Indigo

J'ai ‘rencontré' Graham Joyce en lisant son « Lignes de vie » que j'ai dévoré ! Quelques jours après avoir refermé le livre, j'apprenais avec beaucoup de tristesse son décès.
J'ai trouvé ce roman chez pêle-mêle bouquiniste 2ème main en cherchant un Tracy Chevalier pour la lecture scolaire de mon fils aîné. Toujours attirée par cette collection qui me rappelle mes lectures d'ado, PAF, je trouve un Graham Joyce ! Ça c'est du bol !
L'Indigo est une couleur disparue du spectre, le père de Jack Chambers l'a recherchée toute sa vie. Père indigne s'il en est et manipulateur par-delà la mort, il désigne son fils qu'il a rejeté comme exécuteur testamentaire, lui faisant prendre contact avec sa demi-soeur qu'il connait à peine et par laquelle il est très attiré. Les clauses de ce testament sont la publication d'un obscur mode d'emploi pour retrouver l'Indigo par lequel on atteint l'invisibilité, et mettre la main sur Nathalie, qui héritera de la majorité de la fortune du patriarche Chambers.
Le roman en soit est étrange et sa construction intéressante. Il alterne les péripéties des héros et des chapitres qui reprennent le livre écrit par le père.
Jack se prend au jeu du livre de l'invisibilité, il est attiré par sa soeur, fréquente « Nathalie » , sans le vouloir, il est entrainé presque jusqu'au bout dans la folie du vieux fou. Et il est toujours dangereux d'aller au bout de la folie.
Entre l'Italie et les U.S.A, la quête de Jack et de sa soeur pour retrouver la couleur située entre le bleu et le mauve, l'enivrant Indigo qui a ruiné tant de vies.
En bref, j'ai aimé, même si j'ai eu des difficultés a vraiment rentrer dans l'histoire. le personnage de Jack est très attachant et on se demande jusqu'au bout si il trouvera ce qu'il cherche.

Jack Chambers quitte Londres pour Chicago, où son père, Tim, vient de décéder. Il n'a jamais été proche de ce dernier, ayant fait sa connaissance alors qu'il était déjà jeune homme, et la rencontre fut par ailleurs de courte durée. Seulement, le défunt l'a désigné comme son exécuteur testamentaire, tâche qui consiste entre autres à faire publier un étrange ouvrage qui délivre une méthode pour apprendre à distinguer l'indigo, couleur disparue du spectre, et à retrouver une certaine Nathalie, principale héritière de la fortune de Tim. A cette occasion, Jack revoit la demie-soeur entraperçue quelques années auparavant, et ne reste pas insensible au charme de celle qui est devenue une femme très séduisante.
La quête de la fameuse Nathalie les mène à Rome.

Vous trouverez les romans de Graham Joyce au rayon science-fiction de toute librairie. Mais si ses textes tournent en effet autour de thèmes du genre, ce sont sur d'autres aspects que réside leur principal intérêt.
Prenez, par exemple, "Indigo", où il est question d'invisibilité, sujet ô combien bateau et déjà traité -parfois même avec talent- par de nombreux autres écrivains.
Là où Graham Joyce fait preuve d'originalité, c'est qu'au final, personne, dans son roman, n'est invisible...
Mais cela n'a aucune importance, le point de départ de son intrigue n'étant finalement qu'un prétexte, un contexte qui lui permet d'installer une ambiance bien particulière, et de générer entre ses héros des rencontres puis des relations qu'il s'applique à doter d'une passionnante complexité.

Baigné dans une atmosphère presque glauque, curieux mélange de sensualité et de mystère angoissant, le lecteur assiste aux tourments intérieurs dans lequel son attirance pour sa demie-soeur plonge Jack. Les descriptions précises et imagées des différentes lieux où se déroule l'intrigue, le sens de l'ellipse de l'auteur, qui entretient tout au long du roman une tension insidieuse, contribuent à rendre son récit très prégnant.

"Indigo" ne compte aucun temps mort, et associe maîtrise et richesse narrative. Et c'est à la fois efficace et captivant...
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Ne partageant pas la même opinion que les autres membre du Babelio, il faut dire que ma dernière lecture Fumée d'Opium ne valait pas mieux que celui-ci. Il faut dire que s'est une amie qui me la référer étant donné qu'elle a pu tenir que cent page sur trois cent. Et je comprends la raison de son désistement, moi-même j'aurais arrêté ma lecture plus tôt mais étant donné que tout le monde donnait de bonne côte alors j'ai continuer de le lire. Je ne sais pas pour vous, mais je n'ai absolument rien compris à cette histoire qui mélange, livre particulier, SEXE si vous ne l'avez pas vu dans le livre, sens et drogue. En tout rien de nouveau sous le soleil, une histoire sans fil cohérence et une grosse perte de temps. À évité que ce soit pour un voyage ou seulement en ville laisse-le gardé la poussière.

Qui donc ne c'est jamais refermer dans son monde. On est tous pationne de quelque chose. Ce qui fais de nous des pationnes. Mais il y en a qui sont des extrémistes qui vont audela deleur conviction. La preuve quand on a foie en quelque chose on est confiant et avanturieux notre curiosité n'en demande que cela. Dans ce livre l'auteur nous montre jusqu'à qu'ou on peut yeux aller pour satisfaire notre curiosité. On est tous d'une façon une autre des passionne. J'ai adorer lire ce livre et chaque passage était pour moi une sensation de déjà vu. C'etait comme si l'auteur s'est inspire de mes penses pas seulement les miens mais ceux de nous tous. Car chui convaincu que nous avons pensée un jour eu la vision d'inover le monde comme Tim.

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