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EAN : 9791030200744
152 pages
Fauves (22/11/2017)
3.5/5   6 notes
Résumé :
Le jeune Randy est né dans une rue pouilleuse du Bronx. Ses parents ayant péri dans un braquage foireux, il est élevé par sa grand-mère, qui lui procure amour et sagesse à défaut d'argent. À la mort de cette dernière, il reçoit pour tout héritage le numéro de téléphone d'un oncle richissime sorti de nulle part. En échange d'une grosse somme d'argent, celui-ci l'engage pour une mission très spéciale. Afin de tenir la promesse faite à son aïeule bien-aimée, il accepte... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
A Chaque Masse Critique, j'essaie de faire une sélection minutieuse, de bien choisir les livres que j'aimerais lire. Pas de sélection sévère car finalement, je me laisse souvent tenter par une intuition, une expression, une couverture... et cela a souvent porté ses fruits.

Ne me demandez plus pourquoi j'ai demandé « Arrête ! » de Jane Eland. Je ne le sais plus.
C'est un roman qui me laisse perplexe. Je suis partagée, je l'ai lu très vite, son style est très abordable et il est court (166 pages), il se dévore mais je reste sur une frustration certaine…

L'histoire est bien racontée, on progresse dans l'univers de Randy via des rendez-vous entre Randy, figure de proue du roman et les autres protagonistes.
Randy n'est pas un meneur; il est souvent au mauvais endroit au mauvais moment et se fait entraîner par des comparses. le livre raconte la spirale qui l'entraîne vers le fond.
Si au début, l'auteur prend le temps de mettre son personnage en place, la fin est rapide comme l'eau qui coule au fond de la bonde. Le scénario devient par moment du grand n'importe quoi.
Je n'ai pas été tenue en haleine, je n'ai pas palpité. Sans plus.
Merci aux Éditions Fauves et à Masse Critique de m'avoir donné l'occasion de lire "Arrête !"
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Ce roman m'a fait penser à un « Go Fast », ces voitures qui remontent à toute allure d'Espagne pour livrer la drogue contenue dans leur coffre !

Dès qu'on est installé au volant des premières pages, on continue la route même si on devine au fur et à mesure que la destination finale ne sera pas agréable.

Le héros de ce court roman (160 pages) a été élevé par sa grand-mère dans le Bronx après le décès de ses parents, tués par la police lors d'un braquage. Mais Randy a été élevé dans le droit chemin et avec beaucoup d'amour par la vieille dame malgré les difficultés financières et la misère ambiante.

Ce n'est qu'au décès de cette dernière et grâce à une lettre qu'elle lui a laissée que le jeune homme apprendra l'existence d'un oncle paternel, homme d'affaires ayant apparemment très bien réussi.

Déboussolé par la disparition de celle qui l'a élevé, il prendra contact avec son oncle.

Et là, on a envie de lui dire : « Non, Randy, n'y va pas …. Arrête ! Ne va pas te fourrer dans cette galère « .

Mais bon, nous ne sommes que les lecteurs et n'avons aucun pouvoir sur les destinées des personnages et parfois, c'est dommage !

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Mauvaise pioche que ce roman qui accumule les clichés dans une vaine tentative de mériter son nom de roman noir. L'écriture n'est pas désagréable mais le roman souffre de deux défauts majeurs : un problème de construction (faire des chapitres courts n'a jamais rendu un roman haletant). Beaucoup de personnages plus ou moins caricaturaux (plutôt plus que moins d'ailleurs) se débattent dans des chapitres qui sont souvent dépourvus de ligne conductrice. Bref, un flop en ce qui me concerne.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Randy était fasciné par les mains de son hôte, des mains puissantes, brutales. Le bijou précieux qui enserrait son index droit paraissait incongru. Ramon Valdez avait beau se contrôler, une animalité dure traversait parfois un geste, un regard.
Randy évoquait les mains d'un étrangleur.
En polissant et en vernissant les ongles de ces mains effrayantes, l’experte manucure avait créé un contraste qui mettait mal à l'aise l'interlocuteur, décontenancé par le voisinage de la main d'un bûcheron, et les ongles d'une femme oisive et raffinée.
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