On peut, sa vie entière, tout ignorer d’une ville en la traversant chaque jour en sous-sol. De même, les usagers du métro et du RER ignorent, en passant de couloir en couloir, comment fonctionne le labyrinthe de correspondances qu’ils empruntent quotidiennement, ce qui se passe au-dessus d’eux – voire très au dessus –, ou au-dessous – voire très au-dessous. On ne sait jamais vraiment à quel niveau, à quel étage ni à quelle profondeur on se trouve, mais peu importe, ...
>Voir plus