Widdershins, tome 1 : Le Pacte de la voleuse

Widdershins, voleuse de son état, est vraiment LA personne qui sait attirer les ennuis. Au long de sa jeune vie, elle a su se faire autant d'ennemis implacables que d'amis fidèles (dont un Dieu mineur quand même )
On se laisse emporter dans ses problèmes, dans ses flashs back, on rit de son humour, on aime, on aime et on en veut encore !!

Pendant une bonne moitié du livre j'étais un peu perplexe. On nous donne des pistes en pagaille mais rien ne semble se relier. Ce qui m'a le plus perdue, ce sont les flashback. Il y en a énormément : presque un chapitre sur deux et pas du tout de manière chronologique. On découvre le passé de Widdershins a différentes périodes, sautant d'un événement à un autre, tout en suivant ce qui se passe actuellement dans sa vie.
Mis à part cette histoire de flashback, j'ai trouvé que ce livre était bien écrit. Il y avait parfois des expressions insolites qui m'ont fait sourire. Je ne sais si c'est dû à la traduction ou si elles étaient volontairement comme cela à la base, mais ça donnait un petit côté amusant au personnage de Widderhins et la rendait plus sympathique encore.
Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, j'ai vraiment aimé l'intrigue, impossible à démêler avant la fin. Widdershins est une jeune orpheline vivant dans la rue, jusqu'au jour où un aristocrate la prend sous son aile. Elle mène ensuite une vie de rêve, mais cela ne durera pas. Elle sera forcée de retourner à la rue et de renouer avec son métier de voleuse. Tout cela sur un fond de culte secret et autre encore... c'était vraiment sympa et bien mené !
Au niveau des personnages, Widdershins est attachante mais pas dès le début. Il faut attendre d'en savoir plus sur elle, ce qui arrive relativement tard. Pourtant, une fois que l'on découvre son passé, on ne peut s'empêcher d'avoir de la compassion pour elle.
Les personnages secondaires étaient pas mal également, surtout un ou deux, mais on ne les voit pas assez souvent pour qu'ils soient explorés en profondeur et ils sont donc moins touchants.
Je ne vais pas trop entrer dans les détails car ce serait vraiment dommage de laisser échapper un indice sur cette intrigue... intriguante, mais en tout cas, même si j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire au début pour les raisons que j'ai expliquées, j'ai vraiment hâte de connaître la suite maintenant ! Surtout après une telle fin... l'auteur ne ménage ni ses personnages, ni ses lecteurs !

J'ai commencé à lire ce livre et au final je ne l'ai pas fini je n'ai pas accroché au style d'écriture que je trouve bien trop simple. Ça manque de volume pendant ma lecture je trouve que c'était platonique.
Voilà malheureusement pour ce livre les 1er pages n'ont pas sue me captivité.

Les Éditions Lumen font parler d'elles depuis presque deux ans, et ce livre est le premier que je lis d'elles, mais sûrement pas le dernier, tellement cette saga est prenante - le second tome est déjà dans ma PAL. ^^ Dans une ambiance moyenne-âgeuse, une jeune femme, pour le moins rebelle aux multiples identités, évolue en tentant de sauver sa peau. Actions, combats et rebondissements sont au rendez-vous.

La première scène du roman est un peu étrange et déstabilisante, intense et un tantinet gore sur les bords. le lecteur se pose même la question de savoir si cette jeune femme n'est pas folle ou traumatisée (elle semble parler toute seule)... En tout cas ça démarre sur le chapeau de roues, et le lecteur est happé par la situation, invraisemblable, puis par le récit en lui-même.Les chapitres alternent entre différentes époques de la vie de Widdershins, dans le but d'éclairer le lecteur sur le personnage principal et ses multiples vies antérieures.

Les allers-retours dans le temps. le point fort de ce volume, est le panel des personnages, tous plus captivant les uns que les autres. Quelques-uns sortent du lot, comme Widdershins (bien entendu) mais aussi le major Julien, Renard ou Olgun. Même les personnages secondaires sont attachants le haut dignitaire de l'Eglise, la tenancière de bar. Arrêtons-là sous peine de tout révéler.

Petite précision, et originalité de l'univers créé par Ari Marmell, concernant les croyances, car même si le roman est du domaine de la Jeunesse et de la Fantasy, il n'en demeure pas moins un message de fond et un thème des plus sérieux: la religion. Au commencement étaient les Dieux, les plus grands ayant des multitudes de fidèles, jusqu'au plus obscurs n'en ayant que peu. Chacun étant libre de croire comme bon lui semble, et même sans que personne ne le sache. Fut créé par la suite le pacte d'allégeance à une centaine de Dieux principaux et reconnus, mais toléré la croyance en d'autres dieux, du moment qu'un minimum de règles étaient respectées, telles l'interdiction formelle de sacrifices humains. Lorsqu'une divinité n'a plus d'adeptes, elle est oubliée et disparaît. Et si les fidèles d'une déité étaient tous assassinés sans exception... ou pas.

La plume de l'auteur est des plus agréable à lire, et les pages se tournent à une vitesse folle, voire toutes seules - "Chéri, c'est toi qui a lu mon livre? °_° Les informations crépitantes, et le lecteur est accroché aux basques de Shins (pour les intimes) de peur de la perdre dans le dédale des petites ruelles. de nombreux enjeux sont liés à cette jeune femme tempétueuse, et l'intrigue n'en est que plus captivante. L'humour relève encore la sauce qui prend à merveille, et un sourire s'ébauche souvent sur les lèvres du lecteur.
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Les héroines qui cartonnent, c'est mon truc. Je dirais même que j'ai une nette tendance à me diriger en priorité vers ce type d'histoire. J'aime que le personnage principal de mon roman soit une femme avec du caractère, une combattante, une Xéna la guerrière, intrépide et insolente. de ce fait, j'attendais énormément de Widdershins, vraiment. Je frétillais comme une gosse à l'idée de me plonger dans les aventures de cette voleuse au tempérament de feu. J'avais envie de prendre une bonne dose de « nana-qui-casse-la-baraque ». Malheureusement pour moi, le bonheur n'est pas franchement au rendez-vous.

La faute n'est pas tant à l'héroïne, qui à peu de chose prés, rassemble une partie des choses que j'aime à retrouver : elle a de l'esprit et de la répartie. Les autres personnages du roman sont assez peu développés, mais néanmoins sympathiques, notamment Olgun, qui m'a, à de nombreuses fois, fait sourire. En revanche, je regrette que les autres protagonistes ne soient pas un peu plus étoffés.

L'univers est beau, particulièrement bien décrit, typiquement fantasy avec une petite dose de religion et géopolitique ni trop agressive, ni trop légère : le parfait dosage. On sent que l'auteure maîtrise son sujet et nous laisse entrevoir exactement ce qu'elle veut. La plume d'Ari Marmell est d'ailleurs plaisante de part sa fluidité.

En revanche, le roman souffre, à mon avis, d'un gros problème au niveau du rythme. Vraiment très gros le problème. Les gens qui me suivent régulièrement savent que s'il y a bien une chose que je déteste dans la lecture, c'est de devoir lutter pour avancer dans mon roman. C'est plus ou moins ce qui s'est passé avec Widdershins. Plus ou moins car si lutte il y a eu, elle ne venait pas d'un manque d'intrigue, mais plutôt du choix un peu étrange de l'auteure d'insérer continuellement des flash-backs dans ses chapitres. Vous savez, cette sensation particulièrement horripilante qui vous prend quand vous êtes tranquillement installée devant la télé et que vous attendez le dénouement de votre épisode, qui va se faire dans 5…4…(Mon dieu, John est il le père des jumeaux ?!), 3…2…PUB.

Voila. Avec Widdershins, c'est un peu ça. de retours en arrière en flash-backs, on finit par s'y perdre et avoir du mal à accrocher à l'intrigue principale telle qu'elle le mérite vraiment, c'est dommage et un peu triste. J'ai persisté, pour l'héroine, et je ne l'ai finalement pas regretté. Ceci dit, cette sensation un peu dérangeante aura laissé une marque jusqu'à la fin du roman et m'aura très certainement empêché de l'apprécier à 100%.
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Lorsque les éditions Lumen on annoncé la sortie de ce livre et que j'ai vu la couverture, j'en suis tombée directement amoureuses. Les couleurs, le thème, le fait que ce soit une femme voleuse, tout était là pour me plaire et me donner envie de le lire. Certes, j'ai mis du temps à le commencer, mais une fois fait, difficile de le lâcher, même si au début j'étais un peu perdue.

Adrienne Satti, est devenue très jeune orpheline. Suite à un événement dramatique, elle a décidé de changer de vie et de nom. Maintenant nommée Widdershins, elle erre dans les rue et vole les gens riches. Mais cette vie de voleuse va vite être changée en course contre la montre. En effet, derrière elle se créé un complot, autant pour la tuer, que pour conspirer contre la ville de Davallon. Durant son périple de quête de vérité, elle fera des rencontres qui ne seront pas forcément toutes positives.

Le point qui m'a le plus gênée lors de cette lecture, c'est que nous avons beaucoup trop de personnages. On finit presque par s'y perdre, et ne plus savoir qui est vraiment qui. J'en suis venue à plusieurs reprises à confondre l'un ou l'autre pour au final, ne plus chercher qui était qui, ce qui est vraiment dommage dans un roman. Ayant vécu dans l'aristocratie quelques années, il est vrai que Widdershins en croise en veux-tu en voilà, ce qui peut troubler à plusieurs reprises. À mon avis, un petit lexique à la fin n'aurait pas été de trop, pour démêler tout ça. Mais c'est le seul point négatif que j'ai trouvé.

Widdershins est un personnage que j'ai de suite apprécié : fière, conquérante, qui n'a pas la langue dans sa poche et qui sait ce qu'elle veut, font d'elle une personne à fort caractère. Les petites pointes de sarcasme qu'elle a de temps en temps face à ses ennemis sont aussi très drôles à croiser. Même s'il est vrai que pour le thème abordé je m'attendais à un peu plus d'action, le côté politique de tout cela est bien amené et au final plaisant : ni trop peu, ni pas assez. L'auteure ne nous abrutit pas avec des termes que personne ne comprend, elle reste très simple dans ses propos et c'est ce que j'ai apprécié.

Un point que j'ai beaucoup aimé et qui nous permet de mieux connaître la voleuse est le fait que l'auteure ait décidé de revenir dans son passé, tous les deux chapitres. J'ai aimé cette alternance passé/présent, car ainsi on comprend quand même beaucoup mieux certains faits, certaines paroles, certains gestes. Ainsi, ils nous permettent de mieux appréhender les choses mais aussi de plus s'attacher à Widdershins, ce qui était le cas bien avant le retour dans son enfance.

La fin est : addictive, prenante, surprenante, triste. Eh oui, j'ai trouvé que l'auteure n'y avait pas été dans la dentelle, et que tout cela arrivé soudainement, quand on s'y attend le moins ! OK, j'avoue, j'ai eu les larmes aux yeux quand les actions qu'on redoute le plus arrivent. Pour ça, j'ai trouvé que c'était une bonne fin, car elle n'épargne personne, même pas Widdershins, car même si elle paraît forte au premier abord, elle est autant humaine que d'autres et que de recevoir des coups autant physiques que moraux, peut énormément l'atteindre.

En résumé, un univers qui m'a plu, même s'il est vrai que j'attendais plus d'action que cela. Un personnage principal qui m'a conquise de part son caractère fort et ses façons d'agir. Une fin inattendue, qui pousse à vouloir lire la suite pour savoir comment Widdershins va s'en sortir et comment elle va pouvoir remonter la pente. Un bon premier tome, même si un peu plus d'action et moins de personnages d'un coup auraient été appréciés.

Justine P.

« — Je voulais juste...
— Juste m'expliquer pourquoi vous êtes ici, pourquoi je devrais vous accorder de mon temps alors que je n'ai franchement pas besoin de vous, et me donner une bonne raison de ne pas vous avoir fait trancher la gorge avant de jeter vos carcasses dans un trou à rats. (Elle lui décocha un sourire malveillant.) Vous n'êtes pas obligé de répondre à la dernière question, si c'est trop compliqué pour vous.
Jean-Luc lui retourna son rictus : de toute évidence, elle ne l'impressionnait pas le moins du monde.
— J'aimerais bien savoir à quel moment la guilde des Dénicheurs s'est dotée de demeurés et de crétins pour la diriger. »
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J'ai reçu Widdershins dans le cadre d'un partenariat avec Livraddict et Lumen, que je remercie chaleureusement. J'étais très curieuse de découvrir ce titre, que je voyais apparaître régulièrement sur la blogosphère. Sans en attendre quoi que ce soit, j'étais juste curieuse de le lire à mon tour et de découvrir davantage les éditions Lumen.

Dans ce roman, nous suivons Widdershins, qui se nommait auparavant Adrienne Satti. Précédemment aristocrate, elle est devenue voleuse, artiste, une chute dans l'échelle sociale. On ne sait pas trop ce qui lui est arrivé mais on découvre petit à petit des détails sur son passé. Cependant, ces nombreux flash-back ont pu quelque fois entraver ma lecture, ou plutôt me freiner dans ma lecture, perdant mon rythme, ma plongée dans l'histoire de base.

J'ai beaucoup apprécié notre héroïne, qui est une jeune fille forte, émouvante, mais surtout j'ai aimé sa répartie, je l'avoue. Son compagnon Olgun m'a également bien plu, et j'aimerai en connaître davantage sur lui, ce qui se fera sans doute par la suite. le monde créé par Ari Marmell est à souligner, on voit le travail réalisé : la création d'une religion, d'un culte et si d'habitude c'est quelque chose qui me passe au-dessus, ici j'ai été plutôt entrainée dans cet univers. Inspirée des religions polythéistes, chaque guilde a un Dieu référent, Dieux qui sont actifs, qui ont un réel rôle et qui entrent en contact avec leurs fidèles. Et c'est ce qui m'a le plus plu.

Au final, l'univers créé est assez original et change de ce qu'on peut lire généralement. J'ai cependant été un peu déçue par l'écriture d'Ari Marmell et il m'a manqué un petit truc pour que ce soit un livre que je retienne davantage.

J'ai passé un bon moment mais sans plus, sans coup de coeur. Je pense que ce qui a empêché un « plus » est dû au début, car j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'intrigue et qu'il m'aurait ensuite fallu un peu plus de complexité.

« Widdershins » : dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, à contre-courant. « Widdershins », un si joli nom pour qualifier cette voleuse intrépide et attachante, ancienne orpheline gamine des rues devenue aristocrate, puis voleuse professionnelle. Adrienne Satti, alias Widdershins est une jeune femme au destin atypique marqué par une série de drames. Tandis qu'un Dieu espiègle et bienveillant veille sur elle, le mauvais sort semble pourtant la traquer obstinément. Quel est ce complot qui se trame dans la cité de Davillon et affole la Guilde des Voleurs, l'Église et la Garde ? Pourquoi Widdershins est-elle si profondément impliquée ? Qui en est la véritable cible ?

Dans ce roman, Ari Marmell retrace le parcours de la jeune femme et son évolution en brisant la linéarité chronologique. Déroutants - voire agaçants - en premier lieu, ces allers-retours temporels créent en réalité une trame dense et complexe autour du personnage principal. Différents éléments de sa vie se dévoilent peu à peu et dessinent le portrait d'une jeune femme forte, fougueuse et émouvante dotée d'une grande consistance et profondeur.
L'auteur ficelle une intrigue religieuse intéressante, basée sur le culte de nombreux Dieux d'un Pacte Ancien – certains légaux, d'autre illicites, jugés hérétiques. Ari Marmell crée un système de religion et de croyance original, fascinant. Il est inspiré de notre propre système - composé d'une Église et d'hommes d'église - mais diffère au niveau des divinités adorées. Elle utilise des éléments qui nous sont familiers mais y apporte sa touche personnelle et innovante, ce qui est un aspect très plaisant de ce récit.

Cependant, ces qualités sont altérées par une plume plutôt quelconque et plate, bien qu'efficace et directe. Heureusement elle est sauvée par un récit rythmé, soutenu et prenant. Une belle découverte !
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Il est vrai que la première chose qui nous attire dans ce livre est la magnifique couverture, ensuite le mot « voleuse » nous intrigue, puis le résumé apporte un intérêt plus présent, enfin on se lance et on est pas déçu. Une histoire qui a frôlé le coup de coeur, mais qui ne le sera pas finalement juste parce qu'elle a été lu sur un temps long.

A l'origine enfant des rues, Adrienne devient Widdershins, la voleuse intrépide. A la fois noble et voleuse, elle n'hésite pas à voler ses compères. Cependant, Davillon est sur le point de subir une conspiration. Elle va alors faire tout son possible pour connaître le fin mot de l'histoire. Et tout cela avec l'aide de son ami, Olgun, un dieu… Rien que ça ? Mais quel est le lien entre les événements de son passé et ceux d'aujourd'hui ?

Un premier tome plus que satisfaisant, nous emportant dans une intrigue remplie d'une multitude de personnages. Adrienne est, certes, le personnage principal, mais l'auteur nous présente les différents camps (aussi bien amis qu'ennemis), ce qui rend encore plus captivante celle-ci. de plus, les sauts dans le temps, ente le passé et le présent permettent de connaître davantage Adrienne, d'installer de premières hypothèses et les premiers liens. Dès le début, on s'interroge grâce aux changement de scènes, de lieux, de personnages, de temps. Ari Marmell nous surprend avec son style d'écriture ; à la fois historique, fantastique et aventure. Certains lecteurs auront d'ailleurs sans doute des difficultés dès les premières pages, mais on s'habitue très vite. Autre chose d'étonnant, l'utilisation de dieux, chacun représentant une maison ou une croyance. L'auteur réussit à nous intéresser à travers tout cela.

Par contre, le suspens est assez peu présent, ou bien alors pas assez exploité. le lecteur s'attend à être pris de court par la révélation de la conspiration, ce qui n'est pas le cas. On espère alors que celui-ci sera compenser dans la suite, que je lirai sans aucun doute.

Un bon début pour ce premier tome qui m'a de nombreuses fois fait penser aux histoires de capes et d'épées, avec le fantastique en prime. Un univers et une héroïne riche en couleurs.
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Je me suis plongée corps et âme dans les aventures de Widdershins, une voleuse, qui avant était une aristocrate connu sous le nom d'Adrienne Satti. Un roman où s'entremêle passé et présent, car l'intrigue prend forme deux ans auparavant, lors d'un évènement qui a fait qu'Adrienne Satti a du fuir à la fois son nom, et son statut, pour devenir Widdershins. Un personnage avec un sacré caractère, et surtout une force intérieure qui lui permet d'avancer malgré les horreurs dont elle a été témoin. A moins que cette force ne lui vienne d'Olgun, un dieu oublié de tous, sauf d'elle.

Nous sommes plongés dans un univers sombre, et Widdershins va se rendre compte qu'elle est mêlée, malgré elle, à un complot ténébreux qui prend coeur au centre de la cité de Davillon. Ses talents de voleuse et l'aide d'Olgun, font qu'elle réussi à s'échapper de la plupart des situations périlleuse dans lesquelles elle se trouve. Mais cela suffira-t-il pour se sortir de ce guêpier, et espérer pouvoir un jour reporter son nom, sali deux ans auparavant ?

Un roman bien écrit qui m'a totalement transporté dans cet univers médiéval. de plus, j'ai aimé la façon dont la religion est abordée dans ce livre, et aussi le fait de voyager à la fois dans le passé et dans le présent de Widdershins, mais pas seulement, car le récit est vu du point de vue de plusieurs personnages. Venez vous aussi vous promener dans les rues de Davillon en compagnie de Widdershins et des dieux…
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