"De là où je suis, sur cette hauteur, on peut apercevoir Téhéran. Mais c'est si loin que je n'arrive pas à localiser la maison de Parvaneh. La lettre que je lui avais écrite après neuf mois de réflexion doit traîner quelque part dans les tiroirs des archives irakiennes. Le flacon de parfum doit être enfoui avec les déchets depuis longtemps. Si un jour Parvaneh vient prendre l'air de ce côté-ci, je saurai si elle se sert toujours de ce rouge à lèvres cuivré et brilla... >Voir plus