Oeuvre d'un écrivain visionnaire, ce roman d'après l'Apocalypse a reçu outre-Atlantique les éloges d'une presse déchaînée qui n'a pas hésité à évoquer « un cocktail littéraire où Samuel Beckett rencontre Philip K. Dick » ou encore « le genre de livre qu'aurait pu écrire Herman Melville s'il vivait aujourd'hui après avoir lu Fahrenheit 451 et vu Star Wars ou Apocalypse Now, tout en écoutant Jimi Hendrix et les Rolling Stones ».
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.