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EAN : 9782749148786
128 pages
Le Cherche midi (25/08/2016)
2.67/5   15 notes
Résumé :
" Pour ne pas me quitter vraiment, il avait pris ma place. "" Ce qui me laissait plantée là, je n'arrivais pas à l'exprimer. Pourtant, j'en comprenais confusément le sens. C'était quelque chose de l'ordre de l'adieu. Pas à la maison. Pas à Franck, non plus. Mais à notre amitié. [...] Je savais que nous ne nous retrouverions pas. Mais je restais fidèle. Pas à lui, mais à mon passé. À ce qui restait de lui en moi. Et, pendant toutes ces années, je n'ai pas voulu voir.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
La maison d'enfance vient d'être vendue : la narratrice, Lise, doit venir récupérer quelques souvenirs, objets et meubles.
Elle aurait aimé dire adieu d'une certaine façon, regarder le passé de loin, en passant, en se disant avec nostalgie « Tiens avant, j'habitais là… », oui, c'est ce qu'elle aurait aimé faire si l'acheteur de la maison n'était autre que son ex-meilleur ami, Franck.
Leur histoire est ancienne, une histoire d'amitié faite « d'une sérénité tranquille », non d'amour. Une amitié de jeunesse qui s'est éteinte un jour…
En tout cas, ce Franck, qui a toujours eu beaucoup d'admiration pour le père de Lise, s'est peu à peu immiscé dans cette famille, a discuté, écouté, puis dîné avec Georges, le père, est allé avec lui sur la tombe de sa femme. Puis, il a acheté la maison de famille, laissant à Georges sa place à table et lui promettant d'entretenir la tombe de sa femme qui se trouve sur le terrain près de la maison. Il compte s'installer dans la chambre de Lise, a-t-il jugé bon de préciser à cette dernière, pense ne pas trop déranger les meubles et bibelots restants et veut replanter l'allée de rosiers telle que l'aurait souhaitée la mère de Lise…
« Tu devrais venir voir, la maison est exactement comme quand nous l'habitions. Mieux même… » s'est exclamé naïvement le père.
Lise n'a plus sa place : « J'ai laissé la place sans rien dire. J'ai tout de suite compris le mouvement de poussée. Je ne peux pas dire que je n'ai rien vu. Que j'ai été prise au dépourvu. Franck avançait à découvert. C'est moi qui me suis repliée. Au début, j'ai dû penser qu'on pouvait partager. Qu'il y avait de la place pour deux. Mais ça ne marche pas comme ça. On ne cohabite pas avec la perte. Ça prend trop de place. Alors j'ai déserté. »
Que s'est-il passé ?
Quelles ont été les motivations de Franck ? Un désir de vengeance par rapport à Lise ? Un amour si fort qu'il ne puisse imaginer s'éloigner d'elle ? Que veut-il dire en allant aussi loin ? Comment la narratrice a-t-elle vécu cette terrible et complète dépossession (père, mère d'une certaine façon, maison), cette intrusion dans son intimité ? Jusqu'où Franck va-t-il se permettre d'aller ? Que s'est-il passé entre eux ? Pourquoi ne sont-ils plus amis ? D'où vient cette fascination de Franck pour le père ? Est-elle réelle ou feinte, est-ce un moyen de se rapprocher de la fille ou bien, au contraire, est-ce fréquenter la fille qui lui permet de rester auprès du père : « Je crois qu'au début j'ai été son prétexte. Qu'avec mon père, il ne savait pas encore faire sans moi » ?
Qui est finalement ce Franck, cet homme qui « plante son drapeau » sur les gens et sur les lieux pour signifier qu'il les possède, qu'ils sont sa propriété ? J'imagine l'excellent roman que l'on aurait pu tirer de ce sujet avec en prime un peu de suspense, de terribles tensions, des secrets bien lourds révélés ou suggérés à la fin.
Eh bien là, hélas, rien de tout ça : le roman, très court, trop court certainement pour un tel sujet, fournit trop peu d'explications, pour ne pas dire quasiment aucune !
J'avoue avoir été extrêmement frustrée de m'être livrée à mille suppositions et de constater en voyant le nombre de pages diminuer à vive allure que rien de ce que j'avais imaginé ne serait abordé. Quelle déception ! Pourtant, il y avait vraiment matière à écrire quelque chose de passionnant d'un point de vue psychologique.
Au contraire, j'ai vraiment eu l'impression de rester à l'extrême surface des êtres et des événements, de glisser, de survoler sans cesse, de passer trop vite là où je ressentais le besoin d'une analyse, d'une explication, de quelques mots enfin pour comprendre les agissements des uns et des autres, leurs relations, leurs motivations réelles.
Y a-t-il finalement un lien entre cette perte de l'amitié et le rapprochement entre Franck et le père ? Encore une question restée sans réponse. Je sais, je peux faire l'effort d'imaginer mais pour ma part, j'ai besoin d'un minimum d'infos.
Et puis, pourquoi pas (mais là, je réécris le livre !) parvenir à un drame final, une révélation ?
Un livre qui m'a laissée un peu sur ma faim… Cela dit, je ne doute pas qu'il puisse nourrir l'imagination d'autres lecteurs….


Un autre livre que j'avais adoré sur le thème « Pousse toi d' là que j'm'y mette » est Dernier désir d'Olivier Bordaçarre (chez Fayard mais il a dû sortir en poche depuis)… hum, le délicieux roman que voilà… j'en ai encore des frissons !

Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Récit d'une amitié fusionnelle qui va évoluer sur la mauvaise pente, celle de la toxicité et de la trahison ce nouveau livre de la romancière belge Claire Huynen pourrait séduire, mais déçoit assez rapidement.

Roman trop court, peu incarné, " A ma place" souffre surtout de sa comparaison avec d'autres romans à la thématique proche, comme le Respire d'Anne Sophie Brasme, autrement puissant et prenant.

« Ce qui me laissait plantée là, je n'arrivais pas à l'exprimer. Pourtant, j'en comprenais confusément le sens. C'était quelque chose de l'ordre de l'adieu. Pas à la maison. Pas à Franck, non plus. Mais à notre amitié. "

Une lecture hélas décevante, la faute avant tout à une narration qui manque de densité, à des personnages qui n'évoluent jamais, la faute aussi à un récit qui fait du surplace et qui surtout évite soigneusement d'aborder le vif du sujet, en ne traitant jamais vraiment l'objet de la trahison proprement dite, mais seulement ses effets, et encore de façon jamais vraiment frontalement.

Résultats des courses : A ma place, malgré une plume assez élégante, manque vraiment de chair et de passion pour laisser une trace durable dans l'esprit du lecteur qui risque de lire d'autres romans bien plus marquants lors de cette rentrée littéraire..
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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A ma place est le premier livre de l'auteure que je lis mais ce n'est pas son premier coup d'essai ! Elle a déjà publié Série Grise (2011) et Néfertiti en bikini (2015) publiés aux éditions Le Cherche Midi. Quand on me l'avait proposé, je n'étais pas spécialement emballée et je ne l'avais pas pris. Mais quand Nana du blog Comme dans un livre en a parlé, j'ai eu envie de le lire ! Il me trottait dans la tête. J'ai finalement craqué et demandé l'ouvrage pour pouvoir le lire. Je remercie d'ailleurs Marion qui a accepté de me l'envoyer bien après sa date de parution ! :)
Dans ce roman, nous suivons principalement Lise racontant progressivement sa descente aux enfers à cause de son ami Franck.
Ils se connaissent depuis leur jeunesse et ont toujours noué une amitié très complice. Franck a même racheté la maison de ses parents puisqu'il l'a toujours admirée. Seulement, au fil du temps, Franck est devenu comme un membre de sa famille. Il était accepté de tous : proches, amis et ce en s'intégrant progressivement jusqu'à délaisser Lise et lui prendre sa place. Ses amis, sa famille ne voyaient que Franck. Lise s'est sentie seule. Très seule même.
Les amitiés peuvent parfois faire naitre d'autres amitiés qui se révéleront fragiles lorsque l'un des amis s'en va. Un peu comme quand un couple se sépare. Les amis du couple sont souvent entre deux chaises et doivent faire face à un choix cornélien. Ce que l'on ne se doute pas c'est que parfois nos propres amis peuvent nous délaisser pour rester avec l'autre. Et finalement on se rend compte qu'on était pas aussi proche que cela.
J'avais l'impression que l'auteure se confiait à moi à travers ce roman. Un peu comme un carnet, un journal intime où elle décrivait les évènements marquants des jours qui passaient.
L'auteure se livrait intimement à travers une blessure dont on ne guérit pas : la toxicité d'une amitié.
Ce sujet m'a curieusement rappelé le livre d'Anne Sophie Brasme Respire qui le traite également. Mais ici, c'est moins profond. L'auteure finalement se livre à ses lecteurs sans approfondir le côté psychologique des personnages. J'ai trouvé ça dommage car ce livre aurait vraiment pu être top !
C'est un roman court qui se lit entre deux lectures, le temps d'un trajet en train. On en ressort avec quelques réflexions sur les amitiés mais s'oublie vite dans la masse culturelle.
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Je n'ai pas du tout aimé, j'ai trouvé ça long, plat, monotone.
J'ai eu l'impression du début à la fin du roman de lire une longue phrase interminable, sans aucune ponctuation ni intonation.
Franck est ce que je déteste le plus chez un homme. Intrusif!
Autant pour Lise, comment peut-on être aussi passive?
A moins d'être une autobiographie, je ne vois pas le besoin d'utiliser la 1 ère personne.
Je ne connaissais ni l'auteure ni le roman, j'avais juste été séduite par le synopsis que j'avais lu dans un périodique (qui était différent de la quatrième de couverture), j'ai été fortement déçue et honnêtement je ne recommanderai pas ce livre.
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...Vraiment. il est des écritures que je suivrai et suivrai à jamais me lasser... Et celle de Claire Huynen est de celles-ci... Mais ce fil des mots, dont j'ai été tout le long ravie, ne m'a laissé au final que devant du vide...Ce ravissement n'aboutit à rien... Au dernier mot du fil : hébétude, incompréhension, frustration, comme quand on se relève, étonnée, d'un moment d'ivresse. C'est fini et c'était quoi ?








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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
" Je sais pourtant que notre amitié était hors normes. Dès son début. Elle n'était pas faite d'élans, d'embrassades, de fougue. Mais d'une sérénité tranquille. de l'évidence d'être ensemble et d'une confiance absolue. Immédiate".
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Nous nous écrivions beaucoup.
Franck avait une écriture ronde et grasse.
Très belle. Très régulière. Que je lui enviais.
Nos vies ont été mêlées l'une à l'autre. Il savait chacun de mes gestes et il me disait ses mouvements. Nous racontions le quotidien des heures durant. Sans ennui. Je le présentais à tout le monde et je connaissais ses amis. Pourtant, nous nous sommes toujours laissé de la place. A chacun. Sans l'autre. Parfois, on se voyait moins. J'étais amoureuse, il était épris. Ailleurs, avec un autre. Nous aimions tous les deux la solitude et nous savions l'aimer chez l'autre. Nous sommes souvent partis en vacances ensemble. Mais ce n'était pas une règle. Nous ne nous sommes jamais rien imposé. Quand nous étions éloignés, ailleurs ou ici, nous nous écrivions. De longues lettres. Il n'était pas question de sentiments, de manque de l'autre, d'absence qui creuse. Mais d'ailleurs. Nous nous écrivions les beautés que nous avions entrevues, les couleurs d'un marché, l'insolite d'une rencontre, le goût d'un plat. Il n'y avait que de la gaieté dans nos lettres. Nous avions l'un et l'autre le goût de l'émerveillement et c'est cela que nous voulions partager.

J'ai gardé ses lettres. Elles font partie de ma vie. Je peux maintenant les relire sans nostalgie. Comme celles d'un ami que je n'aurais jamais revu. Qui aurait disparu. Un ami qui serait parti. Qui aurait pris on ne sait quelle route. Qui aurait foncé vers on ne sait quelle aventure. Qui serait heureux quelque part.
C'est un peu ça. Cet ami-là, qui m'écrivait ces lettres-là, je ne l'ai jamais revu.
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J'ai manifesté devant des ambassades. J'ai collé des affiches. J'ai fait circuler des pétitions. J'ai distribué des couvertures. J'ai crié des slogans.
Franck me regardait faire. Tout ça, ça ne l'intéressait pas.
Puis j'ai eu moins de souffle. Il y avait aussi la vie qui prenait du temps.
Alors j'ai écrit. J'ai toujours aimé ça. J'écrivais à des prisonniers politiques. Un peu partout. Dans plein de langues, y compris dans des langues que je ne connaissais pas.
Au début, il y avait un peu d'agitation dans ce geste-là aussi. Puis ça a pris du sens. C'est devenu un mouvement attentif et serein. J'écrivais de longues lettres. Je savais qu'elles n'arriveraient pas toutes mais j'écrivais. Parfois on me répondait. Et ces mots-là, qui me revenaient en retour, me disaient que c'était important. Que ce n'était pas juste des mots que j'envoyais au petit bonheur.
J'ai nourri des correspondances. Des passerelles fragiles. Avec quelques-uns, il n'a plus été question d'acte politique. De militantisme. Il y a eu des mots qui fraternisaient. Des liens.
Souvent je lisais nos lettres à Franck. Parce que c'était mas vie. Une partie. Que c'était important pour moi. Je ne lui disais pas tu devrais écrire toi aussi. Mais je crois que j'aurais aimé s'il l'avait fait. Mais ça ne l'intéressait pas.
Il se moquait un peu de moi quand j'écrivais de nouvelles lettres, quand je trouvais de nouvelles causes. C'était avec tendresse, mais il se moquait. Ce n'était pas grave. Au fond, j'aimais bien quand il se moquait de moi. Cela disait nos différences et nous n'aurions pas aimer nous ressembler.
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La première fois que Franck avait découvert la maison, il était tombé sous son charme. Le charme du lieu mais aussi de la vie qui y régnait. Ses parents étaient des gens simples et la culture l'éblouissait. Il avait passé des heures dans la bibliothèque à inventorier chaque titre. Il était fasciné comme un papillon. Mon père, paterne, lui avait fait visiter les lieux. Cela avait duré des heures sans que ni l'un ni l'autre ne s'ennuient. Mon père racontait l'histoire d'un meuble, d'un tableau, du tilleul devant la maison ou la saveur du cidre tiré de la pommeraie.
Franck prenait pour une faveur l'attention que mon père lui accordait. En fait, il était ainsi avec tous ses invités. Il adorait ce rôle de gentilhomme de campagne qui reçoit benoîtement, comme un chapelain qui fait les honneurs de son oratoire. En ville, il travaillait beaucoup et, enfermé dans ses pensées, il pouvait paraître distant. Mais dès qu'il retrouvait la maison, il était accessible à tout. Il adorait parler, raconter et il avait une verve de conteur. La beauté de la maison lui donnait un décor qui l'auréolait plus encore. Il prenait place en bout de table et l'on s'agrégeait à lui. On se serrait pour l'écouter parler. Il n'aimait rien tant que cet auditoire qu'il flattait de bons mots. Il était habile, il ne pérorait pas. Il questionnait, il appelait la réplique. Il pouvait parler de tout avec une aisance convaincue. Il inventait des théories, il concevait des systèmes comme en un tour de bras.
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Il n'y a pas de mots pour dire la fin d'une amitié. Moi, je n'en avais pas. Je n'allais pas dire Franck m'a quittée. Je ne pouvais pas non plus dire nous nous sommes séparés. Nous nous sommes disputés n'était pas vrai. Je n'avais pas de mots.
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Vidéo de Claire Huynen
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