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Jim Qwilleran (Le Chat qui...) tome 25 sur 29

Marie-Louise Navarro (Traducteur)
EAN : 9782264036872
256 pages
10-18 (05/06/2003)
3.31/5   62 notes
Résumé :
Thelma Thackery, quatre-vingt deux ans, une ancienne actrice, est de retour chez elle après cinquante-cinq ans passés à Hollywood. Jim Qwilleran, ravi de la revoir, l'accueille chaleureusement. Mais Koko, lui, se met à détester sur le champ le neveu de Thelma, Dick. Lorsque Thelma décide de transformer l'opéra de Pickax en cinéma, elle demande à son neveu de le diriger. Bien mal lui en prend. Elle découvre peu après que celui-ci commet des malfaçons. Lilian Jackson... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Perso je préfère le chats au chien, pour son indépendance, son insoumission.
Je n'ai jamais envisagé de posséder ni l'un ni l'autre, mes connaissances en matière de cohabitation avec un animal se limitent donc à ce que j'ai pu observer chez les autres.
D'ailleurs, possède-t-on véritablement un chat?
Je présume sa féline fidélité plutôt ténue et gentiment opportuniste.

En tout cas cette préférence toute subjective ne suffira pas à m'affilier aux club des admirateurs de Lilian Jackson Braun.
Et pourquoi cha mon cer Rotsen?
Tout chat ne casse pas plus la baraque que trois pattes à un canard, un pastiche de comédie de moeurs à l'anglaise délocalisé dans une région bucolique des Etats Unis. Coté intrigue, un oisif richissime joue les Hercule Poirot au sein d'un aéropage bourgeois, plus ou moins mystérieusement secondé par ses chats siamois.
On appréciera épisodiquement un humour à l'anglaise trop souvent galvaudé façon sitcom et sans doute achevé par la traduction.

Renseignement pris, il semble qu'avec les mêmes ingrédients Lilian Jackson Braun ait concocté meilleure pitance mais tant pis pour elle, et peut-être pour moi, le mal est fait, sauf disette radicale, je n'envisage guère y revenir.

Pour finir sur une note plus positive, je mettrai à son crédit la découverte du mot "ailurophilie".
C'est déjà chat.

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Un petit changement pour l'auteure qui ouvre son roman par une lettre à ses lecteurs. Elle nous présente la façon dont Jim Qwilleran est entré dans sa vie vingt cinq plus tôt. Ce personnage, ses chats, sa vie et sa moustache.

Dans cette histoire, nous voici confronté à une dame de 82 ans, ex-propriétaire d'un club privé d'Hollywood, de retour au pays pour y finir ses jours, "pour y mourir, mais pas tout de suite".

Elle amène avec elle ses chapeaux extravagants, ses bijoux voyants, ses perroquets flamboyants, son employée effacée et son neveu magouilleur...

Encore une histoire de famille, de magouille, à la hauteur du talent de Koko.
Encore une occasion pour Qwill de quelques rencontres nouvelles et de quelques idées pour "la plume de Qwill."
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Retour à Pickax

Thelma Thackray, quatre-vingt deux printemps, revient s'installer à Pickax, sa ville natale, qu'elle avait quitté très jeune pour faire fortune à Hollywood. Thelma a acheté l'une des plus belles maisons de la rue principale, elle arrive avec Janice une jeune femme qui lui sert de dame de compagnie, de son neveu Dick et de ses perroquets ! Voilà de quoi alimenter la gazette locale et attiser la curiosité des habitants du comté de Moose, les bipèdes comme les chats, notamment ceux de Qwill, KoKo et Yomyom.
Autant le dire tout de suite, ce volet n'est pas le meilleur de la série des « le chat qui… ». Il se lit sans déplaisir mais sans réel intérêt non plus, il ne s'y passe pas grand-chose et les évènements qui surviennent, à 600 kilomètres au nord de partout, sont assez prévisibles.
Une petite déception pas totalement compensée par le plaisir de la compagnie des deux siamois…
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Voici une nouvelle aventure de Jim Qwuilleran et de ses deux chats, Koko et Yom Yom. Une riche octogénaire, Thelma, revient finir sa vie dans sa ville natale après avoir passé 60 ans à Hollywood.
Elle décide d'ouvrir un cinéma et en confie la gestion au seul membre de sa famille encore vivant, son neveu.
Bien que la série de livres "le chat qui..." soit annoncée comme policière, je trouve que l'enquête est annexe et que la qualité des romans tient à l'attachement de l'auteur pour les animaux. J'aime beaucoup la manière dont Qwill s' occupe de ses chats, leur lisant des histoires pour les instruire ou les endormir. Et le fait que presque tous les habitants en possèdent un, voire deux, et se demandent des nouvelles de leurs quatre pattes. Ainsi un des fils rouges de cette oeuvre est la soirée caritative pour récolter de l'argent pour s' occuper des chatons non désirés.
Les chats sont personnifies, doués d'intelligence et de compréhension, il ne leur manque que la parole. En tout cas, ils sont traités comme des individus à part entière.
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Une vieille dame qui retourne dans son village à 600 Km au nord de nulle part. Elle porte des chapeaux improbables et souhaite créer son club de cinéma. Mais pourquoi Koko déteste-t-il tant la musique de Prokofiev "Le joueur" ? Qui a enlevé les perroquets de la vieille dame ? Que fait Koko lors de la représentation pour le Kit Kat - un club de protecteurs des chatons abandonnés ?... Vous aurez la réponse en lisant ce livre décrivant une fois encore les petits rien du quotidien.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Milo découvrit qu'il pouvait fabriquer des liqueurs fortes à base de pommes de terre. Grandpa l'aida à construire un alambic et cela marcha ! Des clients se présentaient à la ferme en Modèle T et en chariots tirés par des chevaux. Malheureusement pour l'heureux fermier, les agents du fisc vinrent également. Ils démolirent la distillerie et répandirent l'alcool sur le sol. (Jusqu'à ce jour persiste la croyance que c'est à cela qu'est due la supériorité de la saveur des pommes de terre dans tout le comté de Moose.)
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Mais la décoratrice sophistiquée et la douce petite chatte avaient souffert d'inimitié réciproque dès le début de leurs relations. Yom Yom était possessive à l'égard de Qwilleran et Fran avait toujours été attirée par sa grosse moustache ou par son importante fortune, ou peut être par les deux.
...
Ses premiers mots en arrivant pour son margarita furent:
- Où est elle?
Page 43 et 44

- avant que vous ne partiez, laissez moi ramener Yom Yom. Il est grand temps que vous deux, femelles, vous enterriez la hache de guerre.
- Non, non! Elle va filer mes bas, même si elle ne me brise pas la cheville!
...
Il regarda Koko avaler son dîner et Yom Yom grignoter le sien avec élégance. Comment cette douce petite créature pouvait elle être accusée de faire filer les bas?
Plus tard, il demanda à Polly au telephone:
- Catta fait elle jamais filer les bas des femmes?
- Non. Pourquoi cette question?
Pages 47 et 48
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Les siamois se joignaient toujours à l'auditoire - plus pour être ensembles que par amour de la musique. La première aria du soprano les amenait toujours à recouvrir leurs oreilles avec leurs pattes arrière.
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Une femme sans homme est comme un poisson sans bicyclette.
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Les invités se promenèrent dans le jardin, commentant les plantations, visitant la mare aux papillons et découvrant le belvédère. Ils regardèrent les siamois comme s'ils étaient des créatures de zoo et les siamois les considérèrent de la même façon.
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
Le chat qui avait un don

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