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4,29

sur 4110 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Oulalalala… Il y avait bien longtemps que je n'avais ouvert un livre de Monsieur King, moi qui en ai lu beaucoup. J'avais cessé après la fin du cycle de la Tour Sombre (trois lectures tout de même) pour lequel je voue un culte totalement inexplicable mais assumé.

J'ai acheté 22/11/63, poussée par la prolifération des chroniques venant de ceux qui habituellement snobent Stephen King. La chronique française est-elle malade? Pourquoi honore-t-elle désormais celui qu'elle n'a jamais considéré? Anticipe-t-elle la disparition de l'un des écrivains les plus populaires aux Etats-Unis? Parce que… Quand même… Hein… Le Figaro en cause et même Télérama. Tous s'y mettent.
Pourtant, ce nouvel engouement ne peut s'expliquer par une actualité littéraire franchouillarde désertique.
Pendant que le Salon du Livre de Paris battait son plein, l'aimable bobine du vain Foenkinos souriait sur tous les plateaux de télévision.
Sans compter une pathétique théorie du cochon aussi croustillante qu'un pied de porc frit, déshonorant à la fois l'édition, le journalisme, la relation amoureuse et l'art d'écrire.

Stephen King a donc eu l'heur de bénéficier d'une couverture médiatique inattendue. Laquelle m'a donc fait renouer avec ce diable d'Américain qui a l'art de titiller les zones d'ombre des âmes qu'il piège.
Il y eut également le billet enthousiaste de gruz pour achever de me convaincre.
Bon mais alors?

J'ai lu du Stephen King! Non, je ne suis pas en train de sucrer quelques fraises, de bavoter devant les feux de l'amour. L'esprit clair, je partage avec vous ma surprise. Il était question de l'attentat de JFK, des années soixante aux states, d'une page d'histoire traumatisante qui n'en finit jamais d'être questionnée. J'avais donc supputé que monsieur King avait amorcé un virage, qu'il offrait 900 pages marquant une cassure avec les Territoires qu'il arpente depuis tant d'années.
J'ai très mal supputé. J'apprendrai donc la supputation, ce qui me donnera un objectif en cette année 2013.

J'ai lu du Stephen King. du très bon Stephen King. Dense, bourré de clins d'oeil à sa propre production, on découvre d'autres Territoires que ceux du talisman, on dresse l'oreille devant des prénoms qui font écho à d'autres ouvrages, on frissonne dans l'ambiance terrifiante qui écrase Derry, toujours étouffée par quelque chose que l'on nommerait Ça. L'immeuble qui abrite Oswald, son fusil et son projet de meurtre présidentiel émet ses vibrations maléfiques qui poussent les passants à changer de trottoir.
Et parmi ses propres références discrètement disséminées, l'écrivain rend hommage de temps à autre à ses pairs. de quoi créer un quiz.

J'ai lu du Stephen King. J'y ai retrouvé la violence des hommes, des pères envers leurs gosses, des hommes envers leur femme. J'ai observé cette redoutable béquille qu'est l'alcool que l'écrivain a bien connu.
J'ai cueilli la beauté ordinaire des gens banals, celle qui donne espoir. le lien qui fait le temps, le lien qui emplit la vie par le sens qu'il lui donne.

J'ai lu du Stephen King et me suis frottée à cette possibilité folle qui permettrait de défaire l'irrémédiable le plus douloureux. Dans Simetierre, les terres sacrées redonnaient un simulacre de vie à l'être aimé décédé. Dans 22/11/63, le temps se défait, se remonte, se change. Mais le prix à payer n'autorise pas la folie. Les bons sentiments individuels s'opposent aux lois de l'univers. Ici, il est question de l'effet papillon.

J'ai lu du Stephen King qui n'encense aucune époque. Les saveurs des aliments des années soixante tiennent peu devant ces toilettes réservées aux gens de couleur, sur un chemin garni de sumac vénéneux.

J'ai lu du Stephen King qui mêle le meilleur et le pire de l'homme. Une godiche blonde irrésistible contre une bande d'ados presque sortis de Carrie. Des petites frappes contre d'aimables citoyens.

Bref, j'ai lu du Stephen King soit plus de 900 pages digestes. L'homme possède indéniablement en plus d'un imaginaire détonnant un sens aigu de la narration.
Mais je mets un bémol: ma propre imagination trop cartésienne ne m'a pas permis de comprendre le lien entre un attentat évité et l'apparition de certains évènements. Les cordes du temps s'étaient trop emmêlées.

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J'ai terminé la lecture de ce pavé il y a plus d'un mois mais de tristes événements familiaux m'ont empêchée de publier mon avis dans la foulée.

Finalement, ce n'est peut-être pas plus mal d'avoir laissé passer autant de temps avant d'exprimer mon ressenti de lecture car je constate que cette lecture ne m'aura pas durablement marquée. Pourtant, ce roman m'a accompagnée de longues semaines.

Comme dans nombre des écrits de Stephen King, j'y ai retrouvé des longueurs et de la description au kilomètre, éléments qui me lassent toujours assez rapidement avec cet auteur.

Au détriment de l'action proprement dite.

J'ai toutefois voulu persévérer pour deux raisons. Premièrement, je suis depuis longtemps "fascinée" par l'assassinat de JFK ; deuxièmement, je ne m'attendais pas du tout à une oeuvre de science-fiction et j'ai été curieuse de voir ce que le King allait faire de ce voyage dans le temps, au propre comme au figuré.

Globalement, même si certains passages m'ont davantage plu que d'autres, je me suis ennuyée. J'ai trouvé l'histoire bancale et poussive, et même si l'évocation des années 50 et 60 de l'american way of life possède quelque charme, elle a été insuffisante à me passionner. L'autre hic, c'est que je n'ai pas adhéré au personnage principal, également narrateur. Je l'ai trouvé trop permutable avec l'auteur que j'ai tendance à trouver complaisant vis-à-vis de lui-même et de son oeuvre. Tout cela m'a un peu gâché le plaisir de la lecture.

Sinon, je reconnais l'originalité, l'audace et la persévérance de Stephen King ; ses recherches et sa documentation sont remarquables de précision. "22/11/63" se lit bien - à défaut de vite - même si personnellement j'aurais retranché un bon tiers voire la moitié du volume.


Challenge PAVES 2023
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Le voyage dans le temps a largement inspiré la littérature, même Shakespeare y faisait allusion dans La Tempête, ou plus « récemment » (19 è siècle quand même !), H. G. Wells avec La machine à explorer le temps, qui reste une référence du genre.

Ici, pas de machine à remonter le temps ou de magiciens pour vous projeter dans un autre espace-temps, non, juste trois marches. Trois petites marches qui vous ramènent toujours à la même époque et au même endroit.

A ce voyage dans le temps, S. King ajoute un but, l'uchronie - modifier un événement du passé pour modifier l'Histoire ensuite-, non sans oublier de s'interroger au passage sur les conséquences, le fameux effet papillon. Mais attention, ce n'est pas aussi simple, le passé ne veut pas être changé.

Le narrateur est donc entraîné par son copain al dans cette aventure, al ne pouvant accomplir le destin qu'il s'est fixé à cause d'un cancer qui le ronge. Il faut sauver le président Kennedy pour, n'ayons pas peur des mots, sauver l'humanité. Jack accepte, mais pas pour Kennedy. Il accepte pour un de ses élèves, Harry.

Dans un premier temps, je dois avouer qu'en mon fort intérieur, je me suis insurgée contre cette pensée qui consiste à dire, pour reprendre une image soufflée par quelqu'un de proche, que lorsque les Etats-Unis éternuent, le monde entier s'enrhume. Évidemment cela devait concerner Kennedy.

Mais S. King est américain, et c'est avec sa sensibilité américaine qu'il pose les fondations de son livre.

Son vécu, son ressenti lui permet d'ailleurs de revisiter non seulement l'Histoire américaine - avec un "H" majuscule- sur laquelle il s'est beaucoup documenté, mais aussi l'histoire américaine -la petite histoire- dont il a lui même été témoin. Il nous dépeint une Amérique des années 50-60 émouvante avec son Lindy-Hop et sa racinette, mais aussi cruelle, avec ses relents de discrimination raciale (je pense notamment à la planche qui sert de toilettes aux noirs) et son lot de violences. On s'attache à sa galerie de personnages, « Deke », Mick, Bobbie, et bien sûr Sadie et Jack, on ressent ce que ressent le narrateur face à Jodie, Derry ou Dallas. S. King nous plonge avec le talent d'un véritable conteur dans cette Amérique révolue.

Mais tant de pages, était-ce nécessaire ? A mes yeux non. J'ai parfois eu du mal à résister à la tension de sauter certains passages qui traînaient en longueur, j'ai même songé à mettre cette lecture en pause, le temps d'un autre roman, mais, et là se trouve le paradoxe, je n'en ai pas été capable. J'avais en quelque sorte remonté le temps moi-aussi.
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
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En Résumé : J'espérais avec ce roman renouer avec le meilleur de l'auteur, j'y ai même cru avec les premières pages qui ont rapidement réussi à me happer, offrant une histoire de voyage dans le temps pleine de réflexions et d'idées intéressantes, basant le tout sur des règles simples mais efficaces. Puis finalement au fil des pages j'ai commencé à décrocher légèrement, l'auteur rentrant beaucoup trop dans les détails, selon moi, offrant des répétitions voir même retardant de trop sa conclusion en jouant avec excès sur cette idée que le temps se défend pour pas qu'on ne le modifie. J'ai trouvé cela dommage, car on sent bien que l'auteur s'est fortement renseigné, nous offrant une période de 1958 à 1963 vraiment fascinante et soignée. de plus les personnages m'ont vraiment accroché et cette fameuse histoire d'amour a même réussi à me toucher. Je pense que ce livre, avec facilement 200 pages de moins, aurait été plus abouti et réussi. Il a fallu en effet attendre la dernière partie pour que je sois de nouveau captivé par les aventures de Jake qui offrent une conclusion vraiment efficace et poignante. Au final ce n'est pas le meilleur roman de l'auteur, mais je l'ai trouvé tout de même plutôt sympathique avec ses qualités et ses défauts.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
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Il paraît que 22/11/63 n'est pas un livre représentatif de l'oeuvre de Stephen King. du coup j'ai choisi un extrait qui ne reflète pas le noeud de l'intrigue, ça me paraissait cohérent. de toute façon, sur plus de mille pages, forcément, il y a un peu de tout. Et il se trouve qu'en plus de voyager dans le temps et de changer le cours de l'histoire, Jake Epping devient George Amberson et tombe follement amoureux de sa collègue bibliothécaire, Sadie Dunhill. En voilà une bonne nouvelle – surtout qu'il paraît que les élèves aiment toujours voir deux profs se mettre ensemble. Sauf que ça complique une situation déjà difficile. Car Jake/George a hérité d'une lourde tâche, difficilement conciliable avec son idylle : arrêter Lee Harvey Oswald et sauver John Kennedy. Rien que ça.

Reprenons du début. Jake Epping est un prof de littérature à l'université, divorcé, qui n'a pas la larme facile (c'est la première phrase du livre et l'auteur nous le rappelle environ toutes les 83 pages, au cas où). Un jour, il est profondément bouleversé par un devoir rédigé par le concierge du lycée : celui de l'assassinat de sa mère et de ses frères et soeurs par son père. Un autre jour, il se trouve être le confident d'un secret inexplicable : à l'arrière d'un petit boui-boui qui vend des hamburgers pour un prix dérisoire, existe une sorte de faille qui emmène tout droit en 1958, toujours le même jour à la même heure. Chaque passage remet les compteurs à zéro : c'est donc l'opportunité rêvée d'empêcher des événements tragiques d'avoir lieu, qu'ils soient à l'échelle personnelle ou internationale. Jake/George se laissé embarquer, et c'est au cours de l'un de ces voyages qu'il rencontre la grande et belle Sadie. Sauf que je vous rappelle que ça complique tout : lui qui avait prévu d'être concentré uniquement sur la mission qu'il avait acceptée, se trouve à avoir peut-être envie de vivre sa vie, quitte à changer de priorités.

En bref, un très gros roman qui m'a agacée souvent et transportée parfois. Stephen King revendique de ne pas avoir de style, et on ne peut que lui accorder cela. Sauf que parfois il s'essaie à la formule et cela devient soit un peu ridicule, soit assez abscons. Ce détail de taille mis à part (avec les trop nombreuses adresses faites au lecteur), l'imagination de l'auteur a le mérite d'être fournie. Un peu trop parfois, notamment lorsqu'il imagine les effets des voyages à répétition dans le passé et les modifications qu'ils entraînent – trop de pathétique tue le pathos (véridique !).

Je critique, je critique, mais 22/11/63 parvient tout de même à composer un monde cohérent et l'intrigue est assez bien ficelée pour que ça fonctionne. J'ai mis du temps à me mettre dedans, mais la curiosité m'a poussée à avancer, à arriver au bout, le sourire aux lèvres. Il y a de belles choses et cela donne envie d'apprendre à danser le lindy-hop et de trouver ses propres harmonies. Car « la danse, c'est la vie ». La musique, la lecture et nous aussi.
Lien : https://auxlivresdemesruches..
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Un pavé où l'on ne s'ennuie pas du début à la fin. Que demander de plus.
Ce roman se partage en deux phases : la première où le héros découvre sa nouvelle vie dans une époque où les gens ont une grande soif de vivre. Mais cette société dans les années 60 est aussi bien violente. J'ai beaucoup aimé ce parcours et cette découverte.
Dans la deuxième partie on entre l'air de rien dans le vif du sujet. Kennedy sera-t-il sauvé ? Il faut vraiment aller jusqu'au bout pour le savoir et on est pressé de le savoir. Les pages se tourneraient presque toutes seules !
Enfin, la conclusion : modifier le passé pour quoi faire, pire ou mieux ?
Bref un bon Stephen King.
Finalement ce roman pourrait s'appliquer à n'importe quelle époque de l'Histoire.
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Quel pavé !
Sérieusement j'adore cet écrivain et j'avais depuis un moment envie de lire ce livre mais jamais le temps. le cadeau de noël a donc été une bonne excuse.

L'histoire est bonne, le personnage principal est attachant MAIS .... que de descriptions et de passages inutiles dans ce roman On est censé suivre les aventure de Jake Epping, alias Georges Amberson dans le passé où il décide de changer l'Histoire en empêchant le meurtre de Kennedy. Mais son retour dans le passé l'amène en 1958 et le meurtre n'a lieu qu'en 1963. Pendant ce temps, Jake/Georges sauve la famille du concierge de son lycée assassiné par le père, empêche un homme de se rendre à la chasse afin d'empêcher la paralysie définitive d'une enfant. Bref, monsieur décide qui doit vivre ou non...

Globalement le roman est bon avec de nombreux clin d'oeil aux autres romans de Stephen King qui ont fait sa gloire. Par exemple, la partie 2 de l'histoire se déroule à Derry, ville où le fameux clown "ça" assassine les enfants. On se retrouve plongé dans l'ambiance macabre du roman en plein milieu du récit (période où les enfants pensent que ça est mort alors qu'il reviendra 20 ans plus tard ( ). Ajoutons également les nombreuses allusions à une voiture de type Plymouth, qui rappelle étrangement le roman Christine et sa voiture maléfique

Le gros bémol ce sont les passages descriptifs entre les différentes actions où il ne se passe clairement rien... On s'ennuie profondément. le roman aurait été beaucoup plus attractif si plus condensé, moins éparpillé et plus dynamique
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J'ai acheté ce livre tout d'abord parce qu'il s'agit du grand King, et aussi grâce à toutes les bonnes critiques que je pouvais lire sur ce livre, le résumé ne m'attirant pas plus que ça.
J'appréhende toujours un peu la lecture d'un livre de Stephen King, car soit j'adore et je dévore le livre, soit je m'ennuie ferme et là difficile de terminer le livre, surtout lorsqu'il s'agit d'un pavé.
Ce livre démarre sur les chapeaux de roue, pas de temps morts, on rentre tout de suite dans le vif du sujet, j'ai donc lu ses quelques 1050 pages assez rapidement, en revanche, sans m'être ennuyée, loin de là, je ne me suis pas éclater non plus, je trouve que cette histoire aurait pu être toute aussi plaisante avec seulement moitié moins de pages.
Je ne parlerais pas du contenu de l'histoire car cela me semble difficile de ne pas spoiler, mais l'idée même de ce récit est assez originale, les personnages sont tous vraiment très plaisants, les chapitres courts font que l'on a toujours envie de lire encore un encore un et encore un...
Je ne sais pas si les grands amateurs de Stephen King penseront comme moi, mais je n'ai pas eu le sentiment de lire cet auteur avec ce livre, je pense que si on avait caché son nom sur la couverture, je n'aurais pas penser à lire en tout premier lieu.
Vu le nombre de pages, je ne m'aventurerais pas à vous le recommander, mais si une petite tentation vous prend, alors n'hésitez pas et lancez vous dans la lecture de ce livre.
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J'ai lu quelques oeuvres de Stephen King dans le passé, et j'avais gardé le souvenir d'une écriture efficace, sachant faire monter la tension et créer le suspense. Ce n'est pas le cas de ce livre-ci.
Alors forcément, une machine à remonter le temps qui vous propulse en 1958 alors que vous souhaitez intervenir en novembre 1963, c'est obligé qu'il y ait des longueurs... puisque le héros a cinq longues années à occuper avant de pouvoir passer à l'action.
Tout ce qu'il fait dans l'intervalle manque parfois d'intérêt, et l'écriture m'a semblé assez plate - à moins que ce ne soit dû à la traduction de Nadine Gassie.
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Je commence l'année par la lecture de que j'appelle un pavé! Mais cela faisait un moment que j'avais envie de le lire! Je suis très friande des livres qui traitent des voyages dans le temps et avec celui-là je n'ai pas été déçue! Pourtant je ne m'attendais pas tout à fait à ça! En effet, si l'on se fie au titre, on se dit que cela ne va parler que de l'assassinat de Kennedy. Or ce n'est pas le cas et je me dis que finalement c'est tant mieux! J'ai préféré toute la partie qui n'en traite pas directement et qui, en proportion du livre, est la plus importante. Mais j'imagine que ceux qui s'attendait à autre chose ont dû être déçus... Les personnages que l'on suit sont attachants et l'ambiance des années 60 est assez bien retranscrite pour que l'on puisse s'immerger facilement. Pour conclure, malgré quelques longueurs, ce livre est un bon livre dans lequel on prend plaisir à se plonger!
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