Le 19 janvier 1945, la cour de justice de la Seine condamne à mort l'écrivain et journaliste Robert Brasillach.
Son crime ? Avoir sciemment entretenu avec l'Allemagne, depuis le 16 juin 1940, des «intelligences» en vue de favoriser les entreprises de celle-ci contre la France et les nations alliées.
Les preuves ? Une centaine d'articles parus dans les hebdomadaires collaborationnistes Je suis partout et Révolution nationale, un siège au conseil d'adminis...
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