« Quand une larme mouille un oued en Al-Guerwar
le torrent ne vient pas
viendra-t-il quand pleureront cent millions ? »
Marc Lurian nous emmène en Al-Guerwar, un pays aride et inhospitalier comme l'est souvent notre cœur. Mais au fond de ce cœur se cache peut-être aussi l'espoir. Le poète nous fait visiter sa volière et ses oiseaux étranges, et finit par nous ouvrir la porte de son jardin étoilé.