Les chroniques de Narnia, tome 5 : L'odyssée du passeur d'Aurore

Là, je suis obligé de faire un rapport avec le film pour remarquer que cette fois ils s'y sont moins tenus. Si je ne relève rien, ou presque, pour le tout ce qui me gêne c'est qu'ils aient fait une quête de recherche d'épée d'une envie de ramener des Chevaliers chez eux. Ce qui rend Caspian noble et lui apporte enfin un peu de personnalité (bien que c'était le personnage qui en possédait le plus à la base). Et le passage de la mer obscur où ils croient qu'il y a des choses, des créatures alors qu'il n'en était rien. Là où le film a fait l'erreur d'en ajouter.

Sinon, l'histoire n'est pas mauvaise. Si elle n'a pas de réelle aventure à mon sens et que les actions sont à nouveau lentes et survolées, on en apprend un peu plus sur Narnia et sur le monde qui l'entoure. On apprend à découvrir un peu Eustache qui est un personnage assez agréables.

Mais ce que je reproche à ce livre, c'est que, justement, les personnages passent de « méchant » à « bon » un peu trop vite. L'auteur nous lance un prodigieux « mais c'est Narnia qui fait qu'on évolue » mais ça me semble un peu gros.

On sent encore que l'effet conte a voulu être reproduit mais je trouve que, sur le coup, il a été raté.
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D'accord, je n'ai pas adhéré aux personnages du tome précédent. Pas de chance, je retrouve les même dans celui-ci. Et je ne les ai pas beaucoup plus apprécié, si ce n'est Eustache, plus marquant, plus attachant... plus humain en fait. Ce qui sauve cette odyssée selon moi, c'est l'histoire. Lewis revient à plus de fantasy, plus de réflexion aussi. Un tome dans la continuité du premier,où l'auteur part de ses croyances et construit son monde autour. le message reste le même, mais au moins, on peut en apprécier l'histoire sans pour autant y adhérer.

Oh la la... Désolé... mais la magie ne prend plus... Dommage.... C'est donc ça de vieillir...?

Après un petit passage à vide sur le tome 4, nous revoilà plongé dans l'aventure qui caractérisait le tome 2. Les deux plus grands enfants ne sont plus là mais nous avons le droit à un cousin, Eustache qui découvre Narnia en grognant et en étant insupportable. J'ai à nouveau beaucoup aimé le monde que C. Lewis a créé . Là, on se rend au bord du bout du monde de Narnia juste avant le pays d'Aslan le lion. C'est certes une lecture très ciblée jeunesse mais si vous n'avez pas perdu votre âme d'enfant c'est une lecture à entreprendre.
A noter que le film, qui est tiré de ce livre, est très fidèle au roman mais qu'il y a quand même quelques petits détails qui changent.
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Ce tome commence aussi rapidement que les précédents et nous promet immédiatement une grande aventure, qui fait directement suite au tome précédent (Le Prince Caspian).
Cependant, l'aventure est beaucoup trop linéaire et beaucoup trop simple. Les personnages rencontrent peu de difficulté et quand c'est le cas, Aslan vient les sauver. le recours à Aslan est excessif dans ce tome, il n'y a donc pas d'enjeu et l'aventure perd tout son interêt : au moindre doute Aslan leur dit où aller, et à la moindre difficulté il vient les sauver.
Bref, un tome plutôt décevant

Ce cinquième tome change un peu d'histoire car au lieu de jouer aux rois et reines, Lucy et Edmund, accompagnés de leur cousin Eustache, vont vivre une aventure de "pirates" puisqu'ils partent à l'aventure au bout du monde avec le roi Caspian.

Ce 5eme tome a été pour moi mieux que le tome précédent. En effet, l'histoire qui nous est raconté nous fait changer d'air et on se demande souvent ce qui arrivera aux personnages à l'arrivée d'une île. Il est toutefois regrettable qu'Aslan n'intervienne trop souvent dans ce tome alors que je trouve qu'il devrait être utilisé qu'en dernier recours (sa trop grande présence devient même agaçante car il fait désormais beaucoup de leçons de morale)

A propos des personnages, on apprend que Caspian a pris un peu le melon depuis le tome 4 (va falloir qu'il se rappelle qui la mis sur le trône). D'ailleurs, la petite engueulade entre Caspian et Edmund est un peu ridicule et inutile contrairement aux films où un sentiment de jalousie avait été créé entre Péter et Caspian.
Par son côté agaçant et finalement attachant, Eustache se fait remarquer dans l'histoire. Il est toutefois dommage de lui rendre sa forme originelle si vite car on l'oublie un peu à la fin de l'histoire.

En résumé, un tome 5 qui nous fait remonter la pente de Narnia malgré tous ses détails négatifs.

Je suis arrivé jusque là je ne sais trop comment. Après quatre tomes insupportables, je crois qu'il est temps de m'arrêter après celui là. Je ne sais pas si je continuerai, d'autant plus que la suite n'augure que le pire vu la fin de ce cinquième tome. C'est sans doutes la pure saga que j'ai jamais lue.

J'ai aimé retrouver les jeunes, et découvrir leur cousin. Caspian m'a moins énervé. J'ai aimé qu'il y ait plus d'actions dans les événements, même si on ne le ressent pas assez dans l'écriture, et que ça en vient répétitif à la longue. Mais j'ai aimé voir un peu de parallèle avec la guerre, l'économie dans le début. Je n'ai pas aimé que la religion prenne beaucoup de place dans le dernier chapitre

Dans les aventures de Narnia, Eustache est le petit nouveau. J'ai bien apprécié ce personnage, car il est celui qui apporte le côté sarcastique, et donc un peu d'humour à cette longue série d'enfants courageux aux coeurs braves. Puis, j'adore ce prénom. Et je crois deviner que l'Odyssée du passeur d'aurore ne sera pas le seul tome dans lequel on croisera son destin.

Eustache et Caspian sont 2 bons héros de remplacement à la place de Peter le Magnifique et Susan la douce. Ils sont tout aussi attachants aux côtés d'Edmund et Lucy. Et évidemment… Aslan, ce héros que j'aime tant.

Dans ce tome, on vit des aventures sur un bâteau (après les plaines verdoyantes, le désert,…). Après s'être habitué à quelques termes maritimes, j'ai eu beaucoup de facilité à m'immerger dans l'histoire. Excellent tome.

Dans ce tome 5, nous continuons à partager les aventures de Lucy et d'Edmund, accompagnés d'un nouveau personnage : le détestable Eustache, sorte d'Edmund bis (souvenez-vous du caractère originel et acariâtre de ce jeune homme) ... mais en pire, suintant la mauvaise foi. Il nous est cependant supportable pour deux raisons : il se rend ridicule ce qui nous permet de nous gausser assez fréquemment avant de le prendre en pitié car, merci Aslan, il évolue assez rapidement, transformé au sens propre du terme !

Lucy, Edmund et Eustache retrouvent Caspian qui navigue sur le Passeur d'Aurore (qui porte en passant un très joli nom). Il est parti à la recherche des amis de son père envoyés en exploration par son oncle, qui cherchait à s'en débarrasser. le récit est par conséquent rythmé par les différentes étapes, les aventures qui s'y déroulent et les découvertes extraordinaires qui s'ensuivent. Celles-ci sont parfois fantasques, parfois effrayantes, parfois drôles.

Les deux fils directeurs du récit sont régulièrement mis de côté, l'un parce qu'on l'oublie au détriment des aventures (la recherche des amis sonne finalement comme un prétexte), l'autre parce qu'il est incarné en la personne de Ripitchip et réservé pour la fin.

Fin poétique au demeurant. La beauté du Bout-du-monde fait singulièrement rêver et m'a donné des envies d'évasion...