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4,19

sur 5328 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Laisse tomber les snap, lecteur, insta, messenger et Babélio… et cherche pas l'interrupteur non plus, ici, y'a plus rien qui marche et tout ce qui faisait ta fierté d'homme moderne n'a plus lieu d'être à présent. C'est le moment de revenir à tes instincts primaires, d'incarner l'animal que tu as toujours refusé d'être et de développer ton sens de la débrouille : il est venu, le temps du slow-life et du nature-writing.

Car à partir d'aujourd'hui, c'est fini tout ça : le luxe d'une société consumériste 5.0 a disparu et laisse place au survivalisme le plus primaire. Les serpents de l'électricité, de l'internet et du gasoil se mordent peu à peu la queue et te voilà forcé de faire sans ce qui te semble aujourd'hui intrinsèque à ton monde.

Je frissonne encore du caractère prémonitoire de ce récit, écrit des années avant la crise du Covid, épisode dont il m'a été impossible de faire abstraction lors de ma lecture. le constat est le même : certains hommes n'ont besoin que de peu de temps pour redevenir des bêtes ; certains restent sur le carreau sans préavis ; d'autres trouvent en eux les ressources nécessaires à leur survie ; et puis d'autres encore, persuadés que l'herbe sera plus verte ailleurs, optent pour un nomadisme ciblé vers une hypothétique terre promise.

Quelle est la finitude de notre société ? La sororité peut-elle résister au pire ? La jeunesse est-elle réellement dotée d'une force vitale indéfectible ?

Si la première moitié du récit m'a profondément ennuyée parce qu'elle s'appesantissait sur la vie d'avant, désespérément rêvée, perdue, attendue, la seconde moitié a su me captiver et me toucher au plus profond de mon être, tant elle a éviscéré la femme moderne que je suis. Et, quelque part entre deux mails et trois jours de vacances à l'autre bout du monde, je me suis demandé ce que je deviendrais, moi, si notre monde venait à s'écrouler…

Un conseil, lecteur, ne sous-estime pas la force vitale d'un être vivant... elle pourrait bien te surprendre par les méandres qu'elle sait emprunter.
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Et pour d'autres voyages dans le ventre de la foret, rendez-vous aussi sur Instagram :

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Au lendemain de la sortie du dernier rapport du GIEC, avec un quotidien rempli de luttes sociales et environnementales, comment ne pas parler de ce roman ?
Paru en 1997 aux États-Unis, il n'a été traduit qu'une dizaine d'années plus tard en français, chez Gallmeister . Son succès est croissant, et pour cause : cette fresque éco-féministe soulève des questions de plus en plus prégnantes dans les sociétés occidentales.

Nell et sa soeur Eva vivent seules dans une maison à l'orée des bois, à plus de 40 km de la ville la plus proche. Leurs parents sont tous les deux décédés, et le pays rencontre de grandes difficultés : plus d'électricité, plus de magasins, des vagues d'épidémies…Voilà les raisons pour lesquelles elles sont contraintes d'apprendre à vivre seules et en autosuffisance. Peu à peu, à travers le récit de Nell, on comprend comment les deux soeurs en sont arrivées là - même si les causes de l'effondrement de la société américaine resteront floues - et l'on plonge dans leur quotidien et leur apprentissage de la survie. Cependant, ce roman n'est pas qu'anticipation catastrophique : il rend aussi hommage à la nature, à notre instinct si réprimé par nos modes de vie actuels, et questionne sur ce qui est vraiment essentiel pour nous, dans nos vies. C'est aussi, bien sûr, une féroce critique de la société de consommation et du capitalisme, et une ode à la sororité.

Mon avis est mitigé sur ce roman : bien sûr, j'ai aimé les principaux messages qu'il véhicule, mais d'autres aspects m'ont déçue, notamment certaines apparitions de personnages qui à mes yeux n'apportent pas grand chose au récit. J'ai aussi à la fois aimé le style lent et langoureux, mais eu paradoxalement un peu de mal à parvenir à la fin…
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Je l'ai lu chez les éditions Gallmeister (il n'y a pas les suppléments prévus pour les collégiens si j'ai bien compris).
C'est un texte long et ambitieux, car il présente la vie recluse de deux jeunes filles au fond de la forêt. Pas grand chose ne se passe, et pourtant on ne s'ennuie pas, on se laisse porter tout simplement. le style est assez daté, la narratrice principale est la plus jeune des deux soeurs, Nell : vive, intelligente, elle se prépare pour entrer à Harvard pendant qu'Eva, son aînée d'un an (18 ans), compte intégrer une troupe de ballet (elle se prépare à faire de la danse en pro).
Leurs parents ne les ont jamais scolarisées, elles ont toujours vécu au fond des bois en étudiant à distance. Un jour, une épidémie survient, qui tue tout le monde, l'électricité est coupée, il n'y a plus d'essence en ville, etc. Leur mère meurt d'un cancer avant que l'épidémie ne commence, leur père décédera plus tard, les filles sont livrées à elles-mêmes. Il faudra qu'elles se nourrissent et qu'elles apprennent le langage de la forêt. Bien sûr deux événements majeurs vont "égayer" le récit, l'arrivée d'Eli, un pote de Nell, et puis la venue d'un étranger (je n'ai pas trouvé ce passage-là crédible, du tout !!!!
Toujours est-il que j'ai beaucoup pensé à "Into the wild" de Jon Krakauer en lisant ce livre. C'est même un miracle que les filles de ce roman ne se soient pas, elles, planté de fleurs ou d'herbes et ne se soient pas empoisonnées avec.
Impression mitigée donc, roman instructif mais pas époustouflant à lire ;-)
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Je fais partie de ces lecteurs qui n'ont pas été subjugués par ce roman de Jean Hegland et tous les arguments présentés pour qualifier ce texte ont généré en moi une réaction bien différente... Nell et Eva, dix-sept et dix-huit ans (quand même ! Ce ne sont plus des petites filles !) m'ont paru extrêmement naïves et tête à claques, obstinées comme elles paraissent dans leurs certitudes et leur égoïsme. Quant au père, sa réaction m'a semblé bien peu appropriée face aux événements : continuer à se bercer d'illusions et laisser ses filles dans l'ignorance la plus totale ? Franchement !
La seconde partie, où les soeurs acceptent enfin la fin de la société telle qu'elles la connaissent et apprennent à en créer une nouvelle m'a plus intéressée. Mais, las, le mal était déjà fait et seuls les relations haine/amour des deux soeurs m'ont permis de rester dans la forêt.
« Un roman magnifiquement écrit », oui ; « Un roman éclectique », toujours d'accord... Mais je n'ai trouvé les héroïnes ni « scintillantes », ni « sensuelles »...
Cependant, je reconnais à l'auteure d'avoir magnifiquement retranscris l'ambiance de la forêt comme personnage à part entière, un environnement riche en ressources, mais aussi mur infranchissable où les ombres peuvent être autant de pièges que de cachettes pour l'ennemi.
« Dans la forêt » ne restera donc pas pour moi un roman inoubliable, si ce n'est qu'il me conforte dans l'idée que notre société actuelle nous infantilise et que peu de choses pourraient nous faire régresser à l'homme des cavernes.
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Ce livre ! J'en ai tellement entendu parler sur la blogo, sur Instagram, … Et toujours des avis élogieux. le mien est un peu plus nuancé.

L'histoire, d'abord. A une époque indéterminée (mais que l'on devine pas si loin de nous), aux USA. La civilisation s'est effondrée, il n'y a plus d'électricité, plus d'essence, plus de magasins. Les gens fuient, abandonnent leurs maisons, tandis que des épidémies de maladies se propagent. Pour Nell et Eva, deux soeurs adolescentes, la vie paisible dans la forêt tourne au tragique quand elles perdent, l'un après l'autre, leurs parents. Livrées à elle-même, elles tentent de survivre sans oublier leurs passions : les livres pour Nell et la danse pour Eva.

Dès le début, j'étais ferrée. L'histoire m'a fascinée, Nell et Eva m'ont passionnée, et j'ai adoré l'écriture. Je voulais en savoir plus sur les causes de ce cataclysme qui avait terrassé le monde, mais l'auteur reste floue et c'est au lecteur d'imaginer ce qu'il s'est passé. Une catastrophe écologique, sans doute … Forcées de survivre avec presque rien, les deux soeurs vont devoir s'adapter et faire preuve d'ingéniosité, avec parfois deux bouts de ficelle.

Quand je pense à la façon dont nous vivions, à la désinvolture avec laquelle nous usions les choses, je suis à la fois atterrée et pleine de nostalgie.

Les deux soeurs sont de sacrés personnages : Nell, la narratrice, rêve d'amour et d'entrer à Harvard, tandis qu'Eva ne vit littéralement que pour la danse. J'ai lu quelques avis négatifs sur cette dernière et c'est vrai qu'Eva est froide, distante et peut paraître égoïste, enfermée dans sa passion. Mais cela rend la relation entre elles plus intéressante je trouve, que ce ne soit pas toujours l'amour fou et la folle entente.

Même se disputer est un luxe qu'on ne peut pas se permettre quand sa vie entière a été réduite à une seule personne.

J'ai donc adoré la plus grande partie du livre quand, brusquement, vers la fin, je me suis lassée. Lassée du récit de « survie », du manque d'action, de la lenteur du récit. Je voulais des réponses, je voulais que Nell et Eva rencontrent plus de monde, je voulais une autre fin, plus percutante. Pour moi, elle n'est pas à la hauteur de mes attentes.

En résumé, « Dans la forêt » est une sorte de dystopie, intéressante, avec de bons personnages, mais qui aurait gagné à être plus dans « l'action ». Mon enthousiasme du début s'est confronté à la monotonie du livre …

Je ne pensais pas écrire une critique finalement si « négative », mais j'ai vraiment été déçue en terminant le livre. Je pressentais le coup de coeur mais ça n'a pas été le cas. Et pourtant, ce roman vaut largement le détour ! Ecrit en 1996, il n'a été traduit en français qu'en 2017, mais reste très actuel dans ses thèmes et préoccupations.

Une mini déception donc … mais surtout par rapport aux attentes créées par la profusion d'avis dithyrambiques…

Un dernier détail : la couverture de l'édition poche est superbe 😉

« Dans la forêt », Jean Hegland, Gallmeister (Totem), 2017
Lien : https://histoiresdenlire.wor..
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Que ferions-nous si tout ce qui alimente notre société actuelle se coupait? Plus d'électricité, ni d'essence. Plus de moyens de communication, les magasins se vident affreusement vite. Les gens quittent les villages en espérant trouver de l'aide dans les grosses villes. C'est ce qu'a imaginé Jean Hegland dans ce roman publié aux USA pour la première fois en 1996. Autour de ce phénomène, qui n'est pas vraiment post-apocalyptique, mais plutôt un événement soudain qui touche d'un coup la population, l'auteure imagine cette famille : Nell et Eva, deux soeurs de 18 et 17 ans, et leurs parents, vivant dans une forêt à des dizaines de kilomètres de Redwood. Cette maison, c'était un coup de coeur De Robert, le papa. Il y fonda sa famille, et tous étaient très heureux de cette vie à l'écart. Les parents étaient fiers de laisser leurs deux filles s'instruire librement, et passer leurs temps dans un environnement naturel qu'elles aiment tant. D'ailleurs, cette éducation alternative fait plutôt ses preuves, Nell et Eva sont particulièrement brillantes, déterminées et très ambitieuses. Alors que l'aînée envisage d'entrer à Harvard, sa cadette s'entraîne sans relâche pour rejoindre la troupe de ballet de Boston.

A la disparition de leurs deux parents, les soeurs se retrouveront très éprouvées, livrées à elles-mêmes dans ce milieu sauvage mais qu'elles ne quitteraient pour rien au monde. Leur quotidien, parfois répétitif, est livré dans une langue poétique et envoûtante.

Ce roman, outre une immersion totale dans la nature si belle et dangereuse à la fois, est avant tout une superbe histoire de soeurs. Jean Hegland dresse deux portraits assez différents mais complémentaires. Leur détermination et leur courage sont des armes redoutables face à cette nouvelle vie qui apparaît. La plus âgée des deux, qui est aussi la narratrice de ce récit, Nell, confie dans un carnet ses doutes, ses peurs, mais aussi ce qui la pousse à avancer. Son amour inconditionnel pour sa soeur Eva est confié avec beaucoup de justesse, sans fioriture, et énormément d'admiration.

C'est vrai que leurs journées se ressemblent, c'est tout à fait compréhensif. Que ferions-nous à leur place? La même chose qu'elles : chercher des vivres, trouver de quoi se chauffer, se projeter dans les mois à venir en fonction des saisons, pour préparer de quoi combler les besoins primaires. A cet égard, Jean Hegland ouvre un débat, nous questionne, nous plonge dans un monde à mille lieux de la société actuelle, mais qui pourrait néanmoins se présenter un jour, tout d'un coup. J'ai vraiment été immergée dans l'espace confiné qu'est leur maison isolée du monde extérieur. C'est lent, mais le suspens dû à la situation rend ce livre difficile à lâcher. Excellent « nature writing« , il est autant émouvant que mystérieux.

Qu'est-ce qui fait qu'un roman nous touche plus qu'un autre ? A la façon dont il nous poursuit, plusieurs semaines, mois, après sa lecture. Aux questions qu'ils soulèvent, aux traces qu'ils laissent dans notre mémoire. Sans être un coup de coeur, « Dans la forêt » fera, je pense, partie de ceux-là.
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Quand le monde s'écroule et retourne l'état sauvage, la vie dans la forêt permet aux individus de se reconstruire dans la symbiose avec une nature bienveillante et maternelle.
Dans ce roman pour apocalyptique éminemment écologique, Jean Hegland nous raconte l'histoire de deux soeurs vivant dans une forêt californienne loin d'une civilisation qui était pourtant dans un premier temps nécessaire à leur quotidien.
Élevées loin du monde par un père enseignant et une mère qui a abandonné sa carrière de danseuse pour se consacrer à la création artistique ,Eva et Neill se sont instruites elles-mêmes et vivent en autarcie tout en entretenant des rêves ,devenir danseuse pour Eva, intégrer Harvard pour Neill .
Mais quand le monde sombre, qu'il n'y a plus ni essence ,ni électricité, la technologie apporte la preuve de sa vacuité et ceux qui en sont privés doivent chercher un autre moyen de satisfaire leurs aspirations élémentaires.
Après la mort de leurs parents, les deux soeurs devront apprivoiser leur environnement et s'adapter en utilisant les ressources matérielles mises à leur disposition par la forêt qui va constituer le milieu naturel dans lequel elles devront exclusivement évoluer.
Un beau roman qui constitue un hymne à la Terre Mère qui seule pourra sauver les soeurs de leurs propres demons.
C'est sous la plume d'Eva que le lecteur assiste aux événements qui se déroulent depuis l'effondrement de la civilisation jusqu'à la régénération des survivantes qui ont enfin accepté de tourner définitivement le dos à leur vie d'avant.
Peut-être peut on s'étonner qu'une jeune fille qui n'a pas bénéficié d'un enseignement structuré ,maîtrise aussi parfaitement le sens du récit et nous envoûte par une écriture poétique magnifique ...
Peut-être faut-il mettre de côté ses propres peurs et angoisses générées par la fin d'un monde ,pour apprécier pleinement cette belle aventure...
Peut-être faut-il mettre également de côté tout esprit cartésien pour adhérer pleinement au message transmis...
Si le lecteur accepte de sauter le pas alors il s'aventurera sur des chemins inexplorés...sinon,il s'ennuyera franchement et aura bien du mal à terminer sa lecture...
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Je ne partage pas l'avis dominant sur ce livre qui ne m'a pas emballé et dont la lecture m'a à vrai dire beaucoup ennuyé.
L'écriture est fluide et rapide, un bon "page turner" que je comparerai à Sukkwan Island de David Vann.
Les deux personnages de Eva et Nell m'ont paru totalement froide, robotique ne m'inspirant aucune émotion n'y empathie. La succession d'évènements est linaire sans créer de suspense ou d'enjeux à l'histoire.
Le bon côté, comme souvent avec Gallmeister, est la nature omniprésente.
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Que deviendrait le monde si l'électricité cessait de fonctionner ?

L'auteur a imaginé un monde en train de changer avec la disparition de celle-ci. C'est bien pensé car on ne se rend pas compte à quel point elle est fort présente dans nos vies. Plus de sèche-linge, ni de machine à laver, ni de lave-vaisselle, ni d'eau chaude (si elle est chauffée avec de l'électricité), ni d'usines, ni de nourriture industrielle venant de celles-ci, ni d'avions, ni de téléphones, ni de lampes, ni de réveils, ni de télévisions, ni de jeux vidéos, ni d'alarmes, ... Et j'en passe encore.

C'est grâce à cet aspect du livre que j'ai pris plaisir à le lire. Ça parle de la vie dans la nature, de la survie, de l'entretien d'un potager, de fleurs comestibles, de s'occuper autrement (lire, danser, travailler la terre, etc), de la conservation des aliments, etc.

Par contre, j'ai moins apprécié le reste. Nell et Eva, les principaux personnages, ne m'ont pas touchée plus que ça, leurs personnalités ne m'ont pas attirée. Partie du message spoilé pour ne pas trop dévoiler - :

Il y a aussi des éléments que je n'ai pas bien compris comme par exemple la disparition de l'essence. J'ai pensé que peut-être sans électricité, on transporte plus difficilement le pétrole et on ne peut plus le transformer en essence... Je suis restée sur ma faim, j'aurais aimé avoir davantage d'informations.
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Dystopie - Nature writting

Nell et Eva sont soeurs. Leur mère vient de décéder d'un cancer et leur père va mourir d'un stupide accident quelques temps après.
La civilisation s'écroule, le monde change et les ressources s'épuisent. L'électricité qui permet de se chauffer, de mettre de la musique pour danser, la passion d'Eva, s'éteint. L'essence se met à manquer...
Les deux adolescentes vont se retrouver livrées à elles-mêmes avec la nature comme source de vie.
Elles vont peu à peu réajuster leur philosophie de vie, leur mode de pensée, et vont renoncer à leurs rêves.

Je sais que ce roman a eu beaucoup de retours très positifs. Effectivement la plume est belle, c'est parfois poétique et cela fait réfléchir sur notre société de consommation... mais malheureusement je n'ai pas aimé ce roman.... les goûts et les couleurs....
Je n'ai pas aimé la manière dont le sujet est traité, dont la psychologie des divers traumas est survolée. L'éviscération en long et en large du sanglier a été la goutte d'eau pour moi. Je l'ai terminé mais sans passion...
Bref, je ne suis pas fan de ce type d'écriture...
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