Soraya aime beaucoup Aïcha, sa grand-mère ; ce qu'elle aime par-dessus tout, c'est la regarder, le dimanche, préparer le couscous. A chaque fois, toutes les deux, elles entament un beau voyage poétique qui mêle branche de céleri, semoule, palmiers et sable. Soraya goûte ces moments-là, le lecteur aussi d'ailleurs, avec d'autant plus de plaisir qu'elle sait grand-mère malade.
Alors quand un lundi, la maîtresse lui demande de raconter son week-end, elle sait quoi écrire ! Est-ce bien pourtant ce qu'on attend d'elle ? Pourquoi la maîtresse la traite-t-elle alors devant les autres de menteuse ?
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