Citations sur C’est arrivé la nuit (81)
"_Au contraire, Mateo ne cherche pas à attirer les regards, il ressent le besoin de se fondre dans son environnement, d'être un observateur invisible...et toujours en contrôle. Les blessures de l'enfance laissent des cicatrices qui ne disparaissent jamais."
Roosevelt disait : aucune fraction de grandes fortunes dépensée en charité ne saura compenser l'immoralité avec laquelle elles ont été acquises .
"Prouver qu'ensemble on pouvait construire au lieu de détruire lui paraissait être la façon la plus efficace de mener le combat. Pour cela, Janice avait appris à coder, parce que les hommes confient tous leurs secrets aux ordinateurs, y compris leurs mensonges et leurs turpitudes. Dans ce monde où tout tourne à cent à l'heure, sauf la justice, confondre les auteurs du mal avait pour elle une valeur sociétale incontestable et la loi confortait sa conviction [...]."
Le patriotisme est l'amour de son pays ; la détestation des autres, c'est le nationalisme.
"[...] Diego lui raconte tout de ses talents de hackeur. Mais il jure de ne jamais sans servir autrement que pour faire le bien.
_Parce que pirater des films, c'est faire le bien ? remarque Alba.
_Non, mais ça ne fait de mal à personne, répond Diego."
"William Barr, ministre américain de la Justice, corrompu jusqu'à la moelle, déclarait, sourire aux lèvres, à l'un de vos confrères qui s'interrogeait sur sa postérité : "L''Histoire est écrite par les gagnants." Il se trompait. l'Histoire est écrite par les historiens."
- Un jour viendra où des étudiants s’interrogeront sur vos choix, sur un parcours qui vous a conduite à la clandestinité et privée de la plupart des réjouissances qu’offre la vie. Qu’aimeriez-vous leur dire avant qu’ils vous jugent ?
- Que le sort des autres me préoccupait autant que le mien. Le sentiment que j’éprouvais m’a forcée à regarder le monde au-delà de ma seule condition, à ne pas me contenter de m’offusquer, de protester, de condamner, mais à agir.
Le hasard, c'est la forme que prend Dieu pour passer Incognito.
Lectrice habituée de Marc Levy, j’ai été très déçue par ce dernier roman. D’un tout autre genre, si le résumé m’avait plutôt séduite, je n’ai pas accroché et ai eu de mal à aller au bout pour découvrir au final qu’il faudrait en plus attendre le tome 2 pour connaître la fin. On ne rentre finalement pas dans le monde des geeks... bref très déçue
(...). Combien as-tu fait de hacks au début, pour le seul plaisir de percer les murs d'une forteresse, pour la beauté du geste, par défi, pour montrer à ton adversaire que tu étais plus forte que lui ?
- Le hack a sa noblesse, enfin selon l'usage que l'on en fait.