René Fallet décrit sa prose comme irriguée principalement par deux veines : celle du Beaujolais et celle du whisky ; la première produisant des personnages et des situations hauts en couleurs, la deuxième les mêmes en plus mélancolique...
Assurément, ce "
Charleston" est de la deuxième veine : celle du whisky... Plus sombre et dramatique que celle du Beaujolais. Il s'agit même, pour ma part du premier texte très veine whisky de l'auteur.
Excellent !