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4,29

sur 4186 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Les voyages dans le temps ne sont pas toujours bénéfiques, les répercussions sont des fois dévastatrices !! C’est ce que je me suis dit quand j’ai lu la quatrième de couverture. Plusieurs témoignages me sont venus à l’idée : Retour vers le futur, les romans de SF …Les années 60 ! Ça me fait penser à la série que j’adore : Mad Men. J’adore l’atmosphère qui s’y dégage, même si l’on voit le côté riche de la société.
Alors, si le voyage dans le temps est l’élément le plus important, je me promets que tout ce qui se passe avant ce voyage doit être changé en mieux. Je me suis donc promis de retenir toutes les informations pour envisager ce qui va être changé lors du voyage dans le temps !

***SPOILER***
On suit un homme qui n’a pas la larme facile. Il est professeur d’Anglais, récemment divorcé d’une femme rencontrée lors de réunion des Alcooliques Anonymes. Cependant, il verse des larmes lors de la lecture d’une copie de l’home de ménage du lycée, un cas social risée par les élèves car il est trop simplet pour eux. Dans la copie l’homme de ménage raconte le soir où son père à tué toute sa famille et qu’il a faillit y passé. Jack lui met la meilleure note, même si c’est bourré de fautes.
Après une ellipse longue de 2ans, on congratule cet homme qui vient d’être diplômé et va se faire un gueuleton avec Jack chez Al Templeton, un restaurant dans un airstream et ami de J, habitué de manger dans son resto.
Un soir Al appelle Jack lui demandant de venir tout de suite. Interloqué, J arrive et est encore plus intrigué lorsqu’il aperçoit son ami vieux, cancéreux,
C’est alors que Al lui demande de l’écouter sans l’interrompre (le temps lui est compté et il crache du sang régulièrement dans ses quinte de toux) pour lui demander une requête. Pendant la nuit il a remonté le temps en passant par un passage secret au fond de la caravane, il a atterrit au milieu du XXe siècle et y a vécut pendant quelques années.
Il y explique alors les règles de ce voyage dans le temps : tous les voyages durent 2 minutes dans le monde d’aujourd’hui, les actions passées peuvent subsister et donc modifier les conséquences d’aujourd’hui. Et chaque nouveau voyage annule toutes les actions faites au précédent voyage à l'exception de quelques effets secondaires minimes.
Jack fait alors une expérience test et comprend l’engouement de son ami.
Bref Al meurt à petit feu pendant sa litanie de 200 pages sur lesquels il explique tout ce qu’il doit faire et le faire comprendre le mécanisme et la tâche à accomplir. Mais Jack ne prend pas de notes sur tous ce qu’il doit faire, où se rendre avec qui, Al lui donne un carnet remplie d’annotation afin de tuer Lee Oswald.
Jack prend la route et décide d’acheter la Ford Sunliner, ce qui lui permet d’aller à Derry pour contrer les gestes du père d’Harry. Arrivé à Derry, il se sent tout de suite mal à l’aise. En bavardant avec un barman, il apprend alors qu’il y a une série de meurtres mystérieuse d’enfants commis par par un clown (référence à Ça).
Il attrape une gastro entérite qui lui fait faire perdre du poids et du temps mais semble être aidé au dernier moment par le frère d’une victime du père de Harry. Revenu en 2011, il fait part à Al de ses appréhensions.
Plus tard Al se suicide et Jack reprend la route en modifiant ses intentions pour tuer.
Il s’arrête consciencieusement à des endroits stratégiques et commence à suivre Lee et arrive à Dallas. Puis il rencontre Sadie, et vont vivre tous les deux une romance un peu houleuse et vont ainsi s’entraider pour mener à bien la mission.
Jack esseulé, épie Lee Orwald mais ça ressemble un peu à de la téléréalité, le mini chapitres font que quelques lignes et sont très nombreux.
Et puis tout s’accélère lors des dernières centaines de pages.


Je ne sais pas si c’est moi qui se lasse des Stephen King, mais je trouve que ces livres sont de plus en plus médiocres ! Même si le côté réaliste est un peu plus prononcé, je trouve qu’il manque le petit truc de SK.
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j'ai trouvé ce livre trop long, beaucoup trop long...le sujet principal débute à la page 500 environs, avant ce sont des petites histoires...Je n'ai pas aimé le style...
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Pfff, quelle perte de temps !
J'ai été très fan de King depuis mon adolescence jusqu'à il y a peu...
Et là, c'est le dernier petit caillou pour mon tas de "ras le bol". Enfin... petit, petit... 1000 pages, le "petit" pavé !
Moi qui me faisait une fête d'avoir 1000 pages de mon auteur vivant favori pour moi toute seule... d'autant plus sur une époque qui me fascine...

Ce n'est pas que c'est mauvais : King sait toujours utiliser avec maestria le sujet verbe complément.
Et même, je vais pousser le vice à dire que si c'est une première lecture de King, c'est un bon choix !
Mais quand on a déjà lu tout ce qu'il avait écrit (ou presque mais vu que j'en ai lu certains une dizaine de fois, on va dire que ça compense), ben... ça fait longuet !
Pas de surprises : on retrouve toujours son lien d'un livre à l'autre (ici, c'est Ca qui est cité), son chien torturé (je le guette à chaque fois tant ça m'insupporte), l'histoire d'amour qui n'a aucun avenir (il aurait pas un peu trop lu Roméo et Juliette ?), son crescendo mythique (qui met 900 pages à se hisser péniblement) et son dénouement rapide (qui, en avis extrêmement personnel, manque de peps, était prometteur de tant de choses et qui s'aplatit comme un soufflé Gastonnesque).
On retrouve aussi son style si particulier, ses bons mots...
Par contre, on échappe vaguement à LA scène d'accident de voiture... pour retrouver plus loin ce qu'il avait besoin d'exprimer sur son séjour à l'hôpital. Perso, je trouve ça un poil redondant de lire encore et encore et encore les conséquences traumatisantes de son propre accident. Je suis son lecteur, pas son psy... même si j'accepte volontiers que l'écriture peut être une excellente thérapie. Mais environ dix ans et une dizaine de bouquins après, c'est possible de passer à autre chose ?

Zut, quoi ! J'ai eu l'impression de relire une énième fois un ancien roman (n'importe lequel) !
Le pire, c'est que ça reste du bon King, hein ! Mais pour un novice du genre...

Pour ma part, je pense lire Dôme et si celui-là est tout aussi mou du genou, je laisserai tomber définitivement le genre.
Désolée, King ! Mais fallait pas se reposer sur ses lauriers...

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Bon je viens de finir 22/11/63 et franchement ben j'ai vraiment pas accroché ! Il aurait pu se contenter des 300 dernières pages ! Pourtant je trouvais l'idée de base franchement géniale ... Mais il est où le Stephen King de "Misery" ou de "La part des ténèbres" ????
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Une première pour moi qui n'avais jamais testé Stephen King.
Et pour le coup, plutôt déçu...
Si comme moi, vous espérez lire un roman de science fiction, passez votre chemin.
Il s'agit en réalité d'une simple histoire d'amour, le voyage dans le temps ne servant de prétexte qu'a nous décrire la vie dans les années 60 et la rencontre du héros avec une femme dont il tombera amoureux.
Un tiers du bouquin (si c'est pas deux) est inutile, car ne contant que l'idylle du héros.
L'observation (l'espionnage) de Oswald est plutôt monotone et même inintéressante.
Seul le début et la fin sont sympas. Mais se taper 900 pages juste pour ca, ca fait un peu mal... Heureusement, que l'on peut sauter des paragraphes entiers sans rien perdre de l'histoire (on n'achète pas un livre sur l'assassinat de JFK pour lire qu'un gars fait l'amour a sa femme, que les tomates ont meilleur goût, ou qu'un dj a piqué des vinyles pour son gala de danse...).
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U n rendez-vous manqué avec ce livre. Commencé deux fois, jamais pu aller jusqu'au bout. Trop long, pas captivant, une impression de "retour vers le futur 7"... Bref, sûrement un petit accident de parcours sur le long chemin avec le KING que j'adore par ailleurs !
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Sans être un inconditionnel de King, j'ai connu de grands moments de lecture avec cet auteur, mais là je mentirais en disant que c'était l'extase.
Premièrement, c'est long, très long! Et poussif. La longueur il faut pouvoir la tenir.
Le voyage dans le temps est un sujet qui peut donner d'excellents romans: le voyageur imprudent, de Barjavel par exemple, où le héros va lui aussi tenter de "réécrire" L Histoire.
Le sujet était donc prometteur, mais au lieu de ça, une romance hors de propos occupe une bonne partie du récit où King nous inflige une nostalgie facile des années 1960. le début était pourtant accrocheur, ainsi que le portrait intime d'Oswald.
King écrit trop et ça ne marche pas à tous les coups. Enfin, ce n'est que mon avis!
Ses grands crus, je les ai plutôt trouvés dans Cujo, Misery, Dolores Clairborne, pour ne citer que ces trois romans.
Une déception donc.
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Il y a presque 50 ans, « 22/11/63 » de Stephen King
Voilà un petit rappel à l'ordre : voir sur un réseau social un de mes contacts lire ce roman ! Je suis vraiment à la bourre dans la rédaction de mes articles ! Mea culpa ! Mais cette année, mon rythme de travail m'empêche d'être rigoureuse et régulière sur mon blog…Promis, je vais faire des efforts…
Il ya plus d'un mois – voire plus – j'ai lu ce pavé de Stephen King – plus de 900 pages…. Alors le projet est ambitieux : raconter le monde sans l'assassinat de JFK…comment ? en imaginant que Jake, le héros du roman, un professeur vivant au XXIe siècle, plonge dans le passé et change le cours de l'Histoire.
Sur le papier, le projet est intéressant : savoir quel monde le président Kennedy aurait pu construire sans l'acte meurtrier de Lee Oswald. Mais la réalisation n'est pas à la hauteur du projet et c'est bien dommage.
Dès le début je suis déçue par cette science fiction qui permet à un homme de plonger dans les années 60… mais à la limite, pourquoi pas ? Il faut bien trouver un moyen de faire un bond dans le passé. Mais Stephen King se perd dans son sujet en introduisant ce qui pour moi est une erreur : une histoire d'amour mièvre et mielleuse entre Jake et Sadie. Et quelle déception de voir le roman tourner au sentimentalisme !!!
J'aurais aimé que le monde avec Kennedy nous soit raconté, qu'il y ait une vraie analyse de ce personnage politique et de ses actions. Et bien, je reste sur ma faim malgré les presque mille pages…
En résumé : un projet ambitieux et intéressant mais une réalisation décevante…

Lien : http://gourmandisesetplaisir..
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Vous savez sans doute que, dans la vie, les choses ne tiennent parfois à rien : un instant, un détail, un regard, une parole et tout bascule. Il en est allé de même avec le 22/11/63 de Stephen King, si je vous en parle aujourd'hui, si j'ai décidé qu'il valait la peine que je vous en parle c'est grâce à cette phrase de la page 668: « Elle me regarda avec des yeux effrayés d'espérer et qui espéraient quand même ». Cette phrase a résonné en moi comme un écho, allez savoir pourquoi, et rien que pour le fait de l'avoir lue, je me suis dit que le livre en valait la peine.

C'est là que vous tiquez et que vous vous dites « attends, elle va me vendre une livre qui n'a de l'intérêt que pour une obscure phrase à la page 668 ? ».
Et bien, oui et non. C'est à peu près ça, mais pas tout à fait.

Retrouvez la chronique complète sur mon blog!
Lien : http://mesmotsenblog.blogspo..
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Pas du tout ce dont je rêvais. Dommage
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