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EAN : 9782260016861
162 pages
Julliard (06/10/2004)
3.25/5   2 notes
Résumé :
À l'occasion d'une série de chroniques dans "Libération" au cours de l'été 2004, Robert Maggiori s'est interrogé sur le rapport entre l'animal et le philosophe. À la chasse, à la maison ou au zoo, les hommes adorent les animaux, et nos amies les bêtes sont bien pratiques. On peut leur prêter les meilleurs sentiments et les pires intentions du monde: elles ne peuvent pas protester. Comme l'explique Maggiori, " le rapport à l'animal est un fil rouge dans l'histoire de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Le principe est simple : un philosophe, un animal totem, fétiche ou symbole. A l'origine, une série d'un disciple de Jankélévitch publiée dans "Libération", que Juilliard a eu la bonne idée de reprendre en volume. C'est léger, drôle & inattendu. Bis !
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Vidéo de Robert Maggiori
Une conversation présentée par Robert Maggiori, critique littéraire, et membre fondateur des Rencontres Philosophiques de Monaco Avec Dov Alfon, Directeur de la rédaction et la publication au quotidien Libération Raphaël Glucksmann, Député européen et essayiste Laurie Laufer, Psychanalyste Asma Mhalla, Spécialiste des enjeux politiques et géopolitiques de la Tech
Informer est un droit, s'informer un devoir. Il n'est techniquement pas impossible de savoir quelles circonstances, quelles situations politiques économiques ou militaire, quels régimes de gouvernement, quels types de pouvoirs autoritaire, dictatorial, totalitaire, etc., entravent le devoir d'informer.  Mais il est plus malaisé de déterminer les causes qui rendraient labile, «occasionnel», intermittent, le devoir de s'informer. Renonce-t-on de force à ce dernier lorsqu'aucune résistance, aucune «opposition» ne semblent assez fortes pour rétablir le droit bafoué? A-t-on, comme on dit, «perdu confiance» vis-à-vis d'organes d'information dont on pense qu'ils ont des objectifs - les mal nommés - politiques, idéologiques, n'ayant plus rien à voir avec la «formation» des citoyens à laquelle devrait participer une information objective, variée, ancrée à des sources sûres, argumentée, vérifiée? Ou le mal est-il plus profond, et tient d'abord à la confusion entre information et communication, puis à l'hégémonie de celle-ci sur l'autre? Si l'on considère en effet qu'il est plus important de communiquer que d'informer, alors il sera admis de tous, d'une part, que le fait de dire compte plus que ce qui est dit, compte plus que la véracité (la rigueur, le bien-fondé, la justesse…) de ce qui est dit, et, d'autre part, que l'opinion vaut en tous points le savoir. Les méga-entreprises de communication plus fortes que les Etats, grâce à leurs réseaux sociaux, dans lesquels chacun «s'exprime», ont transformé ce mal en pandémie universelle, et transformé la vérité en «option», en «avis». Quelles conséquences pour l'information, la formation, l'éducation des citoyens?
#philomonaco
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