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3,26

sur 725 notes
bon, j'ai vraiment pas réussi à rentrer dans ce livre.. j'ai insisté, par trois fois....Impossible
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Le peuple n'est qu'une pate a modeler que l'on modèle sur la base d'un modèle idéaliste mais qui a la fin prendra la forme du modèle voulu par des dirigeants modélistes grâce à leurs taupes modèles, en quelque sorte ! Espionnage, vrais faux documents. Ils inventent tant de mensonges que certains deviennent vérités ancrées dans les livres d'histoire. Si l'on devait passer l'histoire au tamis il n'en resterait pas grand-chose. « L'histoire est du vrai qui se déforme et la légende du faux qui s'incarne ». Si vous cherchez l'or du temps en lisant ce livre vous allez être déçu. les Protocoles des sages de Sion, célèbre faux qui incita Hitler à mettre en place l'Holocauste, l'affaire Dreyfus, mais aussi de nombreuses intrigues impliquant les services secrets de plusieurs nations, des loges maçonniques, des conspirations jésuites, ainsi que d'autres épisodes. le cimetière de Prague est un lieu réel ou se déroulera une réunion fictive de laquelle sortiront de vrais faux documents aux conséquences lourdes. Sur la meme lancée le scandale du fiasco du canal de Panama fut rapidement oublié grâce a une manifestation estudiantine magistralement orchestré par les dirigeants. Méfiez vous de la presse !deuxième richesse après l'or, selon Umberto Eco.
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Le roman est basé sur les événements politiques qui se sont passés en Europe au XIX° siècle. le titre évoque un lieu, le cimetière de Prague, où l'auteur a situé les rencontres hypothétiques qui auraient eu lieu entre des dirigeants sionistes (Sages de Sion) pour ourdir, en sous main, un complot international leur permettant d'accéder au pouvoir grâce à l'argent. le personnage central est imaginaire, les faits qu'il traverse sont historiques.
Nous sommes transportés depuis l'unité de l'Italie (1860), à la Commune de Paris et le début de l'affaire Dreyfus et nous découvrons les conspirations ourdies par les renseignements piémontais, français, prussien et russe. Ce roman compliqué, tortueux avec des méandres, des va et vient nous fait comprendre comment s'est installé l'antisémitisme en Europe, au XIX° siècle.
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Une fois n'est pas coutume, je n'ai pas du tout accroché à ce roman, moi qui attendais le nouvel Eco avec impatience. Pourtant tous les thèmes chers à l'auteur sont présents, le mode de narration anti-linéaire au possible, le foisonnement d'idées, l'érudition... Alors à quoi est-ce dû? Peut-être simplement au fait d'avoir choisi comme narrateur un personnage si profondément détestable que je n'ai absolument pas pu m'intéresser à ses aventures et mésaventures. de façon générale, j'apprécie les anti-héros, mais point trop n'en faut. Celui-ci est franchement repoussant, trop pour qu'on aime le détester.
J'espère vraiment que si de nouveaux romans naissent sous la plume pleine de verve d'Eco, ils renouent avec le Nom de la rose ou le Pendule de Foucault dont je n'ai pas retrouvé l'excellence dans les dernières oeuvres.
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A une époque où l'idée de conspiration (re)gagne du terrain, voici un roman salutaire. Comme toujours, chez Eco, l'intrigue est placée dans un contexte historique terriblement bien documenté, et l'on voit sous nos yeux se créer une conspiration sous la plume d'un faussaire.
C'est terriblement bien écrit, dense, et passionnant.
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A part "le nom de la rose", j'ai déjà été déçu par cet auteur. Je confirme avec ce livre où je n'ai pas tout compris. Il y a deux récits qui se croisent et des phrases qui n'en finissent pas.
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D'habitude je suis fan d'Umberto Eco. Mais celui-là, je l'ai abandonné, à peu près au milieu. Je n'ai rien à redire sur l'écriture en elle même. Simonini est effectivement abject, et j'ai trouvé dur de rentrer dans ses pensées racistes, même sachant qu'il s'agit d'un roman, ça soulève le coeur, en tout cas le mien ! Ce qui fait que je n'ai pas accroché ce sont tous ces détails politiques et ces récits de campagne pour unifier l'Italie. C'est écrit comme si on connaissait ces événements, avec détails. L'intrigue a peu de place à côté, et j'ai attendu désespérément les aspects mystérieux ou ésotériques décrits dans la 4eme de couverture... Je m'attendais à du suspense façon Nom de la rose, auquel il est comparé. Mais que nenni... Parfois il faut savoir renoncer...
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Le quatrième de couverture de ce livre paru en 2010 induit le lecteur en erreur en plaçant le Cimetière de Prague dans la droite lignée du Nom de la Rose. En réalité, cette sixième production romanesque a bien plus de points communs avec le Pendule de Foucault, fabuleux roman traitant avec maestria d'un complot universel des Templiers. Il est question dans le Cimetière de Prague d'un complot imaginaire : celle de Juifs réunis un soir dans un cimetière de Prague et se mettant d'accord pour dominer le monde. Un thème hautement sulfureux qui a fait polémique en Italie. le narrateur principal, Simon Simonini, brillant faussaire et antisémite notoire, raconte son travail de rédacteur qui aboutira à "l'évangile" antisémite des Protocoles des Sages de Sion. À la fois extraits de journaux intimes et de lettres, cette production littéraire s'apparente aux romans-feuilletons du XIXe siècle. Bien plus baroque que dans ses livres précédents, et non sans audace, Umberto Eco multiplie chausse-trappes, fausses pistes destinées à perdre le lecteur (qui est qui ?), conspirations fumeuses mettant en scène jésuites, franc-maçons, sectes diaboliques et d'authentiques personnages historiques (Alexandre Dumas, Garibaldi, Dreyfus ou le jeune Sigmund Freud). Un roman intéressant qui n'est sans doute pas le meilleur de notre plus brillant écrivain européen mais qui a le mérite de démonter avec talent la manière dont se créent des légendes comme celle des Protocoles de Sion.
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En général je suis un amateur des livres d'Umberto Ecco mais j'avoue que là je suis septique. La description du XIX ème siècle à travers la vue d'un schizophrène complexé ? L'antisémitisme poussé à son extrême doublé de diatribes véhémentes contre les Francs-Maçon , l'église, en fait tout y passe.
Un texte un peu embrouillé, d'une lecture pas très facile. Non, là j'avoue, Monsieur Ecco je suis déçus.
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J'ai trouvé ce livre dérangeant et négatif. J'ai arrêté sa lecture après une centaine de pages. Dès les premières pages, j'ai détesté le personnage principal, un piémontais qui déteste tout : les femmes, les étrangers, les francs-maçons, les juifs... Les histoires qu'il raconte sont incompréhensibles. Aucun plaisir de lecture - je ferme vite - peut-être pas assez vite - et je passe à autre chose de plus valorisant et moins prise de tête.
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