Comme pour Louis XI, comme pour Richard III, Paul Murray Kendall a voulu, en se penchant sur la vie de Richard Neville, comte de Warwick, tirer du purgatoire, " réhabilliter ", en quelque sorte, une grande figure du XVe siècle dédaignée par les écrivains Tudor et que Shakespeare présente, dans les trois parties de son Henri VI, comme un baron belliqueux dont la voix se perd dans le tumulte d'une époque chaotique.
En fait, Warwick, que l'on surnomma le...
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