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Quelle horreur! J'appréciais de plus en plus la plume d'Åke EDWARDSON mais là il est retombé dans les travers de ses débuts. Deux enquêtes parallèles qui auraient pû être intéressantes mais qui sont noyées dans un verbiage inutile et totalement incompréhensible. Des états d'âme, des réflexions à n'en plus finir, des sauts de la Suède à l'Ecosse qui rendent le récit confus. Et que dire de la fin?! Décevante! Rien n'est résolu, tout n'est que conjecture des enquêteurs qui ont l'air, en plus, d'accepter avec philosophie de ne jamais avoir le fin mot de l'histoire.
Je vais continuer la série, ne serait-ce que pour suivre la vie privée des héros, mais j'espère que les suivants seront meilleurs.
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Bienvenue en Suède, les environs de Göteborg.
On y mange du fromage de Bretagne ! Euh ......
Une petite précision, la Bretagne n'est pas une région productrice de fromage remarquable, bon d'accord nous sommes le premier producteur de ce qui se nomme emmenthal ou gruyère râpé !
Indispensable pour agrémenter les nouilles ou les coquillettes mais en aucun cas un exemple digne de passer les frontières et d'atteindre la postérité.
(Même si, je vais ménager la susceptibilité de certains producteurs qui s'efforcent de produire d'autres fromages du cru qui peuvent être très bon, leur diffusion reste très confidentielle.)
Bienvenue en Suède.
Dans ce pays où Ikea a été inventé, où les gens peuvent s'inventer leur univers grâce à des cartons plats.

Ballade en Ecosse.
Découverte au pays du whisky le Glenfarclas, (qui signifie « Vallée de l'herbe verte »), aujourd'hui l'une des dernières distilleries familiales.
Ce breuvage est il l'un des meilleurs ?
Je ne saurais le dire, je n'aime pas le whisky !
Découvrir la Royal National Mission to Deep Sea Fishermen, la Mission des pêcheurs (également connue sous le nom de Mission nationale royale aux pêcheurs de haute mer - RNMDSF) créée en 1881 pour fournir une aide pratique et un soutien spirituel, en offrant de la nourriture et des fournitures médicales aux pêcheurs pendant qu'ils travaillaient, essayant d'alléger les conditions de vie terribles à bord.
Cela m'a rappelé une institution bretonne "l'abri du marin".
(Les abris du marin sont des lieux d'hébergement créés par Jacques de Thézac au début du XXe siècle dans des ports de Cornouaille, au bénéfice des marins en escale, trop souvent contraints à passer tout ce temps dans les tavernes du port. le premier abri est construit au Guilvinec en 1900, le dernier à Saint Guénolé en 1952.)

Livre long, il s'étire entre Göteborg et Inverness d'un côté et entre Göteborg et le Burkina Faso de l'autre.
Il est parsemé d'extrait de Macbeth fil conducteur, bof ces histoires de Jésus sous forme d'incantations qui certes trouveront pour partie leurs explications ne m'ont pas vraiment semblé indispensables.
Bonne description de la culture écossaise avec sa boisson nationale whisky et beer !
Bonne balade dans l'archipel de Göteborg qui n'a pas grand chose à envier à celui de Stockholm si on en croit l'auteur !
Il va falloir envisager bientôt une visite de ces environs pour vérifier ses dires.

Roman d'été qui nous permet de nous étirer sur notre drap de plage, de profiter du soleil et si on a raté la lecture d'une page pour cause de somnolence, ce n'est pas vraiment grave , on comprendra quand même la suite de l'histoire !
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Deux enquêtes (parfois avec quelques longueurs) qui s'entremêlent tout au long de ces 528 pages, bien qu'il n'y ait aucun point commun entre les deux. Il n'est pas évident pour Aneta Djanali et son collègue Fredrick Halters de sauver malgré elle une malheureuse victime de violences conjugales, signalée à la police par une voisine. Pourtant, ils persistent, ne renoncent pas, et cette enquête les entraînera sur des pistes inattendues…
Erik Winter, lui, ne peut ignorer l'appel de Johanna Osvald, une ancienne liaison qu'il avait connue vingt ans auparavant, au cours d'un voyage en Ecosse. Son père a disparu. Il est parti brusquement après avoir reçu un message, et il ne donne plus de nouvelles à ses enfants. Impossible de ne pas faire le lien avec la disparition du grand-père, au cours d'une partie de pêche, pendant la guerre.
Il décide de l'aider, d'autant plus qu'il connaît un policier écossais, Steve Macdonald. Erik va rejoindre son ami à Inverness pour tenter de résoudre cette énigme et de retrouver le pêcheur disparu.
Entre le récit des différents évènements liés aux deux enquêtes, s'intercalent les pages consacrées à l'errance d'un personnage. On ignore qui il est, on n'en aura la certitude que dans les toutes dernières pages !
Pour illustrer les états d'âme de nos inspecteurs, beaucoup de musique! Les musiciens qu'ils aiment, les refrains qui traînent dans leurs têtes. Gabin Désiré. Les Pink Floyd. Coltrane. Miles Davis. George Harrison… Quel regret que le livre ne soit pas sonore! J'en ai été réduite à consulter YouTube de temps à autre pour mieux me plonger dans l'ambiance !
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Ça me laisse froid


Je ne voulais pas revoir l'équipe de Goteborg. J'avais raison et c'est laborieusement que je suis venu à bout de 500 pages presque sans intérêt à mon goût. Il me semble maintenant que, très emballé par le premier que j'aie lu, "Danse avec l'ange", mon goût pour Ake Edwardson a assez vite faibli. Je l'ai déjà écrit, j'avais dit adieu au commissaire Winter, devenu "Winter of my displeasure", merci Shakespeare. L'écriture me paraît particulièrement plan-plan, les boulevards et rues de Goteborg, surabondamment cités, m'ont passablement endormi. Et puis les histoires, je les trouve interchangeables, très série télé, pas désagréables mais me privant de lire autre chose et le temps nous est compté. Il ne suffit pas pour nous faire sentir le noir de Goteborg, deuxième ville de Suède, d'aligner les itinéraires des flics soigneusement formatés, du veuf à l'immigrée d'Afrique, et l'on pourrait multiplier les exemples.

Ce n'est pas non plus parce qu'on cite Miles Davis ou Coltrane ou les Doors que la pulsation du roman "confectionné" adopte un tempo jazz qui touche au coeur. On est loin du compte. Dans "Voile de pierre" Erik Winter retrouve un collègue écossais d'où la touche sociale sur la crise de la pêche en Mer du Nord. Dans "Voile de pierre", violences conjugales pour bien nous faire comprendre que ce n'est pas une spécificité latine. Dans "Voile de pierre", recherche du père et du grand-père qui, devinez, n'était pas forcément celui que vous croyez. Il y a tout cela dans "Voile de pierre" comme partout ailleurs. Exit donc le modèle suédois mais ça on avait crû le comprendre déjà.

Au revoir commissaire Winter. Ake Edwardson lui-même avait dit l'abandonner. Puis je crois qu'il a changé d'avis. Libre à lui. Moi aussi j'avais tiré ma révérence à l'équipe de Goteborg. J'ai changé d'avis, j'ai eu tort. Mais il y a d'autres auteurs là-haut comme nous le disent les autres participants de cette littérature...
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Voile de pierre est le 5° volume de la série Winter. On retrouve tous les personnages de la série, cela permet de voir leur évolution. Mais il y a trop de personnages autour de Winter, s'intéresser à leur devenir ralentit l'intrigue policière voire la rend inexistante.
Je n'ai pas retrouvé ce qui avait pu m'intéresser dans les premiers volumes. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de verbiages. L'intrigue est peut être trop alambiquée.

Même l'évolution de Winter ne me semble plus aussi intéressante que dans les précédents volumes, pour moi l'intrigue passait au second plan, je voulais savoir s'il allait emménager avec sa copine, s'ils allaient avoir un enfant.
Je ne vais pas dire que j'ai été déçu car j'avais senti une baisse de régime dans le précédent. Mais c'est dommage qu'il n'y ait pas eu d'amélioration.
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j'ai été très pertubée par la confusion qui règne dans ce livre : plusieurs histoires qui sont sensées s'imbriquer, mais qui ne font qu'empècher la compréhension de l'énigme principale. Et que dire de la traduction : certains paragraphes sont incompréhensibles tellement ils sont mal traduits !
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Déçue par ce livre, alors que les 3 précédents m'avaient conquise...
Problèmes de traduction, avec des répétitions et des néologiqmes.
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Voile de Pierre est le 4eme livre de la série de Eric WINTER que j'ai lu; Je dois reconnaître que celui-ci m'a paru encore plus compliqué que ceux lus précédemment (chambre n°10 , ce doux pays, le dernier hiver). les deux enquêtes compliquées qui s'entremêlent font que l'on a du mal parfois à "ré"entrer dans l'histoire ; A ces deux enquêtes :le fils disparu à la recherche de son père et les violences conjugales viennent ajouter les vies privées des différents commissaires et inspecteurs, ceux qui sont concernés par les deux enquêtes (WINTER, ANETA DJANALI er HALDER mais également les problèmes de BERGENHEM ; lui il recherche les meubles volés.
difficile de résumer les 526 pages de ce roman.

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Ce roman policier suédois ne surfe pas sur le succès de Millenium car l'auteur était traduit en français bien avant.
Deux affaires s'entrecroisent dans ce roman policier : la disparition d'un homme d'une soixantaine d'années parti en Ecosse sur les traces de son père disparu lui-même là-bas lorsque le fils était tout petit. C'est le commissaire Erik Winter qui prend en charge cette disparition troublante, puisque précédée d'un message étrange qui suggère que le père n'est peut-être pas mort dans un naufrage comme tout le monde le croyait. Erik Winter part donc enquêter sur les terres de Macbeth et du monstre du Loch Ness.
Sa collègue Aneta Djanali, à Göteborg, s'occupe d'un drame de violences conjugales qui n'en est pas forcément un : « Rien n'est ce qu'il semble être » est le message commun à ces deux affaires.
L'atmosphère du roman est alourdie par de mystérieux chapitres en flash-back nous transposant les pensées d'un personnage inconnu et trouble. Les enquêtes se déroulent un peu paresseusement, à un rythme plus vraisemblable que dans la plupart des thrillers et polars, un rythme assez estival, même si celui-ci se déroule en octobre. le roman est un peu long à démarrer, le temps que se remettent en place les vies privées des enquêteurs de ce commissariat de Göteborg, et pour cette raison, je vous conseillerais, si vous n'avez encore lu aucun roman d'Åke Edwardson de commencer par le premier : Danse avec l'ange que j'ai trouvé excellent, ainsi que Ombre et soleil.
Lien : https://lettresexpres.wordpr..
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Pas mal, mais il y a beaucoup de dialogues avec des sous-entendus, au second degré qui sont difficiles à comprendre. Cela caractérise aussi les autres tomes de la série
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