Ce livre se présente comme un essai, une réflexion sur la constitution de la mémoire de l'Europe et donc de ses origines...Aucun sujet, même les plus polémiques, n'est laissé de côté. Un livre intéressant pour combattre les préjugés...Un livre que je conseille donc!
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Ce n'est pas un livre d'histoire mais un livre sur les mémoires en Europe, donc le titre est plutôt mensonger.
Certains articles sont rédigés par des historiens qui ne connaissent pas leur sujet.
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Le grand atelier de recherches historiennes sur l’Europe témoigne d’un beau potentiel d’innovation en matière d’approches et d’écritures. L’expérience engagée, par la richesse des réflexions et des résultats produits, incite à poursuivre l’entreprise et relever d’autres défis intellectuels. Quoi qu’il advienne de l’Union européenne, l’histoire de l’Europe reste d’actualité.
Lire la critique sur le site : LaViedesIdees
Une brillante remise en perspective bien utile en cette nouvelle ère de doutes.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Une pléiade d'historiens et d'intellectuels, originaires du monde entier, ont participé à la rédaction d'Europa, notre histoire. Un voyage fascinant à travers les mémoires du continent.
Lire la critique sur le site : Lexpress
L’audace du projet tient dans le possessif. Europa. Notre histoire : ainsi s’intitule la somme collective éditée par Les Arènes.
Lire la critique sur le site : LeMonde
En 1850, Louis Blanc critiqua le capitalisme comme "appropriation du capital par les uns, à l'exclusion des autres".
L'Anglais A. Johnson soulignait et critiquait depuis les années 1890 le lien entre capitalisme, impérialisme et risque de guerre.
Aujourd'hui encore, la critique du capitalisme peut se formuler dans une perspective de gauche- par exemple en termes de rejet des inégalités et des dépendances qui y sont associées- comme de droite avec une orientation intolérante, anticosmopolite.
En 1920, Bertrand Russell définissait le bolchévique comme une synthèse entre la révolution française et l'islam des origines : il était porté par des forces sociales comparables à celles qui s'étaient mises en mouvement en 1789 et l'attraction de son messianisme semblait aussi irrésistible que celle de Mahomet au VIIè siècle.
Le mouvement maoïste (...) est né en 1963, à la faveur du schisme sino-soviétique. Mao critiquait le "révisionnisme" de Khrouchtchev, gérant d'une révolution abâtardie de nantis, le "socialisme du goulash".
L'avenir n'appartient pas aux morts mais à ceux qui font parler les morts, qui expliquent pourquoi ils sont morts.
Georges Bernanos
En 1950, Aimé Césaire souligne que "la colonisation travaille à déciviliser le colonisateur" et parle d'une "régression universelle qui s'opère".
Etienne François - Europa, notre histoire : l'héritage européen depuis Homère