Les soldats de la nuit

Nous sommes ici à la grande période de l'espionnage (avant et après la deuxième guerre mondiale), nous sommes dans l'éternel tunnel énigmatique des services secrets, là dedans, que de méfiance, si bien que l'espionnage fait appel au contre-espionnage, Alan Furst nous plonge dans un cercle vicieux où un simple battement d'ailes de mouche doit vous faire courir comme s'il s'agissait d'un obus...

On suit le parcours d'un Bulgare, quittant la Bulgarie au moment où le pays se laisse envahir par l'esprit fasciste, il se fait engagé et formé par un service secret, le NKVD. Il sont une quinzaine de jeunes formés dans le but d'intervenir dans les moments de conflits militaires ou d'espionnage. Mais après certaines réalisations parfois confuse car l'ordre d'un chef garde en lui un autre ordre, cette promotion des FF 825 doit être liquidé, c'est la course acharnée qui commence pour sauver sa peau, c'est aussi le moment fort des grandes trahisons, on ne sait plus distingué son ami de son ennemi...

alan furst nous raconte l,
histoire singulière de kristo
stoianev,son histoire débute en 1934 en Bulgarie.lorsque son jeune
frère et assassiner par la
section fasciste locale.
pour le venger il va s,enrôler dans les services
de renseignements soviétiques.il sera envoyé
en Espagne alors en pleine guerre civile,il va se battre
au côté des républicains.
prévenu qu'il va faire partir
des victimes des purges
stalinienne il va s,enfuir
a paris.quand la France
sera occupé il s,engage
dans les naquis de l,Isère.
la paix revenu il ira continue son combat en
tchécoslovaque.

Un gros roman sans rythme, sans intrigue véritable et parfois confus. Style pas désagréable mais ouvrage un peu ennuyeux qu'on oubliera très vite.