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EAN : 9782358870276
344 pages
La manufacture de livres (01/09/2011)
3.85/5   49 notes
Résumé :
Le Messager, mercenaire mandaté par la France pour assassiner l'un des leaders d'Al-Qaïda, découvre à la dernière minute qu'il a été trahi par ses commanditaires. Marc Andrieu, spécialiste de l'antiterrorisme, n'est plus que l'ombre de lui-même depuis que sa fille Eva a disparu. Et ces deux solitaires vont devenir les acteurs de la vengeance d'un troisième homme : Julien Vittoz, ancien ministre de la Défense compromis dans un échec diplomatique, qui élabore un plan ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Il est des auteurs qui mériteraient des éclairages médiatiques plus importants, Laurent Guillaume en fait clairement partie. J'avais déjà beaucoup apprécie son premier polar, Mako, paru en 2009, mais là, avec ce Doux comme la mort, c'est clairement un cran au-dessus, un des meilleurs thrillers lus récemment, sans hésiter.

Tout sonne vrai. Cet ultra réalisme interpelle, nourri au passé de l'auteur : commandant de l'UMS ( unité mobile de sécurité – spécialisée dans l'anticriminalité et les violences urbaines ), officier aux Stups, conseiller de la police locale au Mali ( pour la lutte contre le trafic de stupéfiants ), actuellement consultant international à la lutte contre le crime organisé en Afrique de l'Ouest.

Bien sûr, un impressionnant CV ne suffit pas à faire un bon auteur de polars ou thrillers, mais là, cela donne du poids, de l'ampleur et du souffle : documentation précise, écriture tendue, scènes choc comme celles dans la prison malienne, contexte géopolitique passionnant ancré dans l'actualité ( djihadistes salafistes, trafiquants de drogues ) jouant avec les codes du genre ( réseaux de proxénétisme, politiciens véreux, flics ripoux ) ... un cocktail explosif pour une intrigue très sombre, quasi désabusée.

A cela s'ajoute des personnages surpuissants, densément campés, qui apporte complexité, humanité et rage au récit. Deux solitaires charismatiques en quête de vengeance. Marc Andrieu, le flic idéaliste de la DST ( Direction de la Surveillance du territoire ), obsédée par la disparition de sa fille, prêt à tout pour la retrouver. Et surtout le Messager ! Quel personnage que ce mercenaire mandaté par les services secrets pour assassiner un des leaders de l'AQMI ( Al-Qaida au Maghreb islamique ) au Nord-Mali  ! Lorsqu'il découvre au dernier moment que ces commanditaires l'ont trahi, il se met en marche, un tueur froid, surentrainé, intelligent et terriblement sensible aussi, un oxymore prêt à tout défoncer.

Celui qui fait bouger les lignes et ces deux personnages jusqu'à permettre leur rencontre, est tout aussi intéressant, un vrai méchant que ce Julien Vittoz, ex-ministre de la Défense déchu suite à un gros échec diplomatique au Mali, qui met en place un plan machiavélique pour retrouver les hautes sphères du pouvoir.

La construction du récit, l'enchaînement des rebondissements sont parfaitement maitrisés jusqu'à la déflagration finale qui percute le lecteur en plusieurs étapes. Un thriller ultra-réaliste de haute volée dont la puissance et les personnages sont très au-dessus du lot.

PS : magnifique couverture que ce dos musculeux tatoué d'un serpent ( celui du Messager ) dans la réédition 2020 de la Manufacture de livres
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« Mon peuple dit du troisième thé qu'il est doux comme la mort, car la mort ne doit pas être redoutée, elle est une délivrance et non une séparation. Les morts ne sont pas morts, ils sont avec les vivants. »

Perso, je carbure au café donc pour la prétendue douceur de la mort, je repasserai.
Par contre, question bon p'tit bouquin d'ambiance poisseuse mâtinée de moult décès tout sauf tendance bonbon acidulé, c'est par là.

Le Messager. Peu connaissent son nom. Beaucoup éprouvent son modus operandi qui laisse rarement l'occasion d'en vanter ses bienfaits...définitifs.
Le garçon, même s'il ne s'avoue pas soupe au lait, présente toutes les caractéristiques du mec un brin revanchard.
Quelqu'un s'est foutu de sa gueule.
Quelqu'un doit payer.

Histoire gigogne typique où le lecteur, adorablement ceint d'une peau de Skippy certifiée 100 % synthétique, ne cesse de cabrioler d'un univers à l'autre au gré de ses champêtres mais néanmoins, et majoritairement, morbides pérégrinations .

Tout y est, tout se justifie, tout fait écho à une populace gangrénée par le pouvoir, le fric, le sexe, donnant ainsi le sentiment prégnant d'évoluer en un monde de désolation où opportunisme et entubage prévaudraient comme mètre-étalons de rigueur.

Ce Doux Comme la Mort apparaît comme le parfait oxymore de ce roman.
Tout y est dépourvu d'humanité.
Ne subsistent que d'infimes scories altruistes rapidement mises sous l'éteignoir d'une chronique aussi rude que démoralisante.

Laurent Guillaume, en ancien flic rompu aux trafics sévissant entre Amérique latine et Afrique de l'Ouest, outre le fait de délivrer un roman noir de chez noir, nous fait également voyager en évoquant les us et coutumes de contrées lointaines qui, à défaut de vendre du rêve en barre, nous dépaysent magnifiquement.
En ces temps confinement, c'est plutôt appréciable.

Doux comme la mort, je sais pas, mais magistralement torché, c'est certain.
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Et me voici confronté à un exercice difficile. Ce roman est un coup de coeur et lorsque c'est le cas - rarement - j'ai de la peine à trouver mes mots pour exprimer mes ressentis. Quoiqu'il en soit, je vais vous divulguer ce que ce livre vous réserve.

Tout d'abord, je tiens à relever que ce roman regorge d'éléments judicieux et extrêmement pertinents en ce qui concerne le domaine de la criminalité. Que ce soit sur l'aspect géographique ou encore sur la situation crimino-politique d'un État - relation entre plusieurs ici -, l'auteur vise juste, avec détails et exactitude. Oui, en tournant les pages de ce roman, le lecteur remarquera assez rapidement - s'il connaît quelque peu le "milieu" - qu'il est écrit par un flic; ces faits ne sont pas trompeurs, ce sont bien des empreintes de pattes d'un poulet que vous discernerez en vous déplaçant dans cette histoire! Un coup de patte qui nous permet de constater que l'âme d'un policier plane au dessus de nous et nous guide dans ce milieu qu'il connaît plutôt bien. Nous sommes loin, très loin même de l'enquête banale et linéaire, et franchement tout le charme est là! Et pour cela, il faut indubitablement être du milieu.

En effet, l'auteur - Laurent Guillaume - ancien flic des stups, est officier à la Direction de la Coopération Internationale au Mali où il lutte contre le trafic des stupéfiants entre l'Amérique latine et l'Afrique de l'Ouest. Une fonction qui lui permet de savoir de quoi il parle, respectivement d'être précis et juste dans ce qu'il écrit dans cette oeuvre. Mais sauf erreur de ma part, il a quitté cette activité il y a quelques mois et se trouve actuellement au sein de la brigade financière d'Annecy.

Le Mali justement, l'auteur nous y emmène et nous fait vivre quelques instants dans ce pays de misère, où la violence règne en maître, où le sable nous rentre dans les yeux et les balles - les bastos - dans le crâne. L'auteur connaît bien cette région et nous transmet brillamment cette expérience - cette vision de l'intérieur - où se mêlent indépendantistes, anciens militaires ou encore terroristes. Ça pue l'authenticité, le concret; l'odeur métallique du sang nous frôle les naseaux et la mort est quasi palpable; bref nous sommes dans la réalité des choses. Laurent Guillaume nous embarque également en France, en Haute-Savoie, mais aussi à Genève, en Suisse, pas dans les plus beaux quartiers - enfin ça dépend - soit dans le quartier chaud et électrique des Pâquis.

Pas mal d'ingrédients intéressants dans ce roman, à commencer par les personnages qui sont un élément fondamental, central. Des flics; des bons, tout de même, mais des ripoux aussi, des bien pourris même. Nous coudoyons également un monde politique peuplé d'hommes bien corrompus; surtout un, le représentant parfait du mec qui fait gerber; un noble personnage envahi par de la pourriture pas si noble que ça!

Entre ce monde de flics et de politicards, pas mal d'éléments perturbateurs vont entrer en "jeu", comme cette bande de bikers à la détente facile qui ont une devise assez significative: "Expect no mercy - N'espère aucune pitié". Et encore bien d'autres personnages mythiques dont je parlerai encore après.

Mais il y a surtout le Messager, Gabriel Milan, cet ancien commando de Marine qui oeuvre désormais comme mercenaire, en "freelance", un tueur professionnel mandaté par exemple par un gouvernement. Un personnage intéressant; un tueur qui élimine sans pitié, sans regret, qui se borne à honorer son contrat, mais un homme tout de même doté d'une âme, d'une conscience et d'une certaine sensibilité; l'auteur a remarquablement bien construit cet exécuteur. Nous accompagnerons cet homme aux capacités étonnantes, spécialiste de l'infiltration, furtif, rapide, qui s'arrange pour avoir toujours une longueur d'avance.

"Je... Je m'appelle Gabriel Milan. Je bosse en freelance pour des groupes industriels et parfois pour des états, comme la France. Face aux récalcitrants, aux empêcheurs de tourner en rond, je suis l'ultime recours, la baguette magique des ressources humaines. Il y a trois ans et demi, on m'a demandé de remplir un contrat dans la nord Mali..."

Gabriel Milan a été envoyé au Nord Mali, à la demande du gouvernement français, pour exécuter une mission délicate, l'élimination d'un certain Jibril Bel Jibril, chef du groupe terroriste AQMI, une filiale d'al Qaeda. Mais au dernier moment, le doigt déjà appuyé contre la détente de son fusil, il reçoit l'ordre d'abandonner sa mission. Peut-être un peu trop tard, car Milan poursuit son travail jusqu'au bout. A partir de cet instant, un mécanisme à la portée internationale va se mettre en branle, un puissant engrenage qui va engendrer la mort d'un otage français, un ministre pénalement poursuivi et des conséquences incontrôlables. Notre homme est désormais livré à lui-même.

Gabriel Milan est pris au piège et passera des années dans une prison à Bamako, au Mali. C'est après trois ans d'incarcération qu'il va recevoir un message provenant de la France qui annonce la mort de son ami Damien Deloncourt. Un accident? Non, le Messager comprendra rapidement que c'est une provocation pour le faire sortir de son trou à rat; il s'évade sans trop de mal - mais pas sans morts - et promet de régler ses comptes.

Il retourne en France et se voit attribuer une ultime mission qui a pour cible un flic. Mais cette fois-ci, il va désormais oeuvrer un peu différemment; c'est lui-même qui va choisir ses propres cibles. Lorsqu'on prend le risque de faire "joujou" avec un tueur professionnel, lorsqu'on le trahi, on en paye évidemment le prix... Gabriel Milan, au cours de sa mission, va comprendre toujours un peu plus ce qui se passe - un peu trop d'ailleurs pour certains. C'est avec une grande détermination qu'il va tout mettre en oeuvre pour découvrir ce qui se trame derrière ce rideau de fer puant la trahison et la traîtrise. Une mission qui ne lui plaît pourtant pas, trop hasardeuse, jugé mal préparée.

Parallèlement, nous suivons Marc Andrieu, flic des stups complètement foutu et abattu qui recherche activement sa fille Eva qui a visiblement passé de l'autre côté de la barrière de la raison; le monde de la drogue, l'univers des "morts-vivants" s'est présenté à elle et l'a complètement bouffé pour ne plus la lâcher. Eva a disparu et son flic de père ne reculera devant rien ni personne pour la retrouver. Une piste sérieuse va l'emmener vers la Haute-Savoie, près de la frontière Suisse, où sa fille serait entre les mains d'un proxénète, un ancien "hardeur" aux moeurs cruelles et méchamment malsaines.

Un ancien ministre et actuel maire, Julien Vittoz, semble tenir les rênes de tout ce merdier. Un homme qui va tout tenter pour se blanchir du passé et ainsi revenir au Pouvoir; un homme qui dégage une odeur de lisier, un pourri qui ne reculera devant rien, jusqu'à se financer par divers trafics illicites. Suivi et aidé par son petit toutou, le commandant Thierry Guerrier, un flic minable corrompu mais néanmoins dangereux et influent, Julien Vittoz va prendre un risque considérable en décidant de manipuler ses semblables, mais surtout en trahissant celui qu'il n'aurait peut-être jamais dû toucher. Julien Vittoz va se créer un entourage qui s'appuie fermement sur des valeurs immorales, cyniques et totalement hors cadre. Il va également user de moyens totalement vicieux pour assurer ses arrières et devenir ainsi intouchable.

L'écriture de Laurent Guillaume est fluide, dure, très dure parfois, une noirceur qui accompagne le lecteur durant toute la lecture. L'auteur enchevêtre des scènes qui se déroulent avant et après l'incarcération de Gabriel Milan et cela permet au lecteur d'être très impliqué dans le récit, très proche du personnage principal. Laurent Guillaume nous permet de suivre ce qui se trame au plus haut niveau du pouvoir jusqu'aux conséquences désastreuses des exécuteurs de basses besognes.

L'auteur, par ce récit noir aux senteurs altérées par une pourriture quasi constante d'hommes influents corrompus, que ce soit dans le milieu politique ou policier, appuie là où ça fait terriblement mal. Soit sur les dérives incontrôlables d'hommes représentant la justice, la loi et la sécurité et qui passent de l'autre côté du miroir pour leurs intérêts personnels. A mon sens, des situations extrêmement inquiétantes, navrantes et déplorables. Lorsque l'on en arrive là; lorsque les derniers garde-fous ont flanchés dans le milieu qui est censé nous assurer la sécurité, les limites ont largement été atteintes et c'est la fin de tout. C'est ma propre vision. Mais là rassurez-vous, il s'agit d'une fiction. Au fait non, je rectifie, il s'agit ici de faits réels exprimés dans une fiction; j'en suis plus que persuadé. Bonne lecture.
Lien : http://passion-romans.over-b..
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Un roman noir, et quel roman noir !
Guillaume nous plonge, nous immerge dans une histoire sombre, glauque, sans manichéisme. On s'enfonce au plus profond de cette histoire, parfaitement bien écrite.
Un mélange détonnant de vengeance, de trahison, de violence, d'action, de complot politique, dans une histoire qui ne ménage pas ses effets (toujours à bon escient).
A l'image du couple Camut & Hug, Guillaume propose des personnages écorchés, auxquels il n'épargne rien. le lecteur s'en trouvera plus d'une fois déstabilisé devant la tournure des évènements.
Mais l'auteur a son style propre, son bagage d'ancien flic et son expérience au Mali sont parfaitement utilisés pour donner crédibilité à ce récit ambitieux.
Sorti par un petit éditeur indépendant, ce polar est une réussite. Crions le très fort, il mérite tellement plus de succès que certains bouquins édités par de grandes maisons.
Laurent Guillaume, un nom à noter dans les tablettes de tous les amateurs du genre, faites passer le mot.
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J'étais entré dans l'oeuvre de Laurent Guillaume par son dernier roman « Là où vivent les loups ». Ce polar rural avait été une révélation pour moi. La réédition de « Doux comme la mort » était donc une occasion trop belle pour moi d'étoffer ma découverte de l'auteur.

Cette fois-ci, l'univers est complètement différent. On voyage entre le Mali et la France en suivant le destin de plusieurs personnages, pièces maîtresses d'une terrible machination. de par son expérience professionnelle, l'auteur maîtrise son sujet. Son passé de flic et sa connaissance de l'Afrique lui permettent de recréer avec justesse l'atmosphère de son aventure. On entre dans les coulisses des enquêtes policières, des missions militaires secrètes, des manipulations politiques et on vit les situations au plus près des acteurs.

Ceux-ci jouent d'ailleurs un rôle important dans la crédibilité du propos. Ils ne sont pas du tout caricaturaux et possèdent différentes facettes, qui les rendent humains. On s'attache donc à ces êtres torturés et charismatiques, malgré toute la violence dont ils peuvent faire preuve. A leurs côtés, on recharge les armes et on sort les muscles. La narration nous entraîne dans des scènes d'action saisissantes dans lesquelles on ressent la poussière, les balles, le sang, la douleur…

J'ai une nouvelle fois été impressionné par l'écriture de grande qualité de l'auteur. Pour ne rien gâcher, le scénario est parfaitement ficelé et réserve quelques surprises qui m'ont scotché. Autant vous dire que j'ai été happé par la densité et l'authenticité de ce thriller.

Je ne sais pas si cette chronique vous aura convaincus. Une seule chose est sûre : Laurent Guillaume est un écrivain de romans noirs de haut niveau, pas assez reconnu. Si vous aimez ce genre, je vous ordonne donc (et oui, je suis comme ça !) de lire un de ses livres, pour qu'enfin un maximum de monde reconnaisse son talent !
Lien : http://leslivresdek79.com/20..
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critiques presse (1)
Lexpress
15 juin 2012
Dans la veine d'un Caryl Férey, Laurent Guillaume décrit avec froideur et minutie une humanité en péril, à force de cynisme et de cruauté.
Lire la critique sur le site : Lexpress

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'Bandit' de Jean-Charles Chapuzet : https://www.babelio.com/livres/Chapuzet-Bandit/1600332
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