Les gens heureux lisent et boivent du café

Déception !! le titre m'a attiré et les avis d'autres amies ont eu raison de moi ! L'histoire est prévisible a 120 km à la ronde !! Pour moi c'est une pâle copie de « Ps : I love you » de Cecelia Ahern qui ne lui arrive absolument pas a la cheville. Bref décevant.

Je n'avais jamais eu l'occasion de lire un roman de la collection Harlequin, c'est désormais chose faite avec ce livre, qui doit être un échappé de cette collection.

Étant donné l'immense succès de ce livre, on peut se dire que la littérature de gare compte beaucoup, beaucoup d'adeptes et qu'elle a de beaux jours devant elle.

Ma mère m'a acheté ce livre en brocante et je l'avais tellement vu que ce soit dans les magazines ou sur les tables en présentation en librairie que je suis partie confiante. le résumé, lui aussi, semblait prometteur.
Et bien pas du tout. Douche froide. Ce livre est un cliché du début à la fin. Vraiment l'engouement autour me laisse plus que perplexe.
L'héroïne, je ne sais même pas comment la décrire. On est censé avoir devant nous une femme en dépression et tout d'un coup boum elle se lance au cou du premier venu après un week-end et se lance dans une compétition avec l'ex bien méchante comme il faut pour que notre héroïne brille pour gagner l'amour de ce voisin ténébreux, photographe qui est si distant et accessoirement un con. Quelle misère. Vraiment. Et ne parlons pas de l'ami homosexuel qui s'envoie en l'air avec la terre entière.
Je suis consternée et n'ai fini ce livre que parce qu'il est court. Et merci pour ça. Plus cliché on meurt.

Je n'ai pas aimé ce livre. Je trouve le roman plat, sans plus de rebondissements, le thème est clairement survolé pourtant le double deuil aurait pu être quelque chose à travailler profondément. C'est un livre un peu bateau, sur fond de romance. Vu l'engouement que j'avais vu autour de ce livre je m'attendais à autre chose.

Mais pourquoi ? C'est la question que je me suis posée à la fin de ma lecture. Qui avait pourtant bien commencée. En lisant la quatrième de couverture on sait qu'on va lire un livre qui traite du deuil, l'autrice est psychologue, le roman est court et dès les premières lignes il entre dans le vif du sujet. Parfait.
Mais malheureusement ça ne dure pas longtemps. A partir du moment où Diane quitte Paris pour l'Irlande le livre bascule en mode film romantique de Noël. Premier point qui questionne, pourquoi l'Irlande ? qui ne sert absolument à rien pour la suite du récit, le lieu pourrait très bien être le fin fond de la Creuse ou de l'Ardèche. Ensuite, elle va s'enterrer dans la campagne Irlandaise et qui habite dans le cottage situé à 20 m du sien ? le plus bel Irlandais d'Irlande bien entendu. Grand, beau, ténébreux, torturé par la vie... S'ensuit une amourette toxique digne d'un livre young adult (Petit rappel à tous ces auteurs et autrices : non un mec violent c'est pas normal, ni sexy, ni romantique).
C'est vide, c'est creux, c'est dommage.

Roman très oubliable et mal écrit. le résumé donnait pourtant envie, il s'avère être un extrait de la première page qui est la seule que j'ai d'ailleurs trouvée intéressante. Certains passages sont ridicules (lorsque l'héroïne se bat avec l'ex de le l'homme qu'elle convoite) , et le sujet du deuil aurait pu être mieux aborder qu'à base de capuche et de shampoing à la fraise.
J'ai trouvé intéressant et réaliste de vouloir partir dans un autre pays pour se reconstruire, mais la réaction de l'entourage, pas du tout encourageante, ne fait pas sens, comme le reste de ce livre.

Diane, depuis un an et la perte de son mari et son enfant ne quitte plus son appartement et son lit. Poussée par son meilleur ami, avec qui elle a créé la librairie-salon de thé qui donne son nom à l'ouvrage et qu'elle a abandonnée après ke drame, elle quitte tout et part se refugier en Irlande. Elle y rencontrera son voisin, bourru mais bel homme.


Autant le dire tout de suite, je n'ai absolument pas accroché à ce livre, heureusement court car je n'aurais pas pu en supporter une centaine de pages de plus.

Je m'attendais à une histoire sur la reconstruction de l'héroïne après une telle épreuve. Il ne s'agit en réalité que d'une bluette remplie de clichés.

Ma première question à la lecture des premières pages est : de quoi vit l'héroïne ? Elle semble disposer de fonds inépuisables alors que son entreprise prend l'eau. Des fonds suffisants pour son bel appartement à Paris ou pour changer de vie radicalement en louant un cottage en Irlande pendant plusieurs mois sans le moindre revenu.

Les personnages ? Creux. de Diane, qui après avoir touché le fond tombe quelques pages plus tard dans les bras de son voisin, à celui-ci, désagréable-mais- tu-comprends -c'est-pas-sa-faute-il-a-un-chagrin-d-amour, sans compter son meilleur ami gay, bourré de clichés, bref rien de consistant.

Quand à l'histoire... rien de transcendant. On sent arriver l'histoire d'amour très vite. Et pourtant le personnage masculin est tellement désagréable que je n'y ai rien compris. Et l'arrivée de l'ex-fiancée, elle aussi un cliché ambulant n'y change rien, au contraire. Il m'a tellement agacé dans son indécision.... et comment deux femmes peuvent se battre pour lui.... incompréhensible.

Bref, peu de choses pour moi dans ce livre. J'ai beau lire des feel-good, il me faut quelque chose de plus consistant malgré tout. Un coup dans l'eau.


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Histoire cousue de fil blanc sans aucun intérêt. Perte de temps. Je n'ai pas du tout aimé. Je ne me suis pas attaché aux personnages. Beaucoup de gros mots. On dirait un livre … d'après un téléfilm. Un roman de gare et pas plus. Je ne le commande pas.

Sur un sujet très sensible, comment se reconstruire après la perte d'un mari et d'un enfant dans un accident, Agnès Martin-Lugan a réussi à écrire une histoire banale et sans grand intérêt ….

Après une quarantaine de pages passées sur son canapé, Diane décide de partir en Irlande , que son mari aurait aimé découvrir. Bonne idée, me dis-je, on va au moins voir du pays et de chouettes paysages . Hélas, non . de l'Irlande ne restent que le vent et la pluie , et la Guinness bien sûr ! Par contre on y rencontre un beau mâle rustre et détestable, Edward, avec lequel Diane s'écharpe allègrement, mais ça ne durera pas, je vous rassure !

C'est aussi prévisible qu'un téléfilm de Noel, l'écriture est très plate, et vu le nombre de cigarettes qui s'allument dans ce livre il devrait plutôt s'appeler « Les gens heureux fument et boivent de la Guinness »
Bon, de toutes façons, je trouve cette mode des titres à rallonge qui ne veulent rien dire assez pénible !
(Je signale d'ailleurs que pour quelqu'un censé tenir un café littéraire, il n'est pas beaucoup question de livres dans cette histoire…)