La guerre s'installe, les hommes deviennent ombres d'eux mêmes et l'horreur prend nom dans toute sa dimension.
Portes à ouvrir, pas à entendre dans ces couloirs se faisant mort d'un genre humain, d'une civilisation.
Les pages se tournent mais les mots ne s'effacent pas des mémoires qui se font éternelles par leur sang versé.
A découvrir et lire avec questionnements de ce qui aurait pu être si les choses ne s'étaient faites ainsi?
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Vers huit heures du soir, un S.S., de joyeuse humeur, nous passa une paire de menottes.
Ce fut une sérieuse atteinte à notre persévérant optimisme.
Car, si les Allemands dispersaient les familles pour les besoins de la déportations, ils n'avaient pas la cruauté de séparer les bacilles.
Le lendemain, le sous officier avait fait une tentative de rapprochement enveloppée, à l'allemande, dans une tentative d'humiliation ...
Donnez moi les nouvelles de Vichy.
Comme disait le maréchal Pétain en prenant le pouvoir: Veni, Vidi, Vichy. Je vous écoute.
L'appel des otages, c'était de la pure souffrance, de la quintessence; il faut y avoir gouté pour la comprendre.
La
foiQuelques croyants réunis par
Bernard PIVOT pour évoquer le
mystère insondable de la
foi : Abbé Jean ESPINASSE, pour son livre :"
prêtre en Corrèze". Un
témoignageautobiographique sur la
vie quotidienne d'un
prêtre rural. La piété mariale. Il a été l'aumônier des"pendus de Tulle"en 1944. Pour lui, avoir la
foi, c'est croire au sacerdoce.
André FROSSARD , auteur de "l'
art de...