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4,06

sur 1567 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ce recueil de quatre nouvelles est d'une qualité incroyable, il serait d'ailleurs plus juste de parler de "novellas" si l'on considère le format long des trois premières.
Ayant déjà écrit un billet sur les trois premières histoires intitulées :
- Rita Hayworth ou la rédemption de Shawshank
- Un élève doué
- le corps
je me contenterai de parler du quatrième récit, à savoir "La méthode respiratoire" qui est aussi la plus courte du recueil. Un récit à la construction subtile puisque nous suivons en fait deux histoires. Pour commencer, celle d'un employé qui se voit coopté par son supérieur pour intégrer un club très fermé dont les membres aiment se raconter des histoires, un club assez mystérieux dont le majordome se révèle être assez inquiétant. Les observations et les réflexions de cet employé sur ce cercle mystérieux nous amènerons tout doucement au récit du docteur Emlyn McCarron et de cette fameuse méthode respiratoire.
McCarron, alors jeune médecin dans les années 1930, reçoit une jeune femme célibataire (situation sociale très mal vue à cette époque) du nom de Sandra Stansfield qui lui demande de suivre sa grossesse.
McCarron qui est conscient des limites de la médecine d'accouchement d'alors, propose à sa patiente une méthode novatrice. J'ai été fasciné par la description des moeurs de l'Amérique des années 30 ainsi que par l'état de la médecine d'alors. Il est à noter que ce récit a l'épilogue spectaculaire sera le seul à être teinté de fantastique.
Cerise sur le gâteau, le King va nous offrir un chapitre de fin intéressant car autobiographique, il y évoque ses débuts, son premier livre publié, ainsi que ses rapports avec ses agents littéraires.
Il nous instruit aussi sur le caractère "technique" de la nouvelle et de la novella, les nuances et la complexité de ce type de format, c'est assez fascinant.
Pour conclure c'est l'un de mes meilleurs moments de lecture, ces quatre histoires sont efficaces et maîtrisées, elles sont aussi différentes que le titre le suggère, qui, comme vous l'apprendrez, n'a pas été choisi au hasard.
Il est à noter de plus que, trois de ces quatre nouvelles ont été adaptées au cinéma, ce qui n'est sûrement pas un hasard.
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(Lecture de 2017)
C'était mon 1er Stephen KING... Une révélation ! Un cadeau d'une amie, que je remercie encore.
A part la troisième histoire, à laquelle je n'ai pas accroché (Un langage de jeunes, pas très châtié, auquel je n'ai pas adhéré ? La longueur ?), j'ai été complètement fascinée !!!!!
Jusqu'à cette lecture, j'étais convaincue que cet auteur et ce type de lecture n'était pas pour moi... Depuis, je me suis bien rattrapée comme les livres que je l'ai lus à ce jour le démontrent.
Stephen KING reste pour moi le maître du thriller, même si, depuis lors, je trouve qu'il existe des écrivains de talent qui n'ont pas les défauts du maître (longueurs inutiles surtout).
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Un recueil de 4 romans de genres différents mais tous écrits de façon magistrale avec le talent de Stephen King. La première histoire nous plonge dans le monde inhumain des prisons à haute sécurité où des accusés sont enfermés pour de très longues peines. le scénario d'une incroyable évasion étudiée pendant 37 ans nous laisse perplexe sur le caractère trempé du personnage principal.

Le deuxième roman, d'un tout autre registre, est dans la veine classique de Stephen King, utilisant certains caractères ignobles de l'être humain. Pour cela, l'auteur prend comme colonne vertébrale de l'histoire les atrocités nazis de la dernière guerre, exploitant ce filon en le transposant au présent.

Le corps, titre du 3e roman (ou longue nouvelle) s'aborde en analysant les caractéristiques et problèmes d'adolescents, il y a des longueurs, car peu de suspense ou d'horreur. Un roman sérieux que l'on peut considérer en partie autobiographique.

Enfin, la quatrième histoire, assez courte pour l'appeler nouvelle retrouve un peu le genre horreur, sans trop, car c'est plutôt un drame.

Pour terminer, une postface servant de bonus nous raconte en quelques pages la genèse des 4 histoires et un peu plus. Tout ça, Stephen King s'adressant directement à nous, lecteur.
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Espoir, éternel printemps – Rita Hayworth ou la rédemption de Shawshank
Andy Dufresne entre dans la prison de Shawshank pour une longue peine. Jugé coupable d'avoir assassiné son épouse et l'amant de celle-ci, il est pourtant innocent. Durant toutes les années de sa captivité, refusant de laisser enfermer, il prépare une spectaculaire évasion dont le premier élément est un poster de Rita Hayworth. C'est l'histoire de cette évasion que raconte le narrateur « Andy était cette part de moi qu'ils n'ont jamais pu enfermer, la part de moi qui se réjouira quand finalement le portail s'ouvrira et que je sortirai, vêtu d'un costume minable, avec vingt dollars me brûlant les poches. […] de cette part, tout simplement Andy en avait plus que moi et il s'en est mieux servi. » (p. 118) le film de Frank Darabont avec Tim Robbins et Morgan Freeman m'avait beaucoup plu et cette lecture me donne furieusement envie de le revoir.

Été de corruption – Un élève doué
Todd Bowden est un bon garçon, bien élevé, intelligent. Impossible de comprendre son attitude quand il démasque un ancien officier nazi dans le voisinage : au lieu de le dénoncer aux autorités, il le presse de questions et veut toujours plus de détails. « Pourquoi viens-tu ici déranger un vieillard ? Peut-être, comme tu le dis, étais-je autrefois un nazi. Et même un SS. Maintenant, je suis vieux, c'est tout, et je dois prendre un suppositoire pour faire fonctionner mes intestins. Alors, qu'est-ce que tu veux ? / / Eh bien… je veux qu'on me raconte. C'est tout. C'est tout ce que je veux. Vraiment. » (p. 152) Hélas, la fascination macabre du garçon pour le passé de l'officier nazi va virer à l'obsession, au chantage et au sadisme. Peu à peu, le rapport de force s'inverse et s'annule : le gamin et le vieux deviennent deux monstres liés l'un à l'autre par la honte et l'horreur.

L'automne de l'innocence – le corps
Billy, Vern, Teddy et Chris tuent le temps avant la rentrée des classes. Ce sont les derniers jours des vacances d'été. Pour marquer le coup et tenter de devenir des héros, ils partent à la recherche du cadavre d'un jeune garçon. Ces quelques jours arrachés à la monotonie et à l'ennui les feront passer de l'enfance à l'adolescence quand l'aventure entre copains se heurte à la brutale réalité. « le gosse était mort. le gosse n'était pas malade, il n'était pas endormi. le gosse n'allait plus jamais se lever le matin ou attraper la chiasse en mangeant trop de pommes ou cueillir de la vigne vierge. […] le gosse était déconnecté de ses baskets sans aucun espoir de réconciliation. Il était mort. » (p. 504) le film de Rob Reiner avec Wil Wheaton et Kiefer Sutherland est un bijou d'émotion qui colle très exactement au texte.

Un conte d'hiver – La méthode respiratoire
À New York, il existe un club d'hommes très fermé. Les participants s'y retrouvent pour lire, discuter ou jouer aux cartes, comme dans tous les clubs. Mais pour Noël, ils ont l'habitude de se raconter des histoires surnaturelles. L'une d'elles est particulièrement étrange et relate l'accouchement d'une femme grâce à une étonnante méthode respiratoire. « Quel mal y aurait-il, au nom du ciel, à raconter à ma femme une soirée parfaitement innocente dans le club vieillot de mon directeur… et même s'il y avait quelque chose de mal, qui le saurait jamais ? » (p. 559) Et pourtant, le personnage principal se garde bien d'évoquer ses rencontres avec son épouse, tout comme il évite de poser trop de questions à l'étrange majordome, en dépit du malaise qui l'assaille quand il passe la porte du club.

Ni tout à fait romans, ni tout à fait nouvelles, ces quatre textes suffisent à prouver l'étendue du talent du King. Capable de nous tenir en haleine avec les histoires les plus simples ou de nous faire frissonner d'horreur devant les pires avanies, Stephen King sait parfaitement ce qu'il fait de ses lecteurs et comment les atteindre. Encore, ai-je envie de dire ! Heureusement que je n'ai pas tout lu de cet auteur !
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"Il vaut mieux ne pas dire certaines choses. Je crois que c'était quelque chose de si beau que ça ne peut pas s'exprimer avec des mots et c'est pour ça que mon coeur en souffre."

Cette réplique de Morgan Freeman dans le film Les évadés tombe à point nommé pour faire la synthèse de ma lecture de Différentes saisons.
Quatre nouvelles,quatre ambiances et mon coeur en a souffert dès la première histoire.Jamais dans ma vie de lectrice je n'ai versé autant de larmes.Ce recueil de Stephen King est magnifique et très fort,il a détrôné allègrement Coeurs perdus en Atlantide de la première place de mes King préférés.Une merveille!

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Recueil de nouvelles monumental, Différentes saisons est accessoirement le moins fantastique de l'oeuvre de King.
On retrouve ici le talent d'évocation du roi de l'horreur, qui est avant tout un raconteur d'histoire plus qu'un auteur littéraire. Ici, que ce soit un gamin jouant un drôle de jeu avec celui qu'il soupçonne d'être un ancien nazi, un condamné à perpétuité qui tente de s'évader coute que coute, un groupe de mioches qui vont partir à la recherche d'un corps pour d'étranges raisons ou la vie d'une femme enceinte durant la grande récession, tout est bon pour nous mettre dans la tête des personnages.
Du grand Stephen King, avec ses thèmes récurrents (l'enfance et sa non-innocence, les mensonges cachés depuis des lustres, la rédemption) et sa hargne habituelle.
Les fantasticophobes peuvent y aller sans souci, tout est au naturel, dans ce volume.
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Quatre nouvelles pour quatre saisons. Stephen King nous montre une autre facette de son immense talent, sortant de son univers horrifique habituel. Au menu :
Rita Hayworth et la Rédemption de Shawshank - Andy, accusé du meurtre de sa femme et de son amant est incarcéré au pénitencier de Shawshank, où il fait la rencontre d'un prisonnier purgeant une longue peine, Red. Cette histoire d'amitié entre les deux hommes, ainsi que leurs efforts pour se disculper, est très prenante et touchante.
Un élève doué - Todd Bowden, jeune garçon brillant, reconnaît Kurt Dussander, criminel de guerre nazi se cachant sous une fausse identité. Fasciné par la Seconde Guerre mondiale, Todd l'oblige à lui dévoiler les atrocités qu'il a commises.Mais l'obsession remplace vite la curiosité chez Todd et leur relation devient malsaine...
Le Corps - Cette nouvelle raconte l'histoire d'une bande de gamins, tous en conflit avec leur environnement familial. Ils apprennent que le corps d'un enfant de leur âge a été découvert près d'une voie ferrée et décident de se rendre sur place, espérant récolter un peu de célébrité par l'intérmédiaire des médias. le King maîtrise parfaitement les descriptions et la psychologie de ses personnages, cela n'est plus à prouver, et on passe encore une fois un grand moment en sa compagnie.
La Méthode respiratoire - Monsieur Adley se rend dans un club privé dont les membres se racontent des histoires ou anecdotes, véridiques ou pas. Celle d'Emlyn McCarron évoque sa rencontre avec Sandra Stansfield, une femme enceinte qui va lui enseigner la fameuse méthode respiratoire. Un côté un peu plus surnaturel dans cette nouvelle que dans les autres, et un très bon moment également.
En bref, un pavé sur lequel on ne regrette pas de s'être jeté.
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Je n'avais jamais lu Stephen King jusque très récemment.

Grave lacune !

Je ne boudais pas cet auteur, loin de là.
Car beaucoup de personnes, amoureuses des livres, ne tarissaient pas d'éloges sur cet auteur et me disaient de le lire depuis des années.

Or, il y a peu, une amie, fan de cet auteur et grosse lectrice de son oeuvre, a insisté et m'a conseillé de lire « Différentes saisons ».

Un grand MERCI à elle !

Ce livre est une révélation.

Quatre nouvelles. Ou plus exactement quatre courts romans.
Quatre histoires très différentes qui ont toutes en commun d'explorer une face sombre de l'Amérique.

C'est très maîtrisé, prenant, percutant et la psychologie des individus y tient une place cruciale et très intéressante.

Selon moi cependant, ces quatre nouvelles ne se valent pas.

Deux sont très bien : l'une décrivant un groupe d'adolescents aux prises avec un cadavre, et l'autre, une femme enceinte et le récit de sa prise en charge par un médecin new yorkais.

Les deux autres par contre sont de véritables petits bijoux, voir des chefs d'oeuvre !
L'une raconte l'évasion absolument incroyable d'un prisonnier.
Et l'autre, la rencontre entre un adolescent et un ancien nazi.

Allez-y. Précipitez-vous sur ce livre exceptionnel !
Vous n'en sortirez pas indemne.

Mais attention, il faut choisir judicieusement ce que vous lirez après. Car, après cette lecture, tout livre moyen risque de vous tomber des mains.
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Au départ, j'ai été surpris. Seulement 4 nouvelles dans un recueil de 730 pages ? Mais non seulement elles sont trés bonnes, et les explications de King valent le détour !



En effet, il semblerait que la nouvelle se situe plus ou moins sous 25 000 mots, et le roman au delà de 35 000. Entre les deux, c'est le domaine de la Novellas. Trop courte ou trop longue donc. Un casse tête pour l'auteur, même pas une possibilité pour l'éditeur. Ici, King est parvenu à rassembler 3 novellas et une nouvelle. Parlons en donc :



- Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank



Red est à Shawshank depuis plusieurs dizaines d'années. En fait, il n'a presque connu que la prison. Alors des détenus, il en a vu passé. Lorsqu'arrive Andy Dufresne, ex-banquier, celui-ci lui dit être ici pour le meurtre de sa femme et de l'amant de celle ci. Sauf qu'il n'est pas responsable. Et Red ne donne pas cher de sa peau. Pourtant, Andy ne semble pas comme les autres. Et alors que Red peut lui fournir un tas de chose, il va lui demande un casse pierre (un tout petit taille pierre) et un poster de Rita Hayworth...

Dans cette nouvelle, King expose l'enfer carcéral, mais aussi tout ce qui peut être lié. Ce monde à part qui est régi par ses propres régles. Des régles avec lesquelles il faut savoir jouer, avant de les prendre à son compte pour s'en sortir. Ce monde dans lequel des liens se nouent parfois rapidement, et peuvent perdurer pendant longtemps. Parfois violente, parfois touchante, cette histoire d'environ 150 pages est une réussite et n'avait pas besoin de plus !



- Un élève doué



Todd a 13 ans. Et, par hasard, il s'est découvert une passion. Depuis qu'il a découvert des documents sur la seconde guerre mondiale, et donc sur les camps de la mort, il traque la moindre information. Dans la rue, par hasard, il croise Arthur Denker. Mais il reconnait bien vite en lui Dussander, un ancien SS...

Et Todd va alors allez taper à sa porte et le menacer de révéler son passé s'il ne lui raconte pas tout ce qu'il a vu, tout ce qu'il a fait. Une étrange relation va alors se nouer entre les deux. D'abord basé sur le chantage, elle va ensuite évoluer doucement, pour se terminer d'une façon inattendue, par un lien qu'on ne pouvait suspecter au départ. Alors qu'on pouvait craindre, étant donné le sujet, que cette histoire tombe dans le mauvais goût, les 280 pages qui la compose sont en fait passionnante et ce malgré qu'on ne puisse réellement s'attacher à l'un ou à l'autre des personnages. Probablement la plus osé des 4 histoires, et la plus passionnantes !



- le corps



Gordie Lachance est un jeune garçon, qui comme tout les jeunes garçons, a sa bande d'amis. Un jour, un d'entreu eux entend un adolescent parler d'un corps. Celui du jeune Rob Brower, disparu depuis quelques temps et que la police recherchait. Il semblerait qu'il ait été percuté par un train et ejecté. Gordie et ses amis vont alors partir à l'aventure pour le retrouver et voir ce corps...

Sur cette nouvelle, c'est le souffle du souvenir et de la nostalgie qui donne de la force. Car s'ils font finalement peu de chemin, ils le font à pied, jeunes, et entre amis. L'occasion de vivre des histoires qui leurs resteront en tête. Et même, au travers de cette histoire, d'en raconter une autre. Mais c'est aussi ce qui les fera grandir. Une histoire qui est surement la plus simple de toutes, sur plus de 200 pages, mais qui est prenante du début à la fin !



- La méthode respiratoire



Un homme attend depuis longtemps une évolution professionnelle. Lorsque son chef lui propose de participer avec lui à un club, il se rend, sceptique, sur place. Il y découvre alors des gens qui se racontent des histoire. Un soir, c'est Emlyn McCarron qui se lance et raconte l'histoire d'une jeune femme enceinte et célibataire, qu'il va aider tout au long de sa grossesse...

Avec moins de 100 pages, on est ici plus dans la nouvelle. Ce qui n'empêche pas cette histoire d'être fort sympathique, même si elle est, à mon sens, la plus faible des 4. C'est aussi la seule qui posséde un élément surnaturel. Il est simplement dommage que les personnages soient un peu moins intéressant. On appréciera cependant le traitement réservé à cette femme. Si le médecin la traite correctement, elle trahit une époque compliqué puisque les femmes enceintes et célibataires sont mal perçus. Si cette époque n'est pas complètement révolu, c'était bien pire à cette époque. On pourra aussi regretter que les mystéres planant sur ce club n'apporte qu'à l'ambiance. Reste que ça se lit facilement.



Et qu'au final, ce recueil est excellent et mérite qu'on prenne le temps de le lire pour découvrir 3 histoires majeures dans la carriére de l'auteur !
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Ce livre est tout simplement surprenant.

Ce livre contient quatre histoires, "Rytha Hayworth et la rédemption de Shawshank", "Un élève doué", "Le corps", "La méthode respiratoire", une pour chacune des quatre saisons.

Ces nouvelles sont, apprend-on dans l'épilogue, des nouvelles longues à mi-chemin entre la nouvelle et le roman... à vous de juger si vous préférez en dire que ce sont de longues nouvelles ou de courts romans mais là n'est pas l'important...

Ce livre contient 730 pages de pure délectation. On a l'habitude de Stephen King le maître de l'horreur mais là, il ne s'agit pas de récits de type horrifique, non ce sont des histoires captivantes qui font réfléchir sur la nature humaine, sur ce qu'est capable d'accomplir l'être humain, qu'il soit homme, femme ou enfant, qu'il soit riche ou pauvre, qu'il soit libre ou prisonnier...

Ce livre fait réellement réfléchir... de plus, et ce qui ne gâche rien, on y découvre un Stephen King non étiqueté, non catalogué comme on se complet à le faire sans cesse...

N'hésitez pas à vous le prendre... vous y apprendrez beaucoup sur l'humain, sur l'auteur et aussi sur vous-même !
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