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3,3

sur 863 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Encore un sommet d'érudition publié abusivement et malhonnêtement dans la catégorie des Romans. C'est une THÈSE racontée sous formes de mémoires. Paradoxalement, ce récit d'un insomniaque est puissamment soporifique. Ce qui est ici raconté n'est certes pas sans intérêt. Simplement, c'est comme une valise trop pleine sur laquelle il faut s'asseoir pour parvenir à la fermer : c'est plein à craquer.
En quelques mots, la thèse démontre très efficacement et solidement l'Histoire des relations entre un Orient et un Occident qui s'attirent et se repoussent tout à la fois, où chacun existe par rapport à l'autre dans des apports féconds allant dans les deux sens et se construit par l'image que lui renvoie l'autre. C'est donc un livre éminemment académique au sujet grand, noble et vaste. Mais ce n'est pas un roman ! Par moments, on oscille même entre la thèse et le journalisme.
Je me suis fait violence pour aller au bout de ce calvaire de lecture. Les phrases se délaient détestablement. L'auteur a quelque difficulté avec la ponctuation : trop de virgules ; pas assez de points ; pas de point d'interrogation à la fin des questions. Il use de digressions allant à l'emporte-pièce. Quant au caractère hypnotique de ce « roman », il est dû à la grande longueur des phrases : on se perd dans un dédale de détails tout engraissés dans une syntaxe pâteuse. Il y a cependant quelques images poétiques beaucoup trop rares disséminées entre celles de mauvais goût : la première page, celle de la description de la façon de fumer l'opium et la scène d'amour (enfin) assouvi, entre autres, sont réellement poétiques ; la description de la société iranienne est très intéressante. Mais dans l'ensemble, l'effet hypnotique est obtenu plus par saturation que par la qualité des images.
Les jugements de valeur musicaux me soûlent et ne m'enivrent pas. Les activités du voisinage me rasent. Une masse de détails parfois polluants m'incite plus d'une fois à laisser tomber ce livre gangrené par les digressions. C'est une logorrhée écrite vomissant des anecdotes ad nauseam. C'est une mélasse encombrée de tableaux surchargés et fugaces, un tas d'anecdotes assenées à la mitrailleuse. On apprend certes des choses mais la lourdeur et le foisonnement font que ça glisse devant les yeux et qu'on a hâte d'abréger cet état d'engourdissement qui confine à l'anesthésie. Bien que je n'en aie jamais fumé, j'ai l'impression de ressentir l'épaisseur de la fumée lourde de l'opium encombrer mon cerveau.
La littérature est actuellement si pauvre qu'on porte aux nues des livres denses et pleins de matière mais dénués de mesure. On ne raconte plus d'histoires ; il n'y a plus d'intrigue ni d'actions. Il n'y a plus que des observateurs sentencieux et désenchantés qui n'expriment qu'une mélancolie vaporeuse, le tout avec une maladresse crasse. Il n'y a plus aucune subtilité, plus aucune finesse. Et comme le laid met en valeur le beau par effet de contraste, le foisonnement est ici mis en valeur par l'indigence de ses voisins sur les étagères des librairies.
On écrit les phrases exactement comme elles viennent à l'esprit ; on ne se relit pas ; on déverse sa logorrhée et on décrète que le travail est fini. On croit par trop au mythe de la noblesse du premier jet exprimant sa sacro-sainte spontanéité. Ce n'est pas ça qui fait une oeuvre. N'en déplaise à M. Pierre Assouline pour qui ce bouquin, qui ne passera sûrement pas à la postérité, est un « Grand livre ». Enard aurait mieux fait d'élaborer une « Anthologie de l'Orient vu par l'Occident » ou un « Tristes tropiques » en version orientale. Dans ce cas, c'aurait peut-être été un grand livre.
Un bouquin qui vous plombe à ce point et qui est de plus encensé par la critique a de quoi rendre pessimiste sur l'état de ce pays. On essaie de nous faire passer du plomb pour de l'or.
J'ai même vu un parallèle établi avec les Mille et Une Nuits. Sérieusement, avez-vous lu les Mille et Une Nuits pour oser une telle comparaison ? Dans ces contes arabes, il y a des histoires, des intrigues, des actions, de l'émerveillement. On n'y est pas assommé durant presque 400 pages par le vagabondage mental d'un gars malade chouineur et plein de regrets. Les Mille et Une Nuits suscitent le rêve véritable tandis qu'ici ce ne sont que souvenirs amers, décousus et parfois morbides. On dirait un long gémissement qui prélude à l'agonie du narrateur. C'est étouffant !
Ce bouquin ne fait pas honneur à la littérature. Simplement, son sujet est brûlant d'actualité et ce critère pèse lourd dans les considérations des sélections pour les prix littéraires. Leur choix n'étant pas illimité et le talent si rare de nos jours, ils récompensent le meilleur livre par défaut, c'est-à-dire le moins mauvais et celui-ci a toutes ses chances.
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Déboussolé ou désorienté ? C'est presque le même sens, non ? Boussole, c'est justement le titre du dernier Goncourt qui nous transporte sur un tapis volant vers l'Orient. Pourquoi dit-on désorienté d'ailleurs puisque c'est le nord et non l'est que l'on perd habituellement, n'est-ce pas ? Sauf chez Mathias Enard dont la boussole indique systématiquement l'est. Mon Dieu, que ceci est troublant. le roman du natif de Niort (une ville qui n'incite guère à la méditation orientaliste, pourtant) a été disséqué, loué et (parfois) critiqué. Qu'il mérite ou non le Goncourt n'a franchement pas d'importance, qu'il soit lisible ou non en a bien davantage. Il s'agirait d'un roman, donc. Oui, si l'on veut, l'acception du terme est devenue tellement large. Rêverie aurait été plus conforme à ce qu'est le livre. Mais attention, au sens songe éveillé, au coeur d'une nuit insomniaque quand les souvenirs se bousculent et se chevauchent, dans un savant désordre. Ainsi est Boussole, un voyage dans le passé du narrateur, musicologue orientaliste, en petite forme il faut le dire, miné par un diagnostic médical pessimiste, et qui remonte la piste de sa mémoire au gré d'un temps élastique qui brouille les repères. Et le lecteur est déboussolé, désorienté par le caractère hétéroclite de ses confidences où la figure de la belle Sarah s'impose comme un fil d'Ariane. Devant cette somme érudite, le lecteur est déboussolé, désorienté. Non que l'on s'attendait à un roman linéaire mais tout de même. L'esprit d'Enard navigue entre Istanbul, Damas et Téhéran, revient à Vienne, s'emballe pour Beethoven ou Mahler, s'arrête sur des anecdotes glanées en terre inconnue, évoque des conversations et des aventures où Sarah, toujours Sarah, joue un rôle majeur (ou pas). Maelström inarrêtable ! Boussole enchaîne les scènes dans une cavale effrénée, disserte à l'envi sur l'influence de l'Orient dans les écrits, la peinture ou la musique de l'Occident. Attendez, c'est un roman ou un essai ? Les deux, mon jeune Enard. Les deux. Il y a franchement de quoi finir assommé par cette accumulation savante et historique. Trop d'érudition tue la concentration ? Il est monstrueux, ce livre, et demande des efforts quasi surhumains pour le terminer. C'est de la littérature, là n'est pas la question. Est-elle lisible ? Dans l'ensemble, oui, mais à doses homéopathiques. Touffu, Boussole est comme un repas trop riche en calories. Ce n'est pas qu'on le trouve mauvais, loin de là, il est même très souvent goûteux. Mais l'indigestion guette le convive avec ce repas tellement riche de mots et de références. Désorienté, vraiment ? Rassasié dès les hors d'oeuvre, plutôt, et l'estomac bien lourd au bout du bout du livre, s'il a la patience et l'appétit pour y parvenir.
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Les caravansérails étaient essaimés tous les trente kilomètres sur la route de la soie, un âne en tête de convoi lisait le chemin, choisissant, selon sa propre inclination, la pente la plus douce, évitant les ronces, facilitant la lente progression des bêtes et des hommes qui serpentaient pendant des heures, acheminant les marchandises pour le commerce ainsi que literie et nourriture ; un voyage prenait des mois voire des années, toutes et tous n'en reviendraient pas indemnes, peut-être aucun ?

Encore fallait-il ne pas se perdre en traversant toutes ces contrées d'autant plus étranges qu'étrangères, toujours plus à l'Est, le dépaysement s'ajoutant au dépaysement, rarement mais parfois hostiles, ou encore balayées par une onde de violence surgissant en bande, soudain comme une nuée d'orage que l'on ne pouvait jamais exclure ni s' hasarder à prévoir. le temps était un fameux anesthésiant, sinon l'opium !

Etait-ce l'attrait de l'inconnu ou du danger, l'éloignement, l'isolement avec soi-même, la vraie rencontre d'autant plus espérée qu'improbable, ou encore courir après la fortune qui ne sourit, on le sait, qu'aux audacieux ? Quelque chose fascinait certains Occidentaux au point de les attirer comme un aimant pour devancer le lever du jour, et toujours l'envie de raconter, en ces temps précurseurs, par l'écrit, la musique, la peinture et d'autres souvenirs, façonnait peu à peu le visage de cet Orient fantasmé dans la mémoire collective.

Je me souviens avoir rencontré la charmante amie qui m'a prêté ce livre, ayant lu une trentaine de pages, et lui lâcher tout à trac ma première impression : c'est très littéraire ! Peut-être suis-je allé jusqu'à lui confier, mais rien n'est moins sûr, ma mémoire est parfois incertaine à la fin d'un repas bien arrosé et cette nouvelle tendance à fatiguer au vu de récentes circonstances sur lesquelles il est inutile de s'attarder, la route promet d'être longue ... : j'ai dû relire certaines phrases.

Très littéraire : trop propre, trop lisse, trop scolaire, sans faute, sans faille pour s'échapper. Ma lecture me donne de suite la sensation d'une partition exempte de pauses et de soupirs, point de rondes, très peu de blanches, trop de croches pour que je m'accroche. de l'air ! Trop de tout, trop propre, et surtout, trop de noms propres. le vent l'emportera ... A quoi bon associer tant de noms célèbres ou connus seulement d'un tout petit nombre. Que cachent-ils ? Ah, mais qui voilà ? Bettina Brentano von Arnim ? Cette bimbo qui courait dans l'immortalité de Milan Kundera après toutes les célébrités de son époque dans l'espoir d'accroître ainsi sa propre notoriété. Est-ce cela Monsieur ?

Sinon c'est l'histoire d'un mec qui dort ou plutôt ne dort pas et nous assomme de son insomnie, je la trouve beaucoup moins percutante que celle de l'histoire de ce mec qui racontait l'histoire d'un mec ; particulièrement égocentrique aussi, elle m'aura apporté bien moins de chaleur que les restos du coeur. Je reste donc sur ma faim après avoir rêvé Sarah flamboyante, au soleil levant, aux yeux que j'imagine couleur d'Irlande. Les yeux de l'Orient je les ai, quant à eux, rencontrés près de Ouarzazate au Maroc, soit d'après les oscillations du pendule de Tournesol, un peu plus à l'Ouest que le château de Moulinsart. Quant à cette caravane, j'ai dû l'avoir rêvée, lâchant le livre des mains, bercé par la chanson de Raphaël.
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Calvaire littéraire donc je suis assez heureux (et même fier) d'être arrivé à bout, grace à une persévéance de tous les instants. Je dois avouer que si je n'avais pas eu à ma disposition la version audio (lue par l'auteur lui-même, et fort bien d'ailleurs), je n'aurais pas eu la force mentale de surmonter la fatigue hypnotique qu'impose ce texte, bourré de références savantes.

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J'avais pensé qu'après la tentative avortée de lecture de ce roman , la voix de l'écrivain lui-même apporterait une autre dimension à Boussole .
Mais je dois bien constater que le ton monocorde de Mathias Enard n'incite pas à la jouissance du texte .
Certes, c'est très érudit mais l'histoire du musicologue autrichien vieillissant , fumeur d'opium et insomniaque est assommante , il faut bien se l'avouer !

Pourtant les évocations d'Istanbul, de Damas ou de Téhéran font rêver mais c'est un Orient du XIX ème siècle, voir même parfois du siècle précédent , celui qu'ont sublimé tant de musiciens et d'écrivains que l'auteur énumère souvent en longues listes savantes .

Pensées jetées parfois sans suite, comme celles effectivement que l'on mène lorsque l'on cherche le sommeil mais que le lecteur a du mal à suivre , l'esprit s'égare vers d'autres rivages ...

Comme une antienne le vieil homme évoque sa relation avec Sarah , femme fascinante , muse de ce Franz Ritter , elle vient nous ouvrir les portes de cet Orient du passé, passerelle entre deux mondes qui se cherchent et se fuient comme des amoureux querelleurs .

La pérégrination des idées aurait pu être plus simple, plus linéaire sans détourner l'attention du lecteur vers des détails sur la vie de personnes dont il n'a jamais entendu parler et dont il n'entendra plus jamais parler sans que cela présente un réel intérêt et j'abandonne avec un sentiment de frustration !

Je finirai en remerciant les Editions Audiolib et Masse Critique .
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A Vienne, Franz Ritter, tout seul chez lui et inquiet des résultats à venir des analyses médicales effectuées en journée, passe une nuit blanche à se remémorer sa relation avec Sarah et ses voyages en Orient...

Abécédaire appréciatif de Boussole sans phrase ou presque :

Affecté
Babillard
Culte féminin (osef)
Digressif
Erudit abusif
Fastidieux
Goncourt (pourquoi)
Horripilant
Invariable (auteur)
J-en-peux-plus (S.O.S)
K.-O.
Lourd
Musicalité (insuivable)
Non merci
Orientalisme (prétexte)
Pompeux
Quatre-vingt-une pages (suffisant)
Ronflant (2 sens)
Soporifique
Traînant
Usant
Vain
Week-ends (à épargner)
XXX (tout mais pas ça)
Y en a tellement d'autres.
Zappez.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Boussole est un texte érudit, passionnant, épuisant.

La surabondance de noms propres et de références musicales, littéraires, politiques, nous laisse à peine reprendre notre souffle. On ne peut qualifier ce texte de roman, mais plutôt de plongée abrupte dans les connaissances de l'auteur. Et même si on y glane des anecdotes parfois amusantes (tel ce vieil iranien gardien de musée resté fidèle à Hitler), parfois glaçantes, le plaisir de lecture se trouve considérablement amoindri de cette avalanche d'informations.

On regrette que les caractères du narrateur et de Sarah, la femme qui vient hanter sa nuit d'insomnie au cours de laquelle tous ses souvenirs reviennent à la surface, ne soient qu'effleurés, révélés en creux à travers leurs conversations de haute volée.

Ce texte mérite d'être lu, mais attention, une bonne dose de calme et de concentration est nécessaire pour se plonger dans l'atmosphère orientaliste de Boussole. Cet effort sera néanmoins récompensé par une sensation d'ailleurs et par une percée dans le mystère oriental qui a fasciné tant d'artistes européens.
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J'aurais aimé vous dire que j'ai adoré cette errance intérieur de Franz Ritter, musicologue autrichien trop sage. Inféodé à sa Maman, il a pourtant parcouru l'Orient, d'Istanbul à Damas ou Téhéran, frayé, dans la réalité et dans les livres, avec les orientalistes les plus illustres, passés ou contemporains, à commencer par l'insaisissable Sarah dont la fascination hante cette nuit hallucinée. Tout au long de ces dix heures d'insomnie, menacé par une maladie mortelle à laquelle il oppose un fatalisme plein d'humour, il se vautre dans une jouissance tant érudite que sensuelle de l'érudition et de l'amour, dans un délice noir et torturé qui rappelle celui du fumeur d'opium .

Cette narration débordante, intelligente, obsessionnelle, cache un homme-enfant qui n'a su s'ouvrir à l'amour, et qui voit arriver tout à la fois la fin de sa vie et la fin d'une époque. de Vienne, première porte ouverte sur l'Orient, il assiste, faute de fondations , à l'effondrement d'un rêve : l'Occident fasciné par l'Orient . L'Occident ayant tellement déchu que l'Orient se défend de lui, maintenant, et s'émancipe dans un rejet dont la violence est terrifiante.

Projet séduisant, magnifique, érudit, brillant. Mais c'est trop. Beaucoup trop. Même pour les mélomanes. Même pour les passionnés d'Orient.

Enard s'écoute écrire, écumant, logorrhéique, démesuré. Il se laisser aller au name-dropping ( qui a certes plus de classe avec Liszt et Wagner qu'avec Pujadas et Beigbeder), s'emporte dans des anecdotes dont l'accumulation sature, multiplie les personnages, les entrées, les péripéties, se perd sur des chemins détournés. Il y a de nombreux moments magiques, des atmosphères torrides ou drôles, des épisodes passionnants, de splendides phrases à rallonge, mais cette accumulation devient fatras orgiaque et envahissant, on est totalement submergé, l'indigestion arrive peu à peu (très vite à vrai dire) et l'intérêt se perd pour ce qui se voulait un trésor chatoyant et n'est qu'un capharnaüm irrespirable .

Je regrette , je regrette beaucoup car de nombreux passages m'ont plu voire emportée, que cette nuit d'insomnie comme écrin à ce noir désespoir était une idée assez géniale, mais ces joyaux ont été totalement noyés comme par un tsunami. Je regrette aussi parce que Mathias Enard a écrit avant des romans magnifiques, où il avait su mettre des limites à sa démesure.
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L"académie des Fourchettes (chez Drouant) a couronné cette compilation qui tient davantage de la recherche pseudo-encyclopédique que de la fonction romanesque et de ses Codes. Erudit, mais rien n'y palpite.
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Bof.... J'ai été plutôt déçue et je ne vais pour vous raconter pourquoi en quarante mille mots. C'est sûrement compliqué un roman qui repose sur une flopée d'anecdotes sur le Proche-Orient plutôt que sur une intrigue, et là la sauce ne prend pas. Au lieu d'être passionnant, c'est lassant, et autant ouvrir une encyclopédie, au moins ce sera plus clair...
Le narrateur n'aide pas : falot, soupirant après une femme qui ne veut pas de lui, mariée une bonne partie de l'histoire en plus, et persuadée que c'est de sa faute s'il est seul, il a en plus le charme d'imaginer d'inutiles visites dans des châteaux imaginaires à visiter des musées des horreurs avec des cadavres féminins sexys, et quelques chapitres après on remet ça avec des dames découpées... Et c'est vraiment totalement inutile, juste pour le plaisir.
Bref, à éviter.
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