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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Fabrice Humbert était pour moi un parfait inconnu avant que je ne reçoive gracieusement son dernier livre « Comment vivre en héros » chez Gallimard dans le cadre des opérations de découvertes lancées par Babelio. Merci à eux.
C'est dire si j'abordais l'ouvrage sans à priori.

Y-a-t-il dans la vie de chacun ou de chacune, un moment où l'on sait réellement qui l'on est ? Face au danger, à la torture, pour protéger un innocent quel serait notre comportement ? Subissons-nous une sorte de karma familial ? Que doit-on sacrifier pour atteindre un idéal de pureté ? Enfin et surtout, nos faux pas nous collent-il vraiment à la peau ?

Après un début assez poussif, fait de poncifs (le père ouvrier communiste et vindicatif, les quartiers défavorisés, la boxe…), des expressions assez malheureuses (une fille est « une boîte à fantasmes »), des répétitions ( On apprend par trois ou quatre fois que le héros sait démonter un moteur de deux cv, que des « broncas » tauromachiques secouent les classes d'un lycée) qui me firent craindre le pire, le dernier roman de Fabrice Humbert décolle lourdement.

Fait d'une écriture simple, nous suivons sans surprise Tristan son « héros » et sa famille dans leur quête et tentatives pour répondre à toutes les questions ici posées en exergue.
Chapitre après chapitre, on se demande si le roman va virer au précis de psychiatrie façon Henri Laborit ou Boris Cyrulnik, au roman de gare façon Marc Levy ou aux marvel comics à la Spiderman.
Mais finalement, l'auteur lui-même nous confie une clef de lecture incontournable et définitive :
« La littérature et surtout le roman, est une machine idéologique désespérée. Elle tente à l'infini de rappeler au corps social des idéaux de pureté qui n'ont plus cours et n'ont en fait jamais existé en se réfugiant dans des situations idéalisées et à mon avis artificielles. »
Ite missa est !
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lu dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire, j'ai mis du temps à écrire ma critique...je ne savais pas vraiment quoi en dire. Ma lecture a pris du temps, je n'ai pas accroché plus que cela, allant même jusqu'à m'ennuyer et trouver le fond plat...38 secondes changent le destin de Tristan, lui font rencontrer sa future femme et s'élever au fur et à mesure des étapes au rang de "héros"...Les héros sont ils seulement ceux qui accomplissent des actes héroïques, ne sommes nous pas tous quelque peu les héros de notre propre quotidien, en l'affrontant avec bravoure ? Voici les questions que je me suis posée après cette lecture. L'étude des différentes options de vie de Tristan a davantage embrouillé le fil conducteur qu'il ne l'ai aidé...La longueur de certaines phrases alourdit particulièrement l'ensemble. Je reste perplexe...
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J'aurais pu adorer ce roman. Les premières pages m'ont, par ailleurs, transportée mais les 416 pages ont eu raison de mon intérêt pour Tristan Rivière, sa jeunesse et sa vie de famille.

Les 150 dernières pages m'ont paru d'une longueur absolument effrayante... et surtout ennuyante.

Au final, cela a eu, sur moi, l'effet d'une berceuse plus que le sentiment vivifiant d'une vie à contre-courant.
Lien : http://lireparelora.wordpres..
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Trop long, ça n'avance pas.
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