'aucuns argueront que je manque cruellement de sensibilité ! Ça me ferait mal , j'ai adoré la quadrilogie des Rambo , argument imparable s'il en est...

S'il n'avait pas été autobiographique et rendu bien moins lisse par la présence de ce frere ainé traumatisant et de cette mere aux sentiments ambivalents , il est fort possible que je sois passé de l'ennui au coma le plus profond ! Les mots glissaient sur moi tels Balasko sur la poudreuse virginale dans " Les bronzés font du ski " ! Et là , je vous entends déjà me rétorquer : peut-etre que sur un malentendu , c'eut pu plaire ? Que nénni , point d'équivoque à l'horizon...Le constat est là , implacable avec cette impression d'avoir tourner les pages dans le brouillard le plus total...
J'aurais aimé , tel Gabin dans " Quai des brumes " , déclamer en le refermant : t'as de beaux yeux tu sais...Seulement voilà , ces premiers émois amoureux , dans un contexte familial et societal foncierement hostiles , m'ont laissé sur le bas coté . Aucune empathie , aucune adhésion à l'histoire...Malgré des themes interessants , ce livre ne me donna jamais l'impression de passer à coté de quelque chose d'intangible , prix Goncourt ou pas...
Foin de tergiversations , inutile d'en rajouter , ce livre n'était tout simplement pas fait pour moi mais saura certainement , vues les nombreuses ondes positives ressenties à sa lecture par le plus grand nombre , toucher en plein coeur le ou la romantique qui sommeille en vous !
Quant à moi , il ne me reste plus qu'à aller martyriser une nouvelle boite de kleenex devant ce poeme visuel et lyrique qu'était " Rambo 4 " ! J'suis trop sensible tiens..Beuaaaaahhh , Colonel...

L'Amant , histoire d'un rendez-vous manqué...
Commenter  J’apprécie          14715
« L'amant », livre écrit par Marguerite Duras en 1984 a reçu cette même année le prix Goncourt. Édité aux Éditions de Minuit en Juillet 2011, l'ouvrage est très court (137 pages) et se lit d'une traite bien qu'il fasse partie de ces livres qui présente plusieurs facettes.

Première facette, celle d'un amour impossible entre un Chinois richissime qui découvre le corps de Marguerite mais ne peut exprimer ses sentiments qu'à travers la parodie (page 61), Marguerite qui n'est alors qu'une enfant de quinze ans, avec un corps en pleine transformation. Ce Chinois, « l'homme de Cholen », n'aura pas la force de l'aimer, elle, contre son père, ce père Chinois qui obligea son fils à quitter la France alors qu'il y achevait ses études universitaires.

Deuxième facette, celle de la découverte par Marguerite de sa sexualité. Cette initiation amoureuse, Marguerite la vit comme une soif de savoir, une soif d'émotions, un jeu subtil où tout est permis, sans tabous : « c'est à elle de savoir » (page 46). Elle découvre le corps de l'homme de Cholen, mais aussi celui d'Hélène Lagonelle, un corps lourd, innocent, avec des seins à dévorer (page 88).

Troisième facette, celle de l'émancipation. Marguerite a quinze ans. Elle veut aller à la découverte du monde et couper le cordon ombilical avec sa famille. Adolescente, elle agit avec conviction, pleine de certitudes, voulant se mettre à l'écart de sa famille, pour la première fois et pour toujours (page 46). Cette démarche la projette dans le monde des adultes, loin des rêveries enfantines ; elle s'immerge dans une réalité nouvelle, pleine de surprises : se prostitue-t-elle vraiment quand elle couche avec son Chinois ? Elle n'en est pas convaincue, et puis elle ne peut échapper à certaines obligations envers elle-même, à commencer par l'obligation de tracer sa propre route.

Quatrième facette, celle d'une famille pas ordinaire. le père est absent, la mère est accablée, seule avec ses enfants, à savoir un fils ainé, un jeune frère et Marguerite. Cette famille, c'est une histoire commune de ruine et de mort (page 33). La mère hurle dans le désert de sa vie (page 55). le fils ainé est chéri par la mère (« mon fils, c'est mon enfant ») et haï par Marguerite car il dilapide la fortune familiale, vole sa propre mère, viole la domestique et menace son jeune frère. Ignorant Marguerite, il semble souffrir de ne pas pouvoir faire le mal librement (page 72). Marguerite lui préfère son frère cadet, d'ailleurs elle aime danser avec lui (page 66), avec cet attrait qu'exerce le rapprochement des corps. Elle lui portera un amour insensé (page 125). La mère est clairement folle (page 32) ; elle achète des couveuses électriques, y place 600 poussins qu'elle fait griller suite à une fausse manoeuvre ; en hiver, elle fait monter des moutons dans sa chambre. Folle et violente de surcroit : Marguerite, toute petite déjà, était nue et frappée, longtemps, jusqu'au danger, obscur et terrifiant (page 72), car les deux autres enfants ne sont jamais que « les plus jeunes » : le rejet est total, et cette mère -qui sait être intelligente, vive, gaie et d'un naturel incomparable (page 72)- porte en elle beaucoup d'amour et beaucoup de haine.

Cinquième facette, celle d'une Indochine de l'entre deux guerres avec ces Français qui vivent de chasse, de réceptions, de jeux et d'alcool au coeur de Saigon, avec ce pensionnat et ses règles strictes, ces grandes voies à l'américaine, sillonnées par les tramways, ces pousse-pousse, ces cars, ces terrasses qui donnent sur le Mékong, ces plantes vertes, comme mortes de chaleur sous la fournaise (page 54). Les blancs y vivent dans l'opulence et l'indifférence (pour ne pas dire le mépris) envers la population indigène. Ils résident dans des maisons bâties sur des terre-plein, isolées des serpents, des fourmis rouges et des inondations. L'après-midi, on y joue du piano en dégustant le thé apporté par les boys. Chez Marguerite, l'argent manque et les frères ne font rien pour y remédier : coucher avec l'homme de Cholen, c'est le moyen pour Marguerite d'obtenir des diamants, de l'or, du jade, de « sauver les apparences », d'affirmer leur statut de famille française en pleine Indochine, par fierté, par orgueil. L'argent, c'est le moyen de réaliser un rêve : retourner en France.

« L'amant », roman largement autobiographique de Marguerite Duras, plonge le lecteur dans des souvenirs jetés pêlemêle, au fil des pages, avec ce mouvement perpétuel d'allers-retours entre le passé, le présent et le futur. L'atmosphère est riche d'émotions, de mystère et de nostalgie. L'ouvrage, écrit avec sincérité, sans pudeur, avec mélancolie, dans un style, avec une syntaxe et une ponctuation si peu classiques (cf. ma citation), sur un ton lent et décousu, avec une grande économie de mots et des non-dits, laisse pointer, parfois à l'excès, le tragique, le pathos. de l'ennui ? Non point. Sur le ton de la confidence, Marguerite s'observe et dissèque ses émotions, de l'extérieur, résignée, avec calme et persévérance : laissant derrière elle le principal de sa vie, la misère (page 73), elle entrevoit son destin, écrire des livres (page 122). Belle recherche de soi, et bel aboutissement. Je recommande et mets quatre étoiles.
Commenter  J’apprécie          1268
L'amant, un classique de la bibliographie de Marguerite Duras, reste pour moi un merveilleux souvenir de lecture.
Marguerite Duras raconte, toujours avec une écriture fluide et directe, l'amour passionnel qu'elle a eu pour ce chinois, rencontré par hasard dans un bac sur le Mékong. L'histoire se passe dans l'Indochine des années 30, époque encore coloniale, où la différence culturelle et raciale se fait encore sentir.
C'est finalement une rencontre entre deux personnes que tout semble séparer: la classe sociale, les origines et la culture. Pourtant, Marguerite Duras connaitra avec ce chinois un amour passionnel et irraisonné, au vu de la société indochinoise, notamment de sa famille. En effet, cette relation sera très mal perçue par sa mère et son frère et des rapports conflictuels naîtront entre elle et sa famille.
J'ai beaucoup apprécié la façon dont Marguerite Duras raconte ses souvenirs, on ressent beaucoup d'émotion, de romantisme, de poésie et de sensualité dans ses écrits. Elle nous raconte cet amour avec beaucoup de sincérité et sans tabou.
Une passion dévorante qui restera longtemps dans le coeur de Marguerite Duras.
Un roman qui m'a émue et profondément marquée.
Une magnifique rencontre entre ces deux amants et entre Marguerite Duras et moi.
Commenter  J’apprécie          831
Intensément présent à sa blancheur diaphane,
Intensément aligné à ses courbes frémissantes,
Intensément sarclé à ses hanches mouvantes
D'une jeune fille de 15 ans…
sur les rives du Mékong !

Métissage de peau en Indochine en 1930.
La garçonnière!

Elle est là ,
Dans le froissement des draps
Qui plient,
Qui ploient sous la tiédeur des rues de Saigon
Qui rugissent la voilure de l'envie,
Il estime, espère, respire son corps allègrement
pour y nicher son besoin vital d'elle.

L'amant chinois,
Qui contrôle, décale ,s'insinue dans ses chaires,
D'une jeunesse qui s'offre,
S'arrime à sa douceur,
Serpente dans ses sens en éveille,

Elle y dépose son cri,
Déesse exotique d'un instant ,
dans ce corps à corps fusionnel .

Etrange partance pour l'étroite
Prison de ces sentiments sans avenir.

Un richissime chinois déjà promis à une autre !

Juste la possibilité pour elle de cueillir l'instant présent !
Elle devra se détacher,
Briser les liens de ces anneaux d'amour ,
Partir sans se retourner
Sans chaine,
S'envoler,
Disparaitre
Vers cet ailleurs à quai…
Un bateau pour horizon !
Commenter  J’apprécie          8211
Ce roman se comporte comme le ferait une oeuvre
d'art sujette à polémique : On sort du conformisme et du linaire pour préférer un écrit déstructuré dans le temps comme dans la désignation des personnages, des variations de rythme, rapide quand il s'agit de la famille de Marguerite Duras, avec de courtes phrases parfois assassines, et plus lente, peut-être signalant l'apaisement quand elle sort du contexte familial, particulièrement quand elle se souvient de l'amant, avec l'emploi de pronoms ou de substituts pour parler d'elle : la petite fille, ou emploi de la troisième personne du singulier...

Ce roman quasi autobiographique raconte l'histoire d'une femme émancipée, l'histoire d'une liaison sans avenir, l'histoire dune femme qui met une distance entre sa famille et elle-même, une histoire amoureuse, celle des premières expériences sexuelles, celle de l'Indochine française...

Je n'ai toutefois pas apprécié cette littérature, et je me suis demandé si elle devait son succès au snobisme ambiant des réunions littéraires qui faisaient se pâmer les critiques. Je dois avouer que ce roman m'a à la fois agacée et fatiguée, et j'ai vraiment ressenti cet écrit comme une masse d'informations que l'on aurait jeté là pêle-mêle en invitant le lecteur à se servir, à prélever la substantifique moëlle.

Peut-être aurais-je dû commencer par une autre oeuvre de Duras, plus linéaire avant de me plonger dans ce récit. Je crois donc, malgré tout, que tout n'est pas fini entre Duras et moi, je n'ai pas été sensible à ce roman, il faudra que je fasse plus ample connaissance de cette auteure.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
Commenter  J’apprécie          699
Une lecture envoûtante par le style et par le mystère qui entoure la petite fille (quinze ans et demi) et ses pensées. L'amant est moins énigmatique, tout à sa passion pour la jeune fille.
La narratrice évoque ses souvenirs, dans le désordre. le style tient lieu de ligne directrice, j'ai cherché à comprendre à travers les anecdotes qui était cette jeune fille.
L'auteur s'exprime peu sur les sentiments de la petite, c'est au lecteur de recueillir des indices. À lui de saisir la force de la jeune fille, déjà indifférente aux regards que les autres portent sur elle, que ce soit à cause de sa tenue ou à cause de sa conduite scandaleuse pour l'époque : une liaison avec un Chinois plus âgé et très riche. Liaison qui serait tout aussi problématique aujourd'hui, mais ce n'est pas la jeune fille qui en subirait le blâme.
Les dernières pages du livre sont touchantes.

Lien : https://dequoilire.com/laman..
Commenter  J’apprécie          640
Bon ! Peut on prétendre aimer la littérature sans s'être essayé à la lecture du « Nouveau roman » en général et de Marguerite Duras en particulier ? Non, bien sûr.
Voilà, c'est fait ! avec « L'amant », le seul roman de l'auteur présent dans ma bibliothèque, et dont la lecture cent fois repoussée, m'a permis de constater une fois de plus que le « Nouveau roman » n'est pas mon truc… Après Robbe-Grillet, Sarraute, Simon et quelques autres, « L'amant » confirme la tendance.
Le thème : un amour impossible sur fond d'Asie et d'initiation à la sensualité et à la vie. Pas très original… Non. L'originalité tient, comme souvent dans ce genre si particulier du Nouveau Roman, dans la forme ; ici, une structure narrative déconcertante et une syntaxe qui ne l'est pas moins…
Le prix Goncourt viendra récompenser « L'amant » et une adaptation cinématographique viendra couronner son succès auprès du grand public. Même si sa lecture me semble plus aisée que certains ouvrage du genre, mon ressenti reste empreint de perplexité…
Commenter  J’apprécie          615
J'aime beaucoup le style de Marguerite Duras. Des phrases souvent courtes, une syntaxe très particulière qui nous approche au plus près des émotions des personnages. Et cette vision étouffante de la Colonie que l'on retrouve dans « Un barrage contre le Pacifique » et « Le vice-consul » notamment. Cette Indochine dont elle sait nous faire sentir la moiteur, la difficulté de s'intégrer, la métropole restée dans les souvenirs, le colon, le fonctionnaire qui perdent leur âme, les déconvenues de tous ordres… Et les Indigènes en souffrance, eux aussi perdus. C'est toute cette ambiance que Duras nous fait revivre, cet exotisme suranné que partagent toutes les nations colonialistes. Cette intrigue improbable aussi, cette folle passion entre cette adolescente blanche, miséreuse et ce fils de banquier Chinois. On devine les ébats torrides derrière les minces persiennes qui séparent la chambre de l'activité incessante de la rue. Cette touffeur qui recouvre tout. Les corps enlacés. C'est aussi un roman initiatique, la jeune narratrice découvre la vie, l'amour, la passion, et l'argent aussi. Et ce ciel bas, toujours gorgé d'eau qui menace continuellement de se répandre en averses cinglantes. Toute cette ambiance que Marguerite Duras nous dévoile de sa plume magique.
Commenter  J’apprécie          515
Jusqu'ici ma seule rencontre avec l'oeuvre de Marguerite Duras était le film « Hiroshima mon amour » dont elle signait le scénario. Rencontre pas concluante du tout puisque j'ai trouvé ce film insupportable. Je ne suis pourtant pas hostile au cinéma d'auteur, mais « Hiroshima mon amour » m'a profondément ennuyée et même agacée tant il m'a parue maniéré et artificiel. Défauts que j'ai retrouvés dans « l'amant ». En effet, ce roman, pourtant célébrissime et récipiendaire du prix Goncourt, ne m'a pas réconcilié avec Duras. En fait, ce sera même ma dernière tentative avec cette auteure, que ce soit en tant que scénariste ou en tant que romancière.

Il ne se passe rien dans « l'amant » mais parfois le rien peut être passionnant. Ici, le rien est chiant. le récit est totalement désincarné, il n'y a aucune émotion qui le traverse, juste une énumération de faits. Bien qu'il s'agisse de l'évocation d'une passion charnelle, de la découverte de la sexualité et du plaisir, j'ai trouvé qu'il n'y avait aucune sensualité.

Quant au style, il ne m'a pas davantage convaincue. Je n'ai pas été séduite par l'écriture que j'ai trouvé laide. Duras ne cherche jamais é faire beau et je le regrette, c'est quand même bien quand un auteur cherche une forme de beauté dans son écriture. Ce style froid, saccadé et pas ciselé participe au manque d'âme du roman.

Un roman que j'ai trouvé creux, prétentieux et moche. Bref, j'ai détesté.
Commenter  J’apprécie          5016




Lecteurs (26549) Voir plus



Quiz Voir plus

Marguerite DURAS

Quel est le bon titre de sa bibliographie ?

L'Homme assis dans le corridor
L'Homme assis dans le couloir
L'Homme assis dans le boudoir
L'Homme assis dans le fumoir

20 questions
190 lecteurs ont répondu
Thème : Marguerite DurasCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..