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EAN : 9782213719559
Fayard (05/05/2021)
3.75/5   22 notes
Résumé :
Cinq balles mortelles. Un acte effroyable. Plusieurs vérités.


À Riversend, une petite ville de l’Australie rurale terrassée par la sécheresse, un jeune pasteur charismatique et dévoué ouvre le feu sur ses paroissiens. Il tue cinq d’entre eux avant d’être abattu à son tour. Un an plus tard, Martin Scarsden arrive à Riversend, chargé d’écrire un article sur l’état d’esprit de ses derniers habitants à l’approche du premier anniversaire de l’horr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Un prêtre qui assassine subitement cinq personnes devant son église, ça n'est pas habituel, même pour une petite ville australienne.
La tuerie a eu lieu un an plus tôt et Martin Scarsden, un journaliste, a été envoyé par son journal pour écrire un article sur la façon dont les habitants vivent aujourd'hui, alors que les raisons de cet acte n'ont jamais été expliqués.
Je suis très rapidement entrée dans ce roman et dans cette petite communauté soudée.
L'intrigue et palpitante mais elle prend rapidement une tournure un peu alambiquée quand même.
Alors que l'enquête initiale ne porte que sur le massacre de 5 personnes, il va s'avérer que chacun des habitants ou presque a des choses à cacher et que les secrets sont aussi nombreux qu'effroyables dans cette toute petite ville.
J'ai été un peu lassée par les répétitions des faits, l'auteur doit croire que les lecteurs n'ont pas de mémoire, alors il récapitule les faits sans cesse, on apprend ce que sait untel, ce que dit un autre, ce que répète un troisième, ce qui finalement va être écrit dans un article…
L'ambiance de cette petite ville isolée où la chaleur est écrasante est particulièrement bien décrite, mais j'ai déploré les longueurs et les répétitions.
Le roman aurait gagné à être un peu plus court car les répétitions sont vraiment lassantes et gâchent un peu le suspense en le délayant.
Je remercie NetGalley et les éditions Fayard pour cet envoi.
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Grâce aux éditions Fayard et à net galley, j'ai pu lire: Qu'ils brûlent de Chris Hammer.
À Riversend, une petite ville de l'Australie rurale terrassée par la sécheresse, un jeune pasteur charismatique et dévoué ouvre le feu sur ses paroissiens. Il tue cinq d'entre eux avant d'être abattu à son tour.
Un an plus tard, Martin Scarsden arrive à Riversend, chargé d'écrire un article sur l'état d'esprit de ses derniers habitants à l'approche du premier anniversaire de l'horrible tragédie.
Pour quelle raison le pasteur a-t-il eu cet accès de folie meurtrière ? Y a t-il un lien avec l'assassinat de deux touristes allemandes ?
Poursuivi par ses propres démons d'ancien correspondant de guerre, Martin se retrouve malgré lui mêlé à une enquête et une tempête médiatique sans précédent.
Ayant envie de me plonger dans un thriller et de partir en Australie, j'ai choisi dans ma PAL tablette : Qu'ils brûlent.
Cinq balles mortelles. Un acte effroyable. Plusieurs vérités. Dit comme ça, c'est plus que tentant. Malheureusement, ce thriller ne tient pas tout à fait ses promesses.
Cela traîne en longueur, c'est dommage. Au bout des cent premières pages, je m'ennuyait et me suis vraiment demandé où l'auteur allait m'emmener.
Il y a différents personnages, chacune d'entre eux a sa propre vérité, sa façon d'apporter différents éléments.
Toutefois, c'est lent, cela manque vraiment de punch à mon goût. J'ai failli décrocher plusieurs fois. Je l'ai lu car c'était un service presse mais j'avoue que cette fois-ci mon avis est très mitigé.
J'ai apprécié de me retrouver en Australie, en pleine cagne. Il fait chaud, très chaud même et ce n'est pas seulement qu'à cause de la sécheresse. Un feu peut se déclarer à tout moment.. L'ambiance est lourde, ce que j'ai aimé.
Par contre, je n'ai pas accroché plus que ça avec Martin, le personnage principal. Il m'a laissé plutôt indifférente de même que tous ceux côtoyés tout au long de ce roman.
Il est trop long. Plus d'actions, moins de pages, et il aurait pu être parfait ce qui n'est pas le cas ici.
Petite déception donc, d'où le trois étoiles.
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Riversend, ville rurale d'Australie, brûle de partout, au sens propre comme au figuré, après qu'un jeune pasteur respecté et apprécié de quasiment tout le monde, a ouvert le feu tuant 5 personnes avant d'être abattu. Un an après les faits, Martin Scarsden, journaliste, est envoyé sur place pour faire le bilan de l'année qui a suivi cette tragédie. Comment les habitants se remettent-ils de ce drame ? Avec la même question jusqu'à présent sans réponse, pourquoi ce pasteur sans histoire a-t-il tué ces gens-là ?

J'ai apprécié de passer quelques temps dans cette petite ville fictive de l'Australie profonde, accablée de chaleur, très bien représentée par l'auteur, tout en étant confortablement installée dans mon fauteuil, au frais.
Les personnages sont bien décrits, fouillés, décortiqués, complexes. Beaucoup d'événements se produisent et des journalistes très présents occupent vite le terrain. L'auteur étant lui même journaliste, connait bien les rouages de ce métier et les décrit parfaitement dans son histoire. Cet aspect là est également intéressant.
C'est un roman dense, bien écrit, bien construit, plutôt classique et malgré quelques petites longueurs, agréable à lire. C'est le premier roman écrit par cet auteur et le premier d'une série avec le personnage principal, Martin Scarsden. Il aurait été choisi pour être adapté à la télévision. J'aurai plaisir à lire les suivants.
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C'est le second récit se déroulant en Australie que je lis en peu de temps et le début de ma lecture était prometteur, dans la petite ville de Riversend un prêtre tue 5 de ses paroissiens avant d'être abattu à son tour.

Un journaliste Martin Scarsden se rend sur les lieux du crime un an plus tard afin de faire un récit de ce tragique évènement, cette enquête va plus ou moins raviver des souvenirs douloureux de son ancienne carrière de journaliste de guerre. Dans cette petite ville, il va croiser tout type de personnages, des plus renfermés au plus bavard et surtout un double meurtre va également être perpétré lors de la venu de Martin Scarsden.

Malheureusement j'ai trouvé le récit vraiment long et pourtant il y a tous les éléments de base pur rendre celui-ci efficace mais au contraire il traine en longueur et peur de son intérêt.

De plus je n'ai pas ressenti d'empathie pour le personnage central ce qui fait que je n'ai pas du tut été sensible à ce qui se passait sur place lors de son enquête. Dommage le début paraissait vraiment un page turner mais cela n'est pas du tout le cas et j'ai un peu peiné à finir cette lecture.

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Qu'ils brûlent de Chris Hammer est un polar australien d'une belle texture et d'une épouvantable odeur de mort. Pour vous dire que je cherche encore pourquoi le pasteur a tué cinq personnes. Un an plus tard un journaliste viens prendre le pouls des habitants de ce petit trou perdu australien. Les polars de l'Australie comme ceux de l'Afrique du Sud sont d'une extrême violence à lire, mais le fil conducteur n'est pas toujours aisé à suivre. Voilà que je peux dire de ce roman.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Some part of Martin wants to make small talk, make her laugh, charm her. He thinks he remembers how – his own good looks can’t have totally deserted him – but he glances again at his hands, and decides not to. “What are you doing here?” he asks, surprising himself with the bluntness of his question.
“What do you mean?”
“What are you doing in Riversend?”
“I live here.”
“I know. But why?”
Her smile fades as she regards him more seriously. “Is there some reason I shouldn’t live here?”
“This.” Martin gestures at the store around him. “Books, culture, literature. Your uni books over there, on the shelf below your mother’s. And you. This town is dying. You don’t belong here.”
She doesn’t smile, doesn’t frown. Instead, she just looks at him, considering him, letting the silence extend before responding. “You’re Martin Scarsden, aren’t you?” Her eyes are locked on his.
He returns her gaze. “Yes. That’s me.”
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Mais qu’a donc vu Max chez lui, au juste ? Un bon journaliste, une bonne plume, mais aussi une entité totalement autonome, qui n’avait pas envie ou pas besoin des réseaux de soutien ordinaires de l’humanité, un reporter plus heureux que jamais et au meilleur de sa forme quand il était séparé de ceux qu’il connaissait – qui pouvait être parachuté dans n’importe quel environnement, capable de rencontrer toutes sortes d’individus, de recruter des sources et de les faire parler, et puis de repartir, le travail bouclé, sans le moindre état d’âme. Il était parfait dans ce rôle. Ou Max le pensait, en tout cas, et Martin en pensait autant. Aujourd’hui, il n’en est plus si sûr.
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Et il y a quelque chose chez les vieux amis et les anciennes amours, les gens avec qui vous avez été jeune : quand vous les revoyez des années plus tard, ils ne vous apparaissent pas vraiment tels qu'ils sont maintenant , mais tels qu'ils étaient. Vous les voyez au-delà des kilos en trop et des rides , au-delà des yeux fatigués et des joues qui se relâchent. Vous les voyez encore jeunes et plein de vie. ( p 263 )
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Il n'est peut-être plus le jeune et fringant correspondant étranger d'antan, mais il n'est peut-être pas tout à fait encore non plus un pauvre gratte-papier à la ramasse
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Smith parle sans s’interrompre pendant dix bonnes minutes. Pour lui promettre beaucoup d’argent et beaucoup de tout le reste aussi : reconnaissance et salut de son âme, prix de journalisme et littéraires, prestige et célébrité, royalties, droits de diffusion et groupies. La totale. Il débite si vite son laïus, et avec tant de ferveur, qu’il ne semble reprendre son souffle à aucun moment, comme un joueur de didgeridoo en respiration continue.
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Video de Chris Hammer (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Chris Hammer
Bande annonce (VO) du livre Scrublands
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