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City Hall tome 1 sur 7
EAN : 9782359103120
160 pages
Ankama Editions (14/06/2012)
3.78/5   238 notes
Résumé :
City Hall se déroule dans un univers dépourvu de papier et dans lequel l’écriture manuscrite, interdite depuis des siècles, n’est plus enseignée. La raison en est simple, tout ce que vous écrivez prend vie. Devenu une arme trop dangereuse, le papier a été à l’origine d’une guerre d’ampleur planétaire destinée à l’éradiquer de la surface du globe qui dura près de deux cent ans. Après quoi, ce monde a suivi un autre chemin que le nôtre et la technologie s’est développ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (83) Voir plus Ajouter une critique
3,78

sur 238 notes
Dans l'Histoire du manga, il y a désormais un avant et un après "City Hall" car le scénariste Rémi Guérin et le dessinateur Guillaume Lapeyre ont prouvé que des Français pouvaient faire aussi bien voire mieux que les Japonais. Mais les pauvres n'officient pas dans le bon pays, ce qui nous prive d'une série pérenne, d'une adaptation à la télévision qui aurait déchiré dans le Club Dorothée, de films, de jeux vidéo et de pelletés de produits dérivés. Car oui nous sommes en France, le 2e pays consommateurs de mangas et le 3e pays producteurs d'animation certes, mais qui s'avère trop souvent incapable de suivre d'autres voies que celles de la Disney Corporation…


Cools personnages !


Cool univers !


Cools thèmes !


Le rythme est trépidant, le scénario est touffu, soigné et inspiré, multipliant les dialogues bien troussés riches en citations littéraires, références populaires et private jokes (mais la formule a aussi ses défauts : quantité d'éléments aurait pu être développé ou à défauts mieux explicités). Les graphismes ne sont pas en reste : les dessins sont impeccables, les planches riches en détail et magnifiés par un découpage très dynamique donc très efficace. Les paysages urbains de Londres, Paris et New York ou les paysages psychédéliques du Monde à l'Envers de Lewis Caroll sont magnifiquement dessinés (on a plus vu ça depuis Katsuhiro Ôtomo et Masamune Shirow !), mais la grande force du manga vient sans doute de ses combats homériques : les affrontements entre Lord Black Fowl qui invoque des kaijûs à la "Evangelion" et Jules Vernes qui invoque des mechas à la "Sakura Wars" sont géniaux ! Et je ne vous parle même pas de H.P. Lovecraft qui se téléporte d'une dimension à l'autre avant d'invoquer des trous noirs ou des horreurs blasphématoires, ou Guy de Maupassant qui se sert de son Horla comme d'un stand à la "JoJo's Bizarre Adventure"… Rhââ lovey comme on dit ! Mais pourquoi cela n'existe pas en animation ? POURQUOI ??? VDM
En raison des délais impartis, il y a une toute petite baisse de régime dans la saison 2 où Amelia change de charadesign et de garde-robe : elle est sans doute la 1ère héroïne de shonen dont le tour de poitrine diminue au fil des tomes… ^^
A plusieurs niveaux les habitués de la Planètes Manga sentiront l'héritage de "Deathnote", mais personnellement j'ai senti plus encore celui du Dreamnote de "Wingman" dont il est le détournement… blink


Tome 1 :
Londres, juin 1902. Une mystérieuse créature haute de dix étages massacre le ministre des finances avant de s'évanouir dans la nature… Après deux siècles d'omerta, quelqu'un a fini par redécouvrir la magie du papier et pour le Maire Little, il n'est d'autre solution de d'opposer à un écrivain de génie un autre écrivain de génie. C'est ainsi que le jeune Jules Verne et son acolyte Arthur Conan Doyle donnent la chasse à l'ennemi public numéro 1 !
L'Agent 355 quitte l'équipe d'Eliott Ness pour être muté outre-atlantique en tant que garde du corps des nos héros. C'est ainsi qu'une très sexy strong independant woman entre dans la vie de deux beaux gosses célibataires au grand dam du majordome Virgile… ^^
Le trio échappe de peu à la mort lors d'une confrontation avec Lord Black Fowl, mais le mystère ne fait que s'épaissir avant un bon vieux cliffhanger des familles : le super-vilain a enlevé le père de notre héros, et a reconstitué une presse à papier pour inonder Londres du pouvoir de la création littéraire… Vite la suite !
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Je ronchonne toutjours un peu quand mes enfant prètent ou se font prêter des livres par leurs camarades parce que ou le bouquin ne revient pas ou alors en mauvais état.. mais MissLyoko a un camarade de classe qui fait super attention et qui en plus a une collection de manga plutôt incroyable. Et cette fois-ci elle est rentrée avec City Hall qui m'a tapé dans l'oeil (je ne lis pas tous les manga qui rentrent à la maison.. sinon je ne lirais plus que ça).

Bref tout ca pour dire que j'ai complètement survolé et adoré ce tome un.
Tout d'abord parce qu'il est d'origine française et qu'il vaut son pesant d'or.. il est aussi bien fait qu'un manga japonais (sauf le sens de lecture).
Parce que les graphismes sont superbes et plein de détails .. a tel point que j'en regrette le format BD traditionnel (et accessoirement la couleur).
Par un scénario qui est purement génial et bien imaginé.
Et enfin parce qu'on y retrrouve plein de gens célèbres : Malcom X, Jules Verne, Conan Doyle, Amilia Earhart (que je connais bien pour avoir fait exposé sur elle ), Lincoln, eliot Ness.. etc...

Le seul inconvénient c'est qu'on est en fin d'année scolaire et que je vais devoir lire rapidement toute la série afin que ce jeune homme puisse récupérer son bien pour les grandes vacances.
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Voici un manga (français) scénarisé par Rémi Guérin et dessiné par Guillaume Lapeyre franchement sympathique ! C'est non seulement un grand melting-pot de références piochant aussi bien dans les cultures japonaise et occidentale (cultures "geek" et plus classique) mais aussi un univers cohérent et original.

Dans un monde steampunk technologiquement boosté, le papier est l'arme de destruction massive par excellence. En effet, tout ce que l'on y écrit devient bel et bien réel et les êtres ainsi créés prennent le nom de "papercut". En fonction des talents d'écrivain de leur créateur ils se révèlent plus ou moins complexes et capables d'initiatives. Il y a environ 200 ans, une grande guerre eut lieu, à l'issue de laquelle l'art de l'écriture manuscrite et le papier furent bannis. Aujourd'hui, très peu de gens sont au courant de ces faits. Néanmoins, un attentat se produit à Londres, impliquant de toute évidence un "papercut", à l'issue duquel le ministre des finances est assassiné. La maire, malgré la réticence de l'inspecteur chef Lester, décide de demander à deux écrivains talentueux de l'aider à contrer le dangereux terroriste qui a fait resurgir un terrible pouvoir que tous croyaient révolu. C'est ainsi que Jules Verne et Arthur Conan Doyle sont appelés à la rescousse et armés d'un cahier pour la circonstance...

Si l'univers de City Hall est esthétiquement steampunk, avec dirigeables et voitures customisées années 1920-1930 (particulièrement soignées d'ailleurs), le fait qu'il n'existe plus d'écriture manuscrite a posé un problème de cohérence par rapport aux poncifs du genre. Les auteurs l'ont résolu en y introduisant ordinateurs, internet, livres numériques et portables, imaginant ainsi une sorte de steampunk 2.0 : ça surprend au début mais on s'y fait très bien. Sinon on note des similitudes avec le monde de "1984" .
Par ailleurs quelques cases représentant la vie avant la guerre, où chacun se baladait avec son "papercut" personnel, évoquent "I Robot" et les combats de "papercut" géants entre eux ou contre l'armée s'inscrivent dans la lignée des histoires de "méchas", type "Mazinger Z", "Goldorak" et "Gundam" (pour citer les séries pionnières). Enfin comment ne pas penser à "Death Note", brillant manga dans lequel on peut tuer des personnes en inscrivant leur nom sur un carnet appartenant à un dieu de la mort. La différence, de taille, est bien qu'ici la réussite d'un "papercut" se mesure à l'aune du talent, et qu'il s'agit de créer (même si c'est à des fins destructrices) et non de faire disparaître. City Hall peut donc être vu comme une parabole sur le pouvoir de l'imagination et, au-delà, des mots : mots qui tuent, mots qui asservissent et qui contrôlent. Mots qui peuvent, à la limite, élever le simple mortel au rang de dieu.

En ce qui concerne les personnages les auteurs ont eu la très bonne idée de s'inspirer de personnes réelles à savoir les écrivains Jules Verne et Arthur Conan Doyle et l'aviatrice Amélia Earhart (qui fut la première femme à traverser l'Atlantique en avion), mais également, pour les personnages plus secondaires, Malcolm X (le maire), Abraham Lincoln (le président des USA) et on y croise également Eliott Ness et Al Capone. le trio Verne / Conan Doyle / Earhart est particulièrement savoureux et fonctionnel. le strict duo Verne / Conan Doyle semble être une tentative, plutôt réussie, de "domestication" du personnage de Sherlock Holmes (qui aurait sans doute été, en tant que tel, trop écrasant). Ainsi Verne hérite du charisme et de l'ego du célèbre détective quand Arthur Conan Doyle incarne ses fantastiques capacités analytiques. Enfin la présence d'Amélia Earhart, aventurière, femme d'action, elle est membre du Culper Ring (IRL un réseau d'espion aux ordres du général Washington en 1778) et sexy en diable, introduit une touche de romance (pour l'instant hypothétique) et contrebalance le machisme de Jules Verne.

En bref, une excellente surprise que ce "City Hall", qui plus est doté d'un dessin très agréable, en général vraiment lisible (sauf dans quelques scènes d'action, sans doute un hommage de plus aux mangas^^) et aux décors soignés. Les protagonistes sont attachants et l'intrigue, certes classique dans le fond, donne néanmoins envie d'être suivie, d'autant plus dans cet univers original multiplie les références, comme autant de faire-valoir savoureux.

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Je suis désolé pour mes potes babéliotes qui ont adoré, mais je rentre dans ce manga intrigué mais pas ébloui. Faut m'imaginer comme Spock quand il balance son fameux « fascinant ! » sans qu'une once d'émotions ne vienne troubler son visage (un sourcil plus haut que l'autre peut-être ?)

L'ambiance steampunk mode « Gentlemen extraordinaires » a une classe certaine et les dessins de la City assurent. L'idée de donner au papier les mêmes pouvoirs qu'au génie de la lampe (si on sait écrire) est très originale et Rémi Guérin va déjà loin pour un premier tome dans la formalisation de cette arme atomique.
Et évidemment, j'aime l'idée de choisir comme héros de l'histoire des grands noms bien célèbres.
Mais… (vous l'attendiez ce « mais » hein ?)
Ces grands noms m'ont fait l'effet de costumes élégants pour des caractères qui n'ont que peu de rapport avec les originaux (enfin, je l'espère). A la limite Arthur Conan Doyle est pourvu des capacités de son Sherlock et aussi de son Watson, mais ce bon vieux Jules Verne est un jeune gaillard prétentieux et plutôt irresponsable. Amélia Earhart est une sacrée aventurière (ça ok) mais qui balance ses seins à la face de tout un chacun. Jules et Arthur se comportent devant elle un peu comme Nicky Larson devant… toutes les filles et c'est pas très glorieux.
Bref on est vraiment dans un manga qui cligne de l'oeil à la littérature tout en conservant les codes du fanservice. Inconsciemment je devais m'attendre à autre chose et il m'a fallu un moment pour me mettre au diapason.

J'ai un petit reproche à faire sur le dessin de Guillaume Lapeyre aussi. Les décors, les machines sont superbes mais je trouve qu'ils manquent de contraste. Les scènes d'action en particulier sont très floutées pour donner une sensation de vitesse et en deviennent souvent difficilement compréhensibles.

Malgré mes remarques j'ai été hameçonné par l'intrigue et il ne faudra pas longtemps pour que je cède au charme d'Amélia et au mystère de Lord Black Fowl. Je vais donc couper l'herbe sous le pied d'Alfaric et appliquer sa devise « il ne faut jamais juger une série manga à la seule aune de son tome 1 ».
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J'ai été complétement surprise par ce manga, qui est même appelé "manfra" (une BD plutôt qui est sous format manganesque). Pour la petite anecdote (c'est un peu bête mais peut-être que c'est déjà arrivé à d'autres personnes), lorsque j'ai commencé ma lecture, je me suis rendue compte qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. Il m'a fallu alors un moment avant de comprendre d'où venait le problème. En fait, j'étais en train de lire la fin du manga! Eh oui! Il faut le lire à l'endroit, par le début à l'instar des mangas ordinaires. La cause de tout ceci: ce manga est français, fait par des français. Donc ça a été une revisite surtout que j'ai bien senti la "pâte européenne" dans les dessins qui sont néanmoins bien faits, j'admire le soucis du détail. Avec ce manga, j'ai touché un nouveau genre: le steampunk. Au départ, je ne savais pas de quoi il retournait mais en faisant des recherches, j'ai pu percer à jour ce genre: industries mises en avant, évolution technologique (armes, moyens de transport comme les voitures, la machine à vapeur, le zeppelin...), c'est tout ce qu'on retrouve dans City Hall.

#Spoilers#
L'histoire débute par l'assassinat du ministre des finances britanniques qui a été tué d'une façon horrible et mystérieuse. Une belle entrée en matière (ça donne tout de suite envie de connaître la suite. le chef de la police de City Hall est chargé de l'affaire et panique en affirmant que le criminel a quelque chose d'extraordinaire en sa possession. Lui et le maire de Londres (qui n'est autre que Malcom X!) décident d'appeler un spécialiste à la rescousse: Jules Verne! (Oui, vous avez bien lu... Jules Verne en personne! L'explorateur, l'écrivain, le scientifique de renom...) mais il n'est pas venu seul... il a un assistant et cet assistant n'est autre que Arthur Conan Doyle!
Une guerre a éclaté autrefois, elle avait pour but de supprimer et parallélement de défendre les supports d'écriture, tout ce qu'il y a attrait à l'écriture (papier, crayons, imprimantes...) qui étaient considérés comme des armes et aujourd'hui, il semblerait que quelques supports existent toujours! Mais pourquoi a-t-il fallu en arriver là? Car ce que l'on écrivait pouvait sortir réellement du papier, de l'imagination de la personne; la société d'aujourd'hui est donc très avancée, les écrans ont remplacé le papier.
Le maire compte donc riposter car il a lui-même en sa possession, secrètement, un carnet et des crayons et il choisit Verne pour les utiliser à bon escient contre le nouvel ennemi de Londres; les deux jeunes gens sont donc promus au rang d'inspecteurs et doivent alors protéger la ville grâce à ce carnet et à leurs multiples talents. Un "papercut" fait d'énormes dégâts en ville et toute riposte ou arme ne suffisent pas à le neutraliser. Seuls Verne et Doyle sont en mesure de l'arrêter, l'occasion de mettre leurs talents en avant et le carnet à l'honneur.
Vient ensuite un gros plan sur une jeune femme dans un chapitre, une espèce d'agent très balèze qui bossait même sur le cas "Al Capone"! Elle est alors dépêchée pour protéger Verne et Doyle et je peux dire qu'elle va complètement chambouler leur vie!
Dans la dernière partie, le trio va se retrouver face au criminel en personne, extrêmement doué avec un crayon entre les mains et ce ne sera donc pas une partie de plaisir pour les trois jeunes gens.
A la fin, nous découvrons quelques petites choses sur le mystérieux criminel, appelé Lord Black Fowl dont quelques desseins. L'enquête va alors prendre un nouveau tournant et quelque chose me dit que le tome 2 ne sera pas de tout repos!

Ce premier tome est dynamique, il y a beaucoup d'action et aussi beaucoup beaucoup beaucoup de textes! Parfois, j'ai trouvé certains dessins, dans le feu de l'action, trop brouillon, j'ai alors eu du mal à discerner les choses, les scènes.
Le thème est très original où le papier et le crayon sont des armes redoutables. Ce premiet tome pose la base de l'histoire, nous apprend beaucoup de choses sur les "papercuts", créatures qui reviendront tout au long de la saga; par exemple, j'ai appris qu'il y en avait trois sortes: des simples, bruts; des complexes, plus sophistiqués, contrôlés à distance; et des légendaires (on ne sait pas vraiment si ils existent réellement), parfaits, à l'apparence humaine pour mieux se dissimuler.
J'ai trouvé que c'était une super idée de mettre en lumière des célébrités comme Verne et Doyle, qui en plus, ici, forment un duo de choc. Jules Verne est un des héros principaux de City Hall, c'est le Jules Verne à ses débuts: jeune, sûr de lui et de ses nombreux talents avec un franc parlé qui m'a bien plu. Arthur Conan Doyle est le second perso principal, le coéquipier de Verne , jeune, lui aussi doué dans plusieurs domaines (histoire, littérature, chimie...); de plus, il est aussi un remarquable spécialiste du décryptage (un peu comme un mentalist), un observateur/analyseur hors pair (chaque point faible/fort d'une personne/chose/situation lui apparaît facilement; il ne faut donc jamais le sous-estimer même si il est très jeune et débutant. Amelia dit "Milly" apporte une touche féminine bienvenue au manga (je croyais bien que le manga en allait être dépourvu jusqu'à son arrivée dans la moitié du tome), elle est caractérielle, est une femme de terrain (les armes, les moyens de transport, les combats... elle sait tout faire, elle connaît tout) et n'hésite pas à remettre les deux jeunes hommes à leur place. Quant au grand méchant du manga, Lord Black Fowl, il est auréolé de mystères, masqué (ce ne serait pas marrant sinon), extravagant, très intelligent et doué pour l'écriture. On a donc une palette de personnages riche et varié et je sens bien qu'ils vont tenir toutes leurs promesses.

Je compte donc bien continuer à lire cette saga qui promet vraiment, qui a réussi à me captiver et qui me permet de changer d'horizon.
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critiques presse (3)
Elbakin.net
11 août 2014
Indéniablement, City Hall incarne un petit bijou au croisement de nombreuses influences – et pas seulement steampunk – qui mérite amplement son succès. Et c’est aussi la démonstration que certains projets en apparence peut-être farfelus mais surtout ambitieux n’ont besoin que d’un coup de pouce bienvenu pour livrer tout leur potentiel.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
BoDoi
15 novembre 2012
Rémi Guérin nous propose un scénario touffu et très inspiré. […] L’autre gros point fort de cette série est sans hésitation son graphisme, léché, précis et séduisant.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
24 juillet 2012
Divertissant et trépidant, ce premier volet de City Hall se lit avec plaisir, malgré quelques légers bémols.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
— Arthur Conan Doyle !! Étudiant, écrivain amateur, chimiste débutant... et historien novice !!
— Quelqu'un qui a tout à apprendre, en somme...
— Vous auriez tort de le penser capitaine !
— Inspecteur !!
— Peu importe... je disais donc qu'il existe un domaine où il nous surpasse tous ! Et croyez-moi sur parole lorsque je vous dis que toutes vos années d'expérience policière risquent de ne pas souffrir la comparaison.
— Je demande à voir...
— De toute évidence, vous êtes un homme soigneux, inspecteur. Votre moustache est taillée impeccablement et vos vêtements repassés avec attention.
"Néanmoins, la trace de cendre étalée sur l'épaule de votre veste suggère que vous avez été appelé pour une urgence. Urgence suffisamment importante pour que vous ne preniez pas la peine d'être présentable.
"Si j'en crois la poussière caractéristique que laissent vos empreintes de pas sur la moquette, vous avez emprunté un cab et vous êtes rendu dans le quartier des affaires en centre-ville.
"Là-bas, à en croire le sang qui tache le bas de votre pantalon, vous avez découvert une victime, agressée il y a peu, ainsi qu'un indice d'une importance capitale que vous vous êtes empressé de ranger dans votre poche.
"Puis, vous êtes venu ici afin de la présenter au maire Little, car la situation, exceptionnelle et inédite, exigeait que vous ne perdiez pas une seconde, d'où l'aspect un peu cireux de votre teint, trop peu habitué à autant de stress et d'ecercices. Je ne m'explique pas, en revanche, ce parfum de poudre qui plane autour de vous...Avez-vous utilisé une arme à feu récemment ??"
— Incroyable !! Cimment avez-vous su... ??
— Pour le manque de sport ou pour le caractère dramatique de notre affaire ?
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- Mon cher Arthur, j'ai l'honneur et le privilège de te présenter une première découverte mondiale!! Une expérience qu'aucun autre homme sur cette terre n'a jamais vécue. L'aventure ultime!!
Tu vas pouvoir déguster les premiers cookies de fabrication industrielle!!!
- Euh... eh bien... je suppose qu'il convient de te féliciter... n'est-ce pas?
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-Vous avez dit un "bon" romancier...Or il semblerait d'après le City Hall Tribune of Art, que le terme adéquat soit un "excellent" romancier ! Bien sur j'aurais préféré "géniale" ou encore "exceptionnel"...mais mon ego n'aurait probablement pas survécu à pareils compliments. Mais pardonnez mon impolitesse...Verne...Jules Verne...inventeur !
-Et écrivain
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[Jules Verne] Arthur Conan Doyle ! Etudiant, écrivain amateur, chimiste débutant...et historien novice !
[Inspecteur Lester] Quelqu'un qui a tout à apprendre, en somme...
[Jules Verne] Vous auriez tort de le penser capitaine !
[Lester] Inspecteur !!
[Jules Verne] Peu importe...Je disais donc qu'il existe un domaine dans lequel il nous surpasse tous...Et croyez-moi sur parole lorsque je vous dis que toutes vos années d'expérience policière risquent de ne pas souffrir la comparaison !
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Nous vivions une ère de prospérité sans égale, l’Homme avait l’univers à portée de la main… Quiconque savait écrire pouvait se créer des suivants, des créatures serviles capables d’assurer n’importe quelle tâche simple pour vous. Seulement voilà, la conception du bonheur est très personnelle, et l’Homme arrogant, vaniteux et avide de pouvoir… Et quoi de plus simple que d’appuyer sur la détente d’une arme ?
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