SIXIÈME PRÉLUDE
Comme discrète et intouchée
par la quiétude d’un mois
vers elle m’a attiré
l’heure de l’après-midi
de pierres et de voies infinies
et un souffle d’air
au bord de mouillage
où le temps finit,
dans l’éternelle saison
d’aube figée,
immobile sur les branches
et sur les choses.
/Traduction de l’italien par Danièle Faugeras & Pascale Janot.