Sixième leçon du Sorcier : « Le seul souverain dont on doit accepter le joug est la raison »
Kahlan est mourante. Richard choisit de l'emmener dans son pays natal en Terre d'Ouest pour prendre soin d'elle loin de la guerre. Il découvre que l'Ordre impérial y a déjà injecté son poison et décide de ne plus guerroyer car il a eu une « vision » ou plutôt une « révélation ». « Ce n'est pas moi qui dois prouver ma valeur aux autres, mais les autres qui doivent me démontrer la leur. Tant que ça ne sera pas fait, je ne devrai pas les diriger, car tout espoir serait perdu… ».
Challenge multidéfis 2019 : 22 - Un ROMAN dont l'action se déroule intégralement dans un monde imaginaire
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Écrivain au style sans concession, parfois extrême, toujours très inventif, Terry Goodkind signe là l'un de ses plus puissants opus, tant par le rythme du récit plein de rebondissements, que par le message dont il est porteur, soit son engagement pour la liberté (thème principal de ce tome 6).
Avec toujours en filigrane cet incommensurable amour qui lie Richard et Kahlan.
Un amour que Nicci (ex-soeur de la lumière, ex-soeur de l'obscurité, ex-lieutenant de Jagang), qui détient un immense pouvoir, va mettre en péril.
Pour sauver la femme qu'il aime plus que tout au monde, Richard "accepte" de la suivre dans l'ancien monde, là où son ennemi juré (qui a déclaré la guerre au nouveau monde), le tyran Jagang, fait construire un immense palais.
Pourquoi l'emmène t-elle là-bas ?
Pourquoi veut-elle à tout jamais le séparer de Kahlan ?
Souhaite t-elle livrer Richard aux fanatiques de l'Ancien Monde ?
Nicci est en quête et cherche des réponses. Sa quête est personnelle, et si Richard ne l'aide pas à trouver ces réponses, elle le tuera ! Elle en a fait le serment.
S'il se révolte c'est Kahlan qui mourra.
C'est l'Art, et en particulier la sculpture, qui est, dans ce 6ème tome, magnifié. L'art est le symbole de la liberté, même lorsque l'artiste a des chaines aux pieds. Mais surtout, dans ce roman Terry Goodkind montre à quel point l'amour, l'art et la liberté sont étroitement liés.
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Haaaaaaa! Une de mes sagas chouchou !
Bon, j'avoue depuis que je m'investit plus sur Instagram et reçois quelques services presses, j'ai peur de lire des pavés. Pas de ne pas réussir, mais du "temps perdu". Je veux publier donc, lire et chroniquer. Mais pour ça, il faut que j'aie une cadence alors je me mets la pression toute seule 😵
Mais j'ai découvert l'audio ! (merci LesaventuresDelea !) Cette révélation ! UN CHANGEMENT DE VIIIIIIIE !
Et voilà comment j'ai repris ma lecture de la saga. J'ai retrouvé Richard et Khalan. Mais aussi Kara (je l'aime trop 😂 elle a un humour !).
J'aime tellement. On a un Richard qui dégage beaucoup de charisme et leadership. Il n'en abuse pas et surtout aide et apprends des autre et aux autres en étant humble. Je l'aime tellement.
Khalan est forte et remplit d'espoir même si elle reste réaliste. Elle apporte beaucoup à Richard et je l'admire.
Et la voici Nicci. Alors elle 🤯 pendant mes 3/4 du roman, j'ai voulu l'assassiner 💀 pas forcément parce qu'elle n'est pas du bon côté, mais à cause de sa vision du monde. Oui, je sais, elle a une éducation qui ne l'a pas aidé, mais vraiment, elle m'a mets hors de moi. Elle m'a tellement énervé 😡
Mais Richard est là. Toujours là. Et ce tome. Une leçon de vie. Un changement. Un choix.
Bref. Un retour dans l'univers qui me comble de bonheur.
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J'ai beaucoup apprécié ce tome. Je m'étais un peu ennuyée lors de la lecture des précédents.
J'ai trouvé celui-ci moins redondant, avec moins de retours en arrière.
Kahlan et Richard sont à nouveau séparés par de terribles épreuves et les forces de l'obscurité.
Ce tome est une ode à la vie, à l'amour et à la beauté....
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Toujours aussi bon !!! Cette saga se renouvelle sans cesse, on a toujours une intrigue secondaire à chaque tome, en plus du combat de base, et ça permet vraiment de ne jamais se lasser ( et vu le nombre de tome heureusement !)
Ici, on va alterner entre le combat de base, avec l'affrontement entre l'armée d'harane et l'Ordre Impérial, et le parcours de Richard, contraint par Nicci (une Soeur de l'Obscurité) de la suivre pour l'Ancien Monde. On va y découvrir les origines de la philosophie de Jagang, Richard étant plongé dans le quotidien des habitants d'Altur'Rang (ville natale de Jagang) sous le joug de la Confrérie de l'Ordre, système "proche" du communisme, mais à un niveau tyrannique où l'individu n'a aucune importance.
L'auteur développe vraiment le personnage de Nicci, que l'on avait rapidement abordé dans le tome 2 et on en vient à se prendre de compassion pour ce personnage totalement lobotomisé par ce mode de pensée qui l'a transformé en monstre à force de trop vouloir oeuvrer pour le bien commun.
Contrairement à certains avis, je ne l'ai pas trouvé ennuyeux du tout... Effectivement, on est beaucoup plus centrés sur une réflexion philosophique et politique que dans les précédents tomes, mais sans pour autant en oublier l'action, avec les combats de l'armée d'harane et je pense que c'était indispensable pour comprendre la force qu'ils combattent.
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En ce qui me concerne ce tome est mon préféré. Peut-être avec le premier. Ce n'est pas tant le séjour de Richard chez l'ennemi que j'ai apprécié mais toute la première partie, durant la convalescence de Khalan, un des seuls moments où Richard et elle vivent en couple finalement, puis le chantage de Nicci, et enfin, toutes les batailles où Kahlan est impressionnante d'ingéniosité, fine stratège et vraie guerrière. Un avis très positif donc. Je n'en dirai pas tant pour les tomes suivants, mais vraiment moi je recommande la lecture de ce tome-ci.
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