Peur blanche

Première rencontre avec Ken Follett, dans le cadre du challenge solidaire, bien loin de ses oeuvres médiévales, on est ici dans une histoire de braquage sur fond de bioterrorisme.
Je m'attendais donc à un roman assez musclé où l'on allait trembler tout du long face à une menace pouvant tuer des milliers de personnes mais on reste loin de tout ça. Ça ressemble plutôt à un mélange de policier, d'histoire familiale et d'un peu de comédie romantique en prime.
Après, ce n'est pas inintéressant, ça se lit bien mais j'attendais autre chose.
Et le comportement de certains personnages me laissent sceptique comme celui d'un policier qui ne veut pas se lever de son lit face à un risque terroriste parce qu'il a un différent avec son ancienne copine.
Bref, pas convaincu pour ma part, j'essaierai tout de même ses autres ouvrages.

Un virus mortel a été volé dans un labo de recherche en Écosse. Branle-bas de combat pour la responsable de la sécurité, très proche par ailleurs du patron du labo, qui reçoit tous ses enfants pour Noël...
Voilà pour la mise en place. Et puis plus rien.
Une intrigue d'une platitude navrante, des personnages creux, un style à l'eau-de-rose (oui, on a le temps de tomber amoureux alors qu'une catastrophe épidémiologique se prépare, on peut "se noyer dans le brun de ses yeux", et tout à l'avenant...).
Il ne se passe strictement rien de surprenant ni d'intéressant, moi qui aime le Ken Follett des romans historiques tombe de très haut avec ce titre (d'ailleurs ça ne fait pas peur du tout, le titre est lui-même trompeur).
A oublier !

Ken Follett a longtemps été un maître du thriller sortant quasiment chaque année un nouveau roman. Outre quelques intrigues liées à l'histoire (le réseau Corneille par exemple...), il s'est essayé à la fiction scientifique. Peur blanche entre dans cette catégorie.
Un terrifiant virus stocké dans des conditions ultra-sécurisées a disparu. En plein hiver, alors que dehors il neige, la responsable de la sécurité va devoir maîtriser la situation coûte que coûte.
Les manipulations des scientifiques ont toujours constitué un bon terreau pour l'imaginaire des romanciers. Avec Follett au commandes, on pouvait s'attendre à un thriller rythmé. Et bien, ce n'est pas vraiment le cas. le récit est stéréotypé, les situations se laissent deviner, les personnages semblent sortir d'un catalogue. le style de Follett est toujours là, mais Peur blanche constitue une de ses oeuvres (très) mineures.

Je n'avais pas encore lu de roman de Ken Follet alors je ne peux pas comparer Peur Blanche par rapport à la qualité de ses autres polars.
En tout cas, j'ai trouvé que tout était bien calibré, peut-être même trop. Comme un professionnel qui maîtriserait son sujet tellement bien qu'on finit par dire "Ouais, pas mal mais peut mieux faire"... A force de concrétiser des bons romans, peut-être que nous, les lecteurs, sommes devenus extrêmement exigeants envers nos auteurs ? Ou peut-être manque t'il un soupçon d'audace ou de génie supplémentaire pour que l'on crie au chef d'oeuvre ?? Je ne sais pas.
En tout cas, c'est PROMIS, je vais lire un autre roman de cet auteur pour me faire une idée plus précise.... See you soon :D

Ken Follett est souvent une valeur sûre en littérature. Ici, pas de dérogation à la règle.
Le personnage de Toni est attachant, avec du caractère et à la psychologie plutôt bien travaillée. le personnage de Kit est lui son opposé.

L'écriture est simple mais efficace et le lecteur est partie prenante de l'intrigue. Tous les ingrédients d'un ouvrage à succès sont ici réunis : suspens, rancoeurs et représailles sur fond de sentimentalisme.

Le suspens est ici à son paroxysme.

PEUR BLANCHE de KEN FOLLETT (Livre de Poche N°37132 ) 442 Pages


J'adore lire Ken Kollett !. Celui là est haletant du début jusqu'à la fin.... Vu la canicule 38° à l'ombre : piscine et lecture. J'ai commencé hier ce roman et terminé vers 1 h du matin....Impossible de le lâcher !


Toni, ancienne flic est responsable de la sécurité d'un laboratoire en Ecosse où se trouve le virus Madoba 2. Un virus dont on ne connait aucun vaccin et plus dangereux que celui d'EBOLA.

Ce virus peut devenir une arme effroyable pour des terroristes. Cela provoquerait une pandémie avec des millions de morts.

KIT, le fils du propriétaire du laboratoire, un joueur endetté va aider des malfrats à rentrer dans les locaux. Maintenant à vous de découvrir la suite .....Il y aura de nombreux rebondissements .... A LIRE !

Bonne lecture et bonnes vacances
Mireine

Je suis une grande fan de Ken Follett mais, dans le cadre de peur blanche, je dois avouer une énorme déception.
L'auteur nous emmené dans une espèce de thriller ( mais franchement il n'y a pas d'intrigue, on voit tout de suite vers quoi on va) biologique. le fils, trop gâté, du patron de l'entreprise qui pique un virus méga dangereux pour lequel il n'existe pas d'antidote. Une collaboratrice, plus jeune que le boss of course, qui est amoureuse du patron... Enfin soit, du bla bla digne des plus mauvais scénarios américains.

L'auteur nous a habitué a tellement mieux.

J'ai, néanmoins, appris une chose, dans les remerciements, c'est que le genre de laboratoire décrit dans le livre existe "en vrai"

Sinon, voilà, c'est un roman de plage sans grand suspens.

Peur blanche est une lecture agréable, un roman de quelques heures qui dévoile un scénario bien ficelé dans un univers complexe et glacé.

Ken Follett manie habilement les codes du polar scientifique et la narration se révèle efficace quoiqu'un peu scolaire. Malheureusement, le récit manque globalement de personnalité et s'oubliera trop rapidement.

Bien que ce ne soit pas très fair-play de comparer, ce roman en demi-teinte se place bien loin des chefs d'oeuvre du même auteur.

Antonia Gallo, surnommée Toni, est responsable de la sécurité des laboratoires Oxenford, spécialisés dans les virus et la recherche de vaccins. Elle doit faire face à une première tempête lorsqu'elle découvre qu'un employé a réussi à faire sortir un lapin de laboratoire contaminé déjouant tout le dispositif de sécurité. Grâce à ses réflexes d'ex-flic et à sa rapidité, la situation est vite sous contrôle. Les exigences de sécurité sont alors revues à la hausse pour qu'une affaire de ce genre ne puisse plus se reproduire. Et pourtant... Moins de 24 heures après cette première affaire, une équipe de 4 personnes parvient à s'introduire dans le laboratoire, à déjouer la surveillances et à entrer dans une zone ultra protégée pour dérober un virus extrêmement dangereux. Lorsqu'elle découvre les faits, Toni se rend immédiatement chez son patron, Stanley, pour l'en informer. Elle dispose d'un allié : la neige qui tombe en masse et qui bloque la circulation. Cette dernière va, à coup sûr, ralentir les malfaiteurs et venir contrarier leurs plans. Mais quand elle arrive chez les Oxenford, elle découvre que la famille a été prise en otage par les voleurs.

C'est un livre très rythmé, les chapitres se découpent heure par heure pendant les 48 heures que dure l'affaire. On suit les avancées de Toni dans ce double vol qui touche les laboratoires Oxenford. C'est un roman efficace mais qui reste très traditionnel pour le genre. Il n'y a pas de grosse surprise et le lecteur se laisse prendre par la main pour être conduit à un point qu'il connaît à l'avance. J'ai trouvé que le groupe de malfaiteurs était peu crédible. Alors qu'ils disposent d'armes, de l'effet de surprise et que la neige isole totalement la maison des Oxenford, ils ont les pires difficultés à venir à bout de la famille : 5 adultes, 4 enfants et 1 chien amical... Par ailleurs, j'ai regretté que l'auteur ne développe pas beaucoup la partie sur le commanditaire et sur les raisons du vol de ce virus. le lecteur ne connaît ni ses motivations, ni ses revendications et c'est bien dommage.

Un livre à lire pour son efficacité et son rythme mais sans en attendre plus.

Ça y est j'ai finalement lu un livre de Ken Follet! Et oui, Peur blanche est mon premier livre de cet auteur! Ça va, l'histoire est bien écrite, l'intrigue plutôt passionnante mais bon je n'ai pas trouvé l'histoire en elle-même si extraordinaire que ça. Il n'empêche que c'est un bon livre et je vous le recommande tous mais pour ma part l'histoire n'est pas à la hauteur du titre. Enfin bref, à vous de voir...