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Citations sur Les Promises (144)

–Tu sais ce que disait Freud ? « La violence, c’est un manque de vocabulaire. »
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Il se sentait bien dans son uniforme, il se sentait bien au 8 Prinz-Albrecht-Strasse (...) On a la famille qu'on peut, et il acceptait cette vérité avec fatalisme : il appartenait au camp des méchants.
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Ils se présentèrent l'un l'autre et claquèrent joyeusement des talons. En revanche, pour le salut hitlérien, Beewen devrait repasser : l'Hauptsturmführer n'avait qu'un bras.
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"Il vaut mieux tuer un innocent que manquer un coupable "
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Heinrich Himmler avait un problème. La grande guerre avait décimé la population allemande puis, durant la république de Weimar, la misère, les conditions de vie effroyables, le pessimisme ambiant avaient provoqué une véritable chute des naissances-les couples répugnaient à faire des enfants, le nombre des avortements n'avait jamais été aussi élevé...
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N'en déplaise à Hitler, telle était la jeune garde SS : des adolescents nés dans la famine, de faible constitution et au regard débile. Ils étaient beaux, les Aryens...
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Les voies du Führer sont impénétrables.
Nulle ironie dans cette réflexion. Chez les SS, l’affaire était entendue : Adolf Hitler était un dieu.
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Un kilo de pain vaut des millions de marks, et une fille, une cigarette.
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Un jour, Robert Ley, le Führer du Front allemand du travail avait dit : «Nous allons maîtriser à ce point l’espace mental des Allemands qu’il ne leur restera plus comme moment de liberté que le rêve. » La réalité avait dépassé ses espérances puisque même les rêves, Simon pouvait en témoigner, étaient totalement infectés par le nazisme.
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Beewen quitte les SA et devient auxiliaire de police. Chez les flics, Göring remplace les matraques par des pistolets. « Il vaut mieux tuer un innocent que manquer un coupable », prévient-il. Beewen n’est pas dépaysé.
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