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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Cette première approche d'un roman d'Ellory a été une très belle surprise. Si le thème des tueurs en série peut avoir un goût de déjà-vu, l'auteur a su rendre le tout original et addictif. J'ai particulièrement apprécié le mélange réel-fiction, mixture qui fonctionne à merveille!

Si vous appréciez les histoires un peu glauques et bien sombres, ce livre est fait pour vous!
Lien : http://apoka-lipstik.blogspo..
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Je vous ai déjà parlé de mon amour inconditionnel pour les romans de R.J. Ellory, et cette fois-ci ne sera pas la dernière, vous êtes prévenus. Pour moi, tout a commencé avec la lecture du fantastique Seul le silence qui m'a happé dès les premières lignes. Un vrai chef-d'oeuvre !

J'ai lu ensuite Les Anges de New York et Les Anonymes qui – s'ils sont un peu moins bien que Seul le silence – sont vraiment excellents.

En passant dans une chouette librairie à Guérande lors d'un petit week-end, je n'ai pas pu m'empêcher de repartir avec Les Assassins. Un Ellory, c'est déjà le bonheur, mais un Ellory qui parle de tueurs en série, il me le fallait absolument !

Les Assassins est absolument génial. Vraiment. Et captivant.

Plusieurs meurtres sont commis à New York sans liens apparents, jusqu'au jour où un documentaliste du City Herald met à jour une effroyable coïncidence entre tous ces crimes : il s'agit de reconstitutions de meurtres commis par des tueurs en série (le Zodiac, Ted Bundy…) reproduits à des dates anniversaires. Mais comment arrêter un tueur qui change constamment d'identité et de modus operandi ?

L'inspecteur Ray Irving va traquer ce tueur aux mille visages, avec l'aide du documentaliste John Costello et de Karen Langley, journaliste au City Herald.

John Costello est un personnage étrange, qui a survécu à l'attaque d'un tueur en série lorsqu'il avait seize ans. Depuis, il semble atteint d'hypermnésie, c'est-à-dire qu'il n'oublie rien. Ses recherches sur les serial-killers en font un allié précieux pour Irving. Et un personnage atypique et particulièrement attachant. Ce que j'aime chez Ellory, c'est que ses romans sont sombres et noirs et pourtant les personnages sont vraiment lumineux, touchants, humains. Les Assassins ne fait pas exception à la règle. J'ai adoré John Costello et Ray Irving. Karen Langley aussi.

L'intrigue nous amène dans un monde inquiétant – et avouons-le – plutôt fascinant. En tout cas, si vous vous lancez dans cette lecture, sachez que vous aurez peut-être, comme moi, toutes les difficultés du monde à lâcher ce roman. Mais n'est-ce pas ce qui fait la qualité d'un thriller ?
Lien : http://mademoisellemaeve.wor..
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New York, la ville de tous les possibles. La ville de l'impossible, de l'improbable, de l'incompréhensible. Ray Irving, inspecteur du n°4, l'un des nombreux commissariats de New York, aime sa ville, son terrain de jeux, ses menus larcins mais aussi ses crimes les plus horribles. Nous sommes en 2006. Ray Irving est pétri d'habitudes, même restaurant pour le déjeuner, le dîner, pas de surprises ni d'imprévus dans cette vie de policier ordinaire. Ce jour-là il est envoyé sur le lieu d'un crime peu commun dans un parc ou une jeune fille est retrouvée assassinée par des jumeaux innocents. Peu commun car aucun indice ne permet de lui donner une quelconque piste sérieuse afin de trouver le coupable. Les parents sont hors de cause et désespérés. Il n'y a aucune trace sur les lieux du crime. L'enquête piétine jusqu'à ce qu'un deuxième crime soit commis et délégué à un autre commissariat. A première vue les crimes ne sont pas liés, pas le même mode opératoire, pas les mêmes victimes, pas de signature pour ces crimes. Irving et les autres inspecteurs piétinent et mènent leurs enquêtes chacun de leur côté quand une troisième affaire éclate puis une quatrième… cette dernière étant de nouveau dévolue à Irving…. C'est à ce moment qu'une journaliste se fait connaître de Ray Irving par l'ébauche d'un article à paraître dans laquelle est prétend que ces crimes sont l'oeuvre d'un seul et même individu qui reproduit des crimes de tueurs en série ayant déjà sévis aux mêmes dates et dans les mêmes circonstances. de là s'engage pour Irving, la journaliste et son enquêteur à l'origine de cette découverte, une course poursuite afin d'arrêter l'un des tueurs en série les plus sadiques que New York est porté. New York, la ville où tout est presque possible.
Un prologue de 50 pages, une description des crimes et une psychologie des personnes prenantes, un train d'enfer pour ce roman de R.J Ellory qui nous emmène dans les recoins les plus troubles de l'esprit humain. S'intéressant à un autre aspect de ces tueurs particulièrement sadiques Ellory nous montre que la plus grande menace qui pèse sur l'être humain est bien l'être humain lui même.
Depuis son premier succès Seul le silence, Ellory nous propose une nouvelle fois un page-turner d'une incroyable efficacité. On cherche avec Irving à tout mettre en oeuvre pour libérer New York de ce monstre. le suspense est présent jusqu'à la dernière page. Lorsque le livre est ouvert, impossible de le refermer.
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Sur dix-huit mille meurtres par an aux États-Unis, seulement deux cents sont le fait de tueurs en série."
John Costello, du haut de ses presque 17 ans, vit sa première histoire d'amour avec Nadia McGowan, l'avenir est devant eux, la vie leur sourit, mais c'est sans compter sur leur rencontre avec le Marteau de Dieu ... Nadia mourra sur le coup, John sera le seul survivant de ce serial-killer, survivant n'est pas un vain mot ...
Vingt-deux ans plus tard, à New York, quatre homicides sont commis en quinze jours, rien ne semble les relier, rien n'indique qu'on a à faire à un tueur en série, les modes opératoires sont différents, et pourtant, un homme va relier ses meurtres les uns aux autres, chacun d'eux ayant été commis à la date "anniversaire" d'un meurtre passé, au détail près : âge des victimes, mise en scène, jusqu'aux vêtements !
Cet homme n'est autre que John Costello, devenu documentaliste au City Herald, John qui ne se met jamais en avant, qui vit dans l'ombre, voire comme une ombre, qui jamais ne dévie de ses habitudes ...
Contre toute attente, il va accepter de collaborer avec l'inspecteur Ray Irving !

Pour moi, lire RJ Ellory, c'est toujours l'assurance de passer un très bon moment, de prendre véritablement mon pied, et de souffrir, beaucoup souffrir ;)
Roger a cette plume qui n'appartient qu'à lui, quand je le lis, je sais que c'est lui, il a sa voix propre, à l'instar du Maître King, ce sont les deux seuls auteurs à avoir leur voix si particulière et reconnaissable entre toutes.
Une fois encore Roger m'a embarquée dans son monde, cruel, pessimiste, où tout espoir de beauté et de bonté semble vain, notre monde actuel en quelque sorte !
Plus qu'un roman, une fois encore on en apprend énormément , ici sur les serial-killers, on sent les connaissances de l'auteur, le travail de recherche qui rendent ce roman encore plus prenant et addictif.
J'ai adoré le duo Irving/Costello, avec un immense coup de coeur pour ce dernier, un personnage qui m'a touchée, qui m'a émue et me hantera longtemps !!
Je ne sors jamais indemne d'un roman de Roger, mais, fuck, j'adore ça
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Le 1er livre de cet auteur que je lis. Il est très ... intrigant, direct, saisissant. L'auteur rentre dans la tête des serial killers ou du moins essaie de nous expliquer ce qui leur passe par la tête tout en nous montrant le côté humain et attachant de l'inspecteur Irving et Costello, ces derniers ayant perdu des êtres chers. N'hésitez pas.
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Le 23 novembre 1984, à Jersey City, John Costello a seize ans quand il est victime, en compagnie de sa petite amie, d'un tueur en série surnommé le Marteau de Dieu. John est gravement blessé mais vivant alors que Nadia n'a pas la même chance. Vingt-deux ans plus tard, en 2006, John vit en solitaire, travaille comme enquêteur pour un journal new-yorkais et est une véritable encyclopédie vivante sur les tueurs en série. C'est lui qui remarque les similitudes entre plusieurs meurtres commis à New York depuis le mois de juin et dont les enquêtes sont attribuées à différents commissariats de la ville : il semblerait qu'un seul et unique tueur s'évertue à reproduire des scènes de crime de tueurs en série célèbres. Ray Irving, l'inspecteur en charge du premier crime, celui d'une jeune fille de quinze ans, va devoir faire équipe avec John pour retrouver le monstre qui sévit dans l'ombre …
J'avais ce titre dans ma PAL depuis un moment car je l'avais acheté en VO mais c'est finalement en version française que je l'ai lu car il fait partie des romans à lire dans le cadre d'un de mes clubs de lecture (et puis, je n'ai pas réussi à retrouver rapidement mon exemplaire en anglais parmi les dizaines de piles de livres chez moi !). L'auteur est un auteur que j'apprécie beaucoup, même si certains de ses romans m'ont mois plu que d'autres et en plus, je suis loin d'avoir lu tout ce qu'il a produit. Mais là, vu que ça parle de tueurs en série, je ne pouvais pas passer à côté ! Bon, l'idée d'avoir un copycat qui reproduit des meurtres d'autres tueurs en série, ce n'est pas nouveau et ça a été utilisé plusieurs fois mais Ellory a le talent de mettre en scène son histoire. Tout d'abord, il ne va pas forcément faire « revivre » les meurtres des tueurs les plus connus comme Bundy ou Dahmer. Il en met un ou deux célèbres et d'autres moins connus, ce que j'ai trouvé intéressant car cela m'a fait travailler la mémoire dans certains cas (et pour certains, j'avoue que je ne connaissais pas ou alors j'avais carrément oublié). Mais surtout, l'auteur est très doué pour créer des personnages attachants, un peu décalés, un peu en dehors de la société, seuls, pas toujours très joyeux mais pour lesquels on a tout de suite des sentiments. Il les place dans une histoire à l'atmosphère sombre, lourde, particulière … le même genre d'ambiance que j'ai trouvé dans « Seul le silence » ou « Les neuf cercles » et qui me plait vraiment beaucoup car elle ne se retrouve dans aucun autre polar. Les chapitres sont assez courts mais pas trop, ce qui donne un bon rythme de lecture sans évoquer une quelconque technique typique des romans policiers américains (certains sont basés sur des chapitres de quatre ou cinq pages maximum). L'enquête ne mise pas sur l'action mais sur la réflexion, l'étude des indices, de la psychologie des tueurs, sur les liens qu'on peut faire et j'avoue qu'on ne sait pas où tout cela va mener et qu'il n'est pas facile de le deviner avant le final où tout s'accélère et où il est impossible de lâcher le livre. D'ailleurs, hier soir, j'ai éteint à 3h45 tellement j'étais absorbée par l'histoire et je me suis jetée sur le livre ce matin pour le terminer … cela faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé avec un polar ! Alors oui, c'est un coup de coeur sans hésitation !!!!!
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Excellent. J'ai a-do-ré !
Multiples meurtres, angoisse et suspens au rdv. À la fin du livre, on se croirait vivre la scène tellement c'est prenant, très bien décrit. L'un des meilleurs romans policiers que j'ai lus ! Il fera partie de mes incontournables.
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Ce livre est une vraie bombe, impossible de le lâcher. En fait, ce qui m'a surtout étonnée dans ce livre, c'est que l'on parle d'un serial killer qui reproduit des meurtres d'autres serial killers mais ce n'est pas un thriller méga rythmé. Malgré le nombre élevé de victimes, l'enquête prend le temps de se dérouler. A mon avis, c'est surement pour renforcer le fait que l'enquête est menée réellement par un seul policier, Ray Irving secondé d'un documentaliste et d'une journaliste. Il est vrai qu'il est difficile de mener une enquête à 100 à l'heure avec aussi peu d'effectif.

Si vous êtes passionnés (ou bien « fortement intéressés » on va dire parce que dans ce contexte « passionnés » risque de faire bizarre) par les serial killers, jetez-vous sur ce roman. A chaque fois, je ne pouvais pas m'empêcher d'essayer de retrouver quel serial killer avait été copié et quel serait le suivant sur base des indices semés par le serial writer RJ Ellory. On sent par là que le livre a été préparé et documenté. Et ça, ça me plait.

Les personnages sont vraiment attachants et vrais. Les victimes, avec qui on fait connaissance un peu avant leur meurtre, nous donnent envie de tout faire pour les sauver. Cela m'a même fait verser quelques larmes de savoir que l'issue serait inévitable, surtout pour les deux derniers meurtres (ceux qui ont lu le livre comprendront). A la fin, j'avais l'impression d'être dans le même état d'esprit que les personnages principaux, de ne pas être ressortie indemne de cette enquête.

En conclusion, c'est le deuxième RJ Ellory que je lis et je suis toujours aussi conquise. Un auteur à surveiller de très près donc!
Lien : https://worldofvoz.com/2017/..
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R.J Ellory réussit une nouvelle fois à surprendre, à captiver et à angoisser avec ce nouveau roman. Pourtant, la tâche n'est pas aisée tant la liste de romans sur les serial killers est incroyablement longue. Si les chapitres consacrés aux premiers meurtres sont parfois un peu difficiles à lire tant le nombre d'informations et de noms à enregistrer est important, le reste est très facile à lire et surtout il rend accro. Une belle performance pour Ellory qui arrive encore une fois à nous plonger avec brio dans les tréfonds de l'âme humaine, les vices de la société américaine, et nous livre ici un roman noir d'exception. Je le recommande à tous, et bien entendu à tous les amoureux de polars !
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Vous aimez les polars lus en vous enfermant à double tour, les tueurs en série, les policiers dépassés mais tenaces, les intrigues haletantes qui évitent l'écueil du rebondissement à la mords-moi le noeud ? Ne cherchez plus.

Vous allez croiser ici quelques-uns des pires tordus d'Amérique, vous demander si le Zodiaque est encore vivant ou si Bundy a fait des petits. J'ai adoré ce nouveau roman d'Ellory, ce mélange de fiction et de réalité - parce que bon sang, le gaillard semble avoir mené de sacrées recherches sur les tueurs dont il convoque le souvenir (peut-être vaut-il mieux, d'ailleurs, éviter de trop le contrarier, il doit avoir une fameuse dose de meurtres parfaits en réserve, là). Ce roman m'a rappelé, plusieurs fois, un ouvrage lu il y a plusieurs années, rédigé par un ancien profiler du FBI (et dont, naturellement, je n'ai plus la moindre idée ni du titre, ni de l'auteur); le genre qui vous met mal à l'aise devant les atrocités dont l'homme est capable mais que vous continuez à lire, par une sorte de fascination (malsaine, oui, sans doute), vous disant que d'autres hommes ont été capables, eux, d'affronter ça, d'entrer dans ces esprits tordus, et d'y mettre un terme... parfois. Bref, c'est un peu ça que j'ai retrouvé dans les passages ici consacrés aux affaires anciennes, entre modus operandi, motivations et enquêtes.

Mais reprenons du début.

Ce début qui, après un moment d'interrogation du style "Où veut-il donc aller?" et surtout "Il ne va quand même pas nous faire tout le roman avec ce procédé éculé de l'instrusion dans la tête d'un gars?", s'avère être une introduction vraiment réussie, distillant l'angoisse et la faisant monter crescendo jusqu'à la scène qu'on attend tout en ayant peur de la voir venir.

Et après... Après un bond dans le temps de 20 ans, de nouveaux meurtres ont lieu, si différents les uns des autres que personne ne fait le lien, sauf John Costello. Cet homme, ayant survécu lui-même à un tueur en série, les connait. Il en a même une connaissance encyclopédique, presque compulsive, et pour le coup carrément inquiétante. Au point qu'il est le seul à pouvoir aider l'inspecteur en charge de ces affaires. Ellory nous plonge alors dans un roman de plus en plus noir, dont la violence n'est naturellement pas absente. Mais, à l'inverse de certains romans qui me mettent franchement mal à l'aise, en raison de leur côté violent et glauque totalement gratuit, on perçoit ici rapidement le sens de toutes ces scènes. Et personnellement (je vous l'ai sans doute déjà dit), la violence, si fort soit-elle, me semble acceptable (sur le plan littéraire, bien sûr!) lors qu'elle a une bonne raison d'exister, lorsqu'elle sert l'histoire. Je peux alors la lire, l'affronter, frissonner, m'effrayer. D'ailleurs, ce n'est pas le meurtre lors duquel le coupable fait preuve du plus d'achernement et de cruauté qui s'est avéré être le plus insupportable. Non, c'est par un passage, relaté tout en émotions, en attente, en angoisse et en appréhension que l'Ellory m'a, personnellement, mise au tapis.

Alors, oui, certains y trouveront de la lenteur ou des longueurs. C'est clair que c'est un roman qui prend son temps, qui avance petit à petit dans l'angoisse, mais c'est justement ça qui est bon. Si l'insistance sur les détails concernant les victimes, les noms, les dates, peut donner l'impression de faire traîner le récit, j'y vois (outre un intérêt narratif, parce que c'est quand même ce qui permet de comprendre et peut-être de prédire ce que le tueur est en train de faire) une façon de se rappeler qu'au-delà de ces tueurs devenus célèbres et dont tout le monde connaît les noms et les oeuvres, il y a aussi et surtout des victimes qui se sont comme effacées des mémoires et auxquelles Ellory, à travers John, redonne une existence.

Si l'ensemble n'est pas dénué de quelques clichés (le flic, fatalement solitaire) et faiblesses (le personnage de la journaliste est, pour moi, juste imbuvable dans ses réactions), il n'en reste pas moins un roman captivant et intéressant dans son volet non fictionnel; un roman qui m'a totalement ferrée dès les premières pages et que j'ai été incapable de reposer avant le mot de la fin. Fin que, tout en me disant après coup "Bon sang mais bien sûr!", je n'ai absolument pas vue venir, contrairement à ce qui arrive trop souvent avec ce genre de récit (et on sait à quel point ça m'énerve, parfois). Bref, un très bon roman, et je salue l'excellente idée qu'a eu Sonatine d'éditer enfin en français ce manuscrit paru en VO en 2009.
Lien : http://margueritelit.canalbl..
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