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3,73

sur 1688 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ca c'est fait...
Je l'ai enfin fini, et je n'ai rien compris à l'histoire, si histoire il y a.
L'écriture est soutenu du début jusqu'à la fin, sans compter les listes incompréhensibles, illisibles.
Pourtant, j'ai bien aimé l'histoire des rose-croix, templiers, des secrets, du complot, même si je n'ai pas forcément compris de quoi il retournait exactement. Mais la dernière partie m'a laissé perplexe, sur ma faim. Avoir lu tout ce pavé pour ça?
Je le conseil aux avertis, très avertis, avec un dictionnaire sous la main.
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J'aime les policiers qui ont pour base l'Histoire, chercher qui est le coupable en même temps que trouver où est la limite entre le vrai pan historique et ce qui tient de l'imagination de l'auteur. Seulement ce mélange est sensible, un peu trop de l'un nuit à l'équilibre, un peu trop de l'autre et le roman en devient trop long à lire. Et ce même mélange n'est pas à mon goût chez Umberto Eco, il y a trop d'Histoire et pas assez de part fictive, déjà dans le nom de la rose j'avais eu du mal et ça se réitère ici.
Tout n'est pas à jeter, loin de là, j'ai adoré tout l'ésotérisme qui s'y trouve, c'est vraiment le point qui m'a fait apprécier le livre et un de mes domaines de prédilection. J'ai aussi aimé le côté complot, même si c'est du déjà lu, ici au moins on a de l'originalité dans la façon dont s'est traité. le texte est également original dans sa façon d'aborder ses thèmes seulement je les trouve indigestes et très difficile à suivre. L'auteur, bien qu'ayant un certain talent dans la finalité du roman, me noie sous trop d'information, je lui préfère du Dos Santos ou du Loevenbruck qui ont un style plus actuel et plus percutant, sans être avare en détails.

Il y a du bon, du très bon même et du mauvais selon mon point de vue. C'est assurément un bon roman de fond mais sur la forme, il est loin d'avoir un style accessible à tous, le rythme est lent, ce qui me déplaît en général pour ce genre.
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C'est vrai, le livre commence par un inventaire du Conservatoire des Arts et Métiers qui n'est pas des plus captivants. Puis, il se complait dans des descriptions détaillées, abonde de précisions inutiles comme cette page pleine des variations du nom de IHVH.
Puis, c'est la description de l'ordre des Templiers, du mouvement rosicrucien, entrecoupés de celles de cultes afro-brésiliens ou des écrits sur ordinateur d'un des protagonistes. Quelques vagues chassés-croisés amoureux, quelques incursions dans des rites plus ou moins secrets.
Le tout ayant la légèreté d'une charge de chevaliers teutoniques en pleine armure.
Ce flot d'érudition pompeuse agace, épuise au point que l'on a une furieuse envie d'abandonner cette lecture harassante.
Tout finit par se mélanger portant le discrédit sur tous ces mouvements ésotériques sans véritablement chercher à comprendre si certains ont pu être bénéfiques à l'humanité ou pas.
Par exemple la synarchie de Saint Yves d'Alveydre n'est présentée que sous sa perversion complotiste de Vichy pas sous sa forme originelle.
Je n'ai jamais eu ce snobisme qui consiste à reconnaître comme chef d'oeuvre les livres les plus abscons sous prétexte de n'y rien comprendre. Ayant passé une vie à lire des textes d'ésotérisme divers et variés, ce panorama bavard et prétentieux ne m'a strictement rien apporté hormis l'ennui.
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L'ésotérisme n'est franchement pas ma tasse de thé!
Je crois avoir emprunté ce livre autrefois, mais la lecture ne m'avait laissé aucun souvenir, peut être l'avais-je abandonné comme aujourd'hui?
Pourtant les pavés ne me font pas peur et j'avais beaucoup aimé le Nom de la Rose et Baudolino.
Je n'ai vraiment pas accroché à cette logorrhée qui mélange kabbale, pseudoscience et informatique. le logiciel arrive à inverser les lettres et à jouer avec, belle invention! Peut être au début des ordinateurs cela était merveilleux, maintenant nous sommes blasés....J'avais détesté le Da Vinci code, celui ci me fait la même répulsion....
Lien : http://miriampanigel.blog.le..
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C'est le quatrième livre que je lis de cet auteur et j'avoue qu"il m'a médiocrement intéressée. Ce sont toujours les mêmes thèmes qu'il reprend inlassablement et c'est fatigant. J'avais eu du mal à lire "Le Cimetière de Prague" alors que j'avais aimé "Le Nom de la Rose". D'ailleurs, page 498, dans ce livre il évoque l'affaire du cimetière de Prague qu'il développera quelques années plus tard dans un livre éponyme.
Il y a quand même quelques petites trouvailles que j'ai bien aimées. le narrateur se définit comme le Sam Spade de l'édition Marlowe. le narrateur "eut une illumination : (il) avait un métier. (Il) décida de mettre sur pied une agence d'informations culturelles. Comme une espèce de flic du savoir. Au lieu de fourrer le nez dans les bars de nuit et dans les bordels, (il) devait écumer les librairies, bibliothèques, couloirs d'instituts universitaires. Et puis rester dans (son) bureau, les pieds sur la table et un verre en carton avec du whisky monté dans un sac en papier par l'épicier du coin..."
Quand l'auteur parle des éditeurs qui éditent des ACA (auteurs à compte d'auteur) et qui font partie du "Vanity press" soit un chiffre d'affaire très élevé et des dépenses de gestion nulles, j'aime.
Quand l'éditeur dit : "Casaubon, l'édition est un art, pas une science. Ne jouons pas les révolutionnaires, le temps est passé", il touche une corde sensible de ce monde si fermé (mais quand même pas secret ni occulte).
Tout le reste n'est que compilage de textes ésotériques et hermétiques qui m'indiffère.
Les amourettes qui se jouent entre les protagonistes et Lia, Amparo, Lorenza sont vraiment sans grand intérêt également et on voit bien que ce n'est pas l'objet du roman de parler du grand Amour.
Je pense m'arrêter là dans la découverte des écrits d'Umberto Eco. Trop déçue.
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Critique publiée en hommage à Umberto Eco, décédé hier.
J'ai lu le pendule de Foucault, il y a bien longtemps, poussé par l'adaptation cinématographique du Nom de rose par Jean-Jacques Annaud. J'avoue qu'il ne me reste pas grand chose aujourd'hui de cette lecture bien ardue. Une intrigue fouillis et bric à brac autour d'un complot qui se poursuit de siècles en siècles. La localisation à Paris au Panthéon du fameux pendule. le ban et l'arrière ban des sociétés secrètes rameutées par Eco pour corser l'histoire.
Finalement de Eco, je retiendrai un érudit italien, sans doute trop savant pour imaginer des romans linéaires, manifestement aussi bon vivant, et dont le personnage public a fini par devenir personnage de roman dans la Septième fonction du langage de Laurent Binet.
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Le pendule de Foucault a été publié en 1989. Ayant lu récemment des critiques enthousiastes sur ce livre, j'ai eu envie de le lire - enfin. Mais, au bout de quelques dizaines de pages, je me suis rendu à l'évidence: autrefois, j'avais tenté cette même lecture et je n'avais pas fini le roman. Il y a si longtemps de cela que je l'avais oublié ! Eh bien, les mêmes causes ont produit les mêmes effets: je viens d'arrêter ma (nouvelle) lecture.
Certes, Umberto Eco est un écrivain extraordinaire: intelligent, inventif, érudit, habile dans son écriture... Les trois personnages principaux (dont le narrateur, surtout), très ancrés dans leur époque, sont campés avec beaucoup d'humour et m'ont semblé très attachants. Ils se lancent dans une aventure bizarroïde, dont le cours avance d'ailleurs lentement (le suspense est très mou).
Dans ce roman, Eco a décidé de nous promener dans le monde de l'ésotérisme et tous les inévitables poncifs y passent: les Templiers, les Rose-Croix, etc… L'auteur prend plaisir à broder sur ce thème, OK. Cependant, pour le lecteur, des sottises restent des sottises (et je reste poli…). 650 pages de vaines vaticinations, même énoncées au second ou troisième degré, c'est trop pour moi. J'ai donc laissé tomber ce roman, ce qui m'arrive très très rarement.
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Pfiouuuu, que dire...
Le probléme avec cette oeuvre, c'est que j'ai eu beau me débattre comme une diablesse, je n'ai pas réussi ni à la dompter, ni à l'appréhender.
Je ne sais pas si cela vient du style, de la plume d'Umberto Eco, de l'histoire elle-même... j'ai eu un mal fou à suivre la trame et au final, je me demande si je l'ai bien comprise, je n'en suis pas certaine.
Pourtant le thème abordé avait tout pour me séduire, avec son coté ésotérique, l'histoire des templiers et ses mystères.
Il me faut absoluement tenter une seconde oeuvre de cet auteur pourtant mondialement reconnu pour en débattre.
Affaire à suivre
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Enfin !!!
Enfin, j'ai "lu" le Pendule de Foucault.
Encore un bouquin dont je ne comprends pas pourquoi on en fait tout un fromage et qu'en gros, tu l'as pas lu, t'es le dernier des nuls...
Je me suis accrochée jusqu'au bout quand même. Mais je me tâte, alors que je suis hyper matérialiste avec les livres, à savoir si oui ou non je lui fais une place dans ma bibliothèque ou si pour une fois, c'est direct un don dans une ressourcerie.

Et donc, à part le Nom de la Rose, je crois que je n'accroche pas du tout au style d'Umberto Eco.
Ça m'a fait le même effet qu'en lisant Baudolino. Une corvée !

Beaucoup d'érudition, ça c'est sûr, mais alors, c'est quoi l'intérêt exact à part montrer qu'on connaît tout le dico et qu'on est capable de mettre tous ces mots côte à côte ?
De rares courts passages où on se dit "Ah ! Voilà, elle commence l'histoire !" et puis non...

D'un ennui...

Et je crois même que j'ai tellement pas aimé que je n'irais même pas le recommander à mon pire ennemi, si j'en avais un et qu'il me demandait des conseils de lecture (ce qui serait étonnant du coup ;-) ), c'est dire...
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J'ai abandonné la lecture de ce livre à la 57ème page. Je trouve que l'auteur ajoute énormément de références qui freinent ma lecture et m'ôtent tout plaisir. Je préfère le mettre de côté. J'ai trouvé le livre trop verbeux.
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