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Trois essais sur le sensible
Résumé :
Le sensible. La langue s’embarasse quand il faut articuler le mot. La langue commune ne substantive pas l’adjectif. Quant à la langue philosophique, elle ne parle bon français qu’en faisant du sensible le partenaire d’une catégorie, elle, parfaitement semblable et discible : l’intelligible, le transcendantal, le spirituel. Or il faut prêter attention à ce genre de réticence. C’est qu’on ne peut substantiver le sensible, sans en former le concept. Mais y a-t-il un co... >Voir plus