Un beau livre qui mine de rien, parle de création artistique et d'amitié et se lit comme on discute avec un ami de longue date. Un livre aussi qui active le regard. Sérieux mais drôle et léger.
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Bel hommage de l'auteur, écrit avec sensibilité, à son ami Edouard.
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Dans les Forçats, ouvrage sensible et précis, Bruno Gibert dresse le portrait du plasticien et écrivain, suicidé en 2007, avec lequel il partagea pérégrinations complices et regards acérés sur la création artistique des années 80 et 90.
Lire la critique sur le site : Liberation
Des voyeurs, nous l'étions tous les deux. Rien ne nous excitait plus que faire marcher notre regard. Nous autres, les artistes, étions les forçats de l’œil.
Rien ne nous excitait plus que faire marcher notre regard. Selon l'expression de Bram Van Velde, nous autres, les artistes, étions les forçats de l'oeil.
Le Grand Livre de l'inutile, Bruno Gibert, avec Leïla Bergougnoux, La Partie
Interprété par Leïla Chik et Alban Gérôme.
D'après les illustrations de Violette Vaïsse.
Avec le soutien de la Préfecture de la Seine-Saint-Denis.