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3,6

sur 261 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
L'histoire de Dracula revisitée une nouvelle fois, J'ai bien accroché, j'ai appris pas mal de trucs sur Dracula ...Il faut savoir que je n'ai jamais lu l'original de "Bram Stoker".
En revanche j'ai lu "Twilight" une référence en matière de vampire, BRAMynounet n'a qu'à bien se tenir...

Trêve de "DECONNADE" c'est un bon petit roman... je vous pondrais bien une critique de fou furieux mais tous mes petits camarades précédents s'en sont chargés avec beaucoup plus de talent...


A plus les copains

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Qui était (est ?) Vlad Tepes, prince de Valachie, dit Dracula?
Voyage à la fin du XVème siècle avec en point d'orgue la chute de la deuxième Rome, Constantinople (Mai 1453), au profit des Ottomans menés par Mehmed II, concrétisant des conquêtes en Bulgarie, continuant jusqu'aux portes de Vienne.
C'est en Valachie, l'une des deux provinces de l'actuelle Roumanie où s'illustra le Prince Vlad, adossé au relief montagneux de la Transylvanie. C'est alors qu'intervient le Roman. Comment, à partir de sa réputation de cruauté et de courage, se bâtit la légende de Drakulya et celle de l'ordre du Dragon ? Comment alors démêler le vrai du faux ? Les tribulations croisées de trois générations d'historiens nous emmènent de monastères en bibliothèques, retracent les chemins de la Légende et de l'Histoire, au croisement de la lutte sans merci qui déchira les Balkans (montagnes en turc), à partir de Istanbul (la Cité en byzantin), au travers des paysages et des peuples de la Bulgarie, de la Hongrie, de la Roumanie et de la Cité (Istanbul, Byzance, Constantinople), contant l'histoire complexe de ces peuples, nos voisins si proches et si étrangers.
Je ne conterai pas l'histoire de cette quête qui peu à peu se transforme en traque où le chasseur devient proie et la proie, chasseur et la vérité plus proche de….que de…
Merci à Elisabeth Kostova de nous avoir évité les poncifs des histoires de Drakula. Ici pas de meurtres à répétition, pas de sang coulant à flot. Deux volumes, près de 1 000 pages, d'histoire et de roman, de paysages, d'ambiance mitteleuropa, de culture, de romance, des nuages bas des Alpes slovènes à la tristesse des chants roumains, des haines des peuples voisins, des amours impossibles, une invitation au voyage.

Prenez le temps de voyager car, si Elisabeth Kostova nous transmet culture, passion et histoire, son écriture ne respecte pas le style imposé des Best-seller américains qui eurent brossé cette aventure en moins de 500 pages. Les 10 ans passés à étudier la légende et l'histoire se transmettent à ceux qui sauront donner de l'attention, du temps, en ne dépassant pas une semaine de lecture.
Une semaine de voyage pour 30€, qui dit mieux.
Merci à ma charmante belle-soeur, Christine, à qui je dois cette semaine de voyage.
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Bien, première chose à savoir c'est qu'il n'y a pas vraiment deux tomes à "L'historienne et Drakula", ce n'est qu'un seul livre que les éditions françaises ont dû partager en deux pour des questions pratiques je suppose. du coup, je les ai lu séparément, ça n'a pas été un problème car je n'ai pas attendu trop longtemps entre chaque, mais ça peut expliquer ma très grande déception face au manque d'action de la première partie.
Pour cette deuxième partie, je vais commencer par les points positifs, il y en a pas mal....mais oui, il reste du négatif.... [...]
Lien : http://les-lectures-de-mina...
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Narration lente, le passage du présent au passé désorientant au début. Malgré tout plusieurs rebondissement nous permettent de rester accrocher. le rythme s'améliore dans le deuxième tome, dans le dernière moitié du livre, on ne peut plus s'arrêter de lire.
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La première fois que j'ai lu ce roman, je l'ai adoré. C'était un vrai coup de coeur, je trouvais que le mélange Histoire et mythe fonctionnait très bien. Avec les années, je suis peut être devenue plus exigeante car j'ai été moins séduite cette fois ci.


D'abord, la narratrice ne m'a pas touchée. J'aime me sentir proche des personnages et ce ne fut pas du tout le cas. Elle ne sert en fait qu'à recevoir l'histoire de son père, d'abord par dialogues puis par lettres. Je me suis d'ailleurs demandé à quoi ça servait de nous faire revivre cette histoire via intermédiaires plutôt qu'en direct. le récit de Paul, le père de la narratrice, est intéressant mais il est interrompu sans cesse par des descriptions des lieux qu'ils visitent, ce qui ne m'a pas non plus atteinte : j'étais trop impatiente de connaître la suite de l'histoire et le texte ne communiquait pas l'esprit des lieux. J'aurais mieux profité du récit si je l'avais vécu en même temps que les personnages (Paul, Helen, Rossi,…) qui sont bien plus présents et intéressants que la narratrice.


Le récit est plutôt bien rythmé : Paul avance lentement mais surement grâce aux indices qu'il récolte et aux rencontres qu'il fait. Malheureusement, ces rencontres sont trop souvent issues de coïncidences heureuses, ce qui m'a beaucoup agacée. Quand on aborde le sujet de la chasse aux vampires, on peut penser que c'est quelque chose dont on parle au premier venu et encore moins que celui-ci va vous suivre les yeux fermés, que ce soit parce qu'il est impliqué (le nombre de personnes l'étant frôle le ridicule pour un sujet pareil) ou parce qu'il est convaincu (ce qui arrive limite à chaque fois).



En revanche, je trouve que ce tome est mal coupé, il se termine sur une scène qui n'a rien d'une « fin » même provisoire. J'ai eu l'impression qu'on avait coupé le tom original en deux, un peu au hasard. J'étais donc assez frustrée, surtout que de Drakula, on n'a vu que le nom. On n'en sait pas tellement plus sur lui et il manque au récit le petit plus qui lui aurait apporté un grain de « folie » car là, malgré une ou deux scènes d'action, c'est du rapportage et c'est donc assez plat. le lien entre narration et lettres est souvent mal fait : aucune transition entre les deux. Donc, je me répète désolée, la narratrice perdait tout son intérêt.


Le style ne m'a pas emportée et j'ai noté quelques phrases qui n'avaient aucun sens. Les événements marquants ne suffisent pas à donner du relief au récit et arrivent souvent bien trop à propos, ce qui entache la crédibilité de l'histoire alors que l'idée d'appréhender Drakula par l'aspect historique allait dans ce sens. Ça reste un bon moment de lecture mais j'espère que le second tome rattrapera ce premier un peu ennuyeux.
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Moi qui suis assez peu sensible aux bons-gros-romans-à-lire-en-vacances, j'ai fait une exception pour celui-là. je ne regrette pas, même si je suis contente de l'avoir acheté en poche plutôt qu'en grand format.
L'un dans l'autre, une lecture sympathique. On voyage, c'est un fait, dans le temps autant que dans l'espace, avec un crochet par la Roumanie communiste, ce qui est assez inhabituel pour mériter d'être souligné. Si l'histoire de la narratrice et sa relation avec ses parents n'est ni originale ni franchement passionnante, pas plus que le style d'ailleurs, le roman a le mérite de rappeler que le prince Vlad Drakul, avant d'être transformé en vampire par un irlandais imaginatif, était d'abord un fou de guerre et un grand désaxé, porté au pinacle par une époque tout aussi troublée que lui.
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Ce roman fourmille de bonnes idées, une recherche historique passionnante, néanmoins, je suis déçue. [...]
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J'ai découvert L'Historienne et Drakula au détour d'une librairie en Espagne, il y a quelques années. Désireuse de m'améliorer dans la langue de Cervantès, je l'ai acheté sans me rendre compte qu'il s'agissait à l'origine d'un roman américain. Qu'importe : me voilà partie sur les traces du vampire immortalisé par Bram Stoker. Fille d'un historien et d'une anthropologue disparue peu de temps après sa naissance, la narratrice découvre, à l'âge de seize ans, un étrange livre dans la bibliothèque de son père. C'est le début d'une série de récits enchâssés sous forme de lettres, qui nous conduiront de l'Angleterre à la Turquie en passant par la Hongrie, la Bulgarie et, bien sûr, la Roumanie, sur fond mêlé de Guerre Froide et d'empire ottoman.

L'Historienne et Drakula tourne autour de quatre protagonistes : un professeur de thèse charismatique, la narratrice et ses parents. On voit principalement ces derniers, dans leur recherche de Dracula à travers l'Europe, où ils forment un couple assez classique mais agréable à suivre. L'histoire aurait pu tenir la route, entre suspens, fantastique et aventure, si ceux qui lui donnent son titre n'en avaient été complètement absents : entre la narratrice, tellement fade que son prénom n'est pas révélé, et Dracula qui apparaît pendant 3 pages sur un total de 700, c'est à qui se fera le plus discret. Les personnages secondaires interviennent quant à eux de manière bien trop providentielle et ponctuelle pour être crédibles.

Vous l'aurez compris, je n'ai pas été conquise par L'Historienne et Drakula. Quand elles ne restent pas sans réponse, les innombrables questions qui surgissent au fil du roman aboutissent à des explications ridicules, voire comiques : rien de pire pour gâcher le suspens par ailleurs bien entretenu. J'ai parfois apprécié les descriptions, qui me plongeaient dans des ambiances variées, mais elles sont trop nombreuses et leur style alambiqué ralentit le rythme du récit. Pour un roman qui se veut centré sur L Histoire, je n'ai pas appris grand-chose, tant la vie de Vlad Tepes s'avère survolée, tout comme les luttes entre l'empire ottoman et les royaumes d'Europe centrale. C'est un ensemble de fragments qui manque cruellement de vue d'ensemble ; même le pouvoir des vampires n'obéit à aucune cohérence.

Ne l'ayant pas lu en français, je n'ai pas été coupée dans ma lancée par la division en deux tomes pour laquelle ont opté nos éditeurs, que je trouve absurde. le roman comporte trois parties, mais je n'ai pas non plus vu d'intérêt particulier à cette répartition, puisque le livre suit le même rythme du début à la fin et souffre de problèmes constants.

Pauline Deysson - La Bibliothèque
Lien : http://www.paulinedeysson.co..
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Une jeune fille vit avec un père historien qui voyage beaucoup.....par hasard elle découvre des lettres , terribles... qui racontent une quête non moins terrible. Bref c'est un roman qui se veut épistolaire, lettres du père à sa fille, lettres du professeur au père, lettres du professeur à sa fiancée, lettres de la mère à sa fille, lettres plus anciennes encore.....qui racontent la vie de tous ces gens qui vont à la recherche de leur professeur, père, épouse, ancêtre disparus. et tout cela s'enchevêtre, les lieux, les personnages....
La recherche documentaire par les protagonistes est ce qui m'a le plus plu. Sinon les relations entre les personnages sont très mal servies par l'écriture : le roman n'est qu'une succession de lettres qui n'en sont pas: ce sont des récits à n'en plus finir, le style s'en sort alourdi (c'est d'ailleurs l'impression première que j'ai eue : un style vraiment terne) . Il y aurait aussi à redire avec certaines facilités :genre la bohémienne qui veut lire les lignes de la main de la belle helen, mais prend peur et s'enfuit en la maudissant ......trop original pour faire comprendre au lecteur que la belle Helen est peut-être pas si blanche que ça ! et aussi des amnésies, des rencontres fortuites bien pratiques......Mais bon, c'est une variation autour de dracula assez plaisante, qui tient quand même en haleine le lecteur
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