J'avais déjà lu les paroles de
Confucius merveilleusement traduites, pleine de la poésie d'origine, qui au lieu de rendre le discours plus hermétique le rende plus sensé, plus compréhensible, plus tangible que les sciences souvent abruptes et froides quand elles ne sont pas comprises dans leurs limites... et oui la vie le tangible nous remet en question quand on ce jette à corps perdu dans les pseudosciences, refusant de tenir compte de l'inexplicable du vivant... alors trouant formidable cette traduction, bien plus proche des enseignements shiatsu et de la base de MTC que l'on m'avait enseigné que bien d'autres livres, je m'empressais de commander dans la même collection Siddhârta de Herrmann Hesse et Paroles de Bouddha, Dhammapada les vers du Dharma, et bien m'en a pris puisque je découvre un auteur allemand, ayant reçut le prix
Goethe et le prix Nobel de littérature dont on ne nous parle pas pendant nos études de bases, même au lycée, et quel dommage!
Un auteur allemand qui écrit sur Siddhârta le seul bouddha historique ! Car on nous dit dans l'introduction, ce n'est pas
Le Bouddha! Mais si c'est bel et bien un des bouddha, c'est ce qu'on nous enseigne dans les centres bouddhistes tibétains...
Le Bouddha en qu'un seul n'a pas grand sens.... on en parle comme du Bouddha, car c'est le seul dont on a prouvé historiquement la preuve, et que quand on parle de la vie du Bouddha et des tapes de sa vie à connaître pendant les Nyou -né, semi-jeune, c'est ben de cela dont on parle, visiblement celui qui a pondu l'introduction, pourtant bonne, nous parlant de la vie de l'auteur allemand naturalisé suisse, ne le sait pas, pas plus qu'll ne sait à quel point il est minable de taxer de bipolaire cette auteur sous prétexte que c'est un originale en révolte avec sa famille et les mieux scolaires! En France on ne traite pas de bipolaire notre grand mathématicien mort dans un duel, qui état aussi un révolté... cela semble pathétique! Une mode détestable de plus en plus courante de mettre quelqu'un dans une case juste parce que son comportement ( ici de vouloir devenir poète et pas de se conformer à une profession enseigné alors qu'à l'évidence, il est clair que c'état là et bien là son talent... lui qui a reçut deux prix prestigieux... et ce qu' est remarquable avec cette écrivain, c'est qu'l a prédit la Shoah même s'l ne savait pas qui en serait victime et au profit de qui, et que lui aussi voit une même base, comme moi à bien des religions come le taoïsme, le christianisme et le bouddhisme... et comment pourrait-il en être autrement puisque les religions et les philosophies, bien avant les lois nous ont enseigner comment vivre ensemble ? Alors pourquoi n'auraient -elles pas un fond commun ? Comment ne pas l'envisager sérieusement et n'est ce pas du racisme que de croire le contraire ? Et ce qu'il y a encore de plus remarquable dans cet écrivain allemand qui a voyagé en Inde c'est qu'il est un des adeptes fervents de Karl Yung, et que donc la philosophie est plus importante pour comprendre le comportement humain, que la médecine même si celle-ci en comprenant la base matérielle n'est pas totalement inutile... alors oui je suis bien contente de pouvoir lire ce livre! Car s'l y a deux petites choses inexactes dans l'introduction la préface, avec des passages de Hermann Hess lui-même est en tout point admirable, et l'introduction a moins l'avantage de nous remettre dans le contexte de la biographie de 'auteur pour l'écriture du roman... Une vision d'un protestant allemand naturalisé ensuite suisse de la vie de Siddhârta, que tant d'auteurs prestigieux ont apprécié! Pour une vision indienne du bouddhisme on essaiera de se procurer les conversations avec la sainte Amma, et pour une vision plus tibétaines, on se procurera des ouvrages de l'édition Claire lumière!
Et si dans le bouddhisme tibétain, l'histoire de Siddhârta commence avant sa naissance dans les ceux, ici, c'est avec un jeune que commence le roman... on ne pourra donc y retrouver les fameux 10 actes du bouddha, mais quand même cela vaut la peine de se plonger dans cette ouvrage... et son ami Govinda voit déjà en Siddhârta un fil de Brahmane qui ne serait ni oisif ni comme les autres... un livre qui commence bien avec des phrases qui même en français coule... bravo au traducteur, et quelques notes pour expliquer les allusions à la culture bouddhiste au lecteur! Magnifique ouvrage sur la ve d'un fils de brahmane qui a quitté son parlait pour découvrir a écrite et l'enseigner aux autres hommes! Quelqu'un en rupture avec la coutume familiale, avec un auteur comme
Hermann Hesse, et sa révolte contre sa famille n'était-ce pas cousu de film blanc d'écrire une telle biographie ?