AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,91

sur 9643 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Malgré la couverture qui m'agace parce que trop ressemblante à celle de « Rien ne s'oppose à la nuit », et du coup me fait l'effet d'une publicité trop grossière pour le livre, il commence plutôt bien et je plonge facilement dans la lecture.
Diane perd son mari et sa fille dans un accident de voiture et sombre pendant plus d'un an. Elle décide de quitter Paris, son café littéraire et part en Irlande pour tenter de se ressaisir.
Jusque là, ça va. Mais à partir du moment où elle rencontre son voisin irlandais, ça devient du grand n'importe quoi. Surtout au niveau des dialogues. Pas beaucoup de finesse de style non plus. L'histoire n'est plus crédible et je me suis forcée pour aller jusqu'au bout. Sans trop de mal parce que ça se lit vite, mais en conclusion, ce livre est une déception vu le battage qui a été fait autour de lui.
Commenter  J’apprécie          1895
Attirée par le titre de ce roman, mais sans avoir lu la quatrième de couverture, je me suis retrouvée au milieu d'un drame familial.
L'histoire est convenue, voir même stéréotypée.
Beaucoup de raccourcis pris par l'auteur pour arriver à pas grand chose.

Un roman qui comporte peu de pages, qui se lit vite.

Au final un livre convenu, sans détails, et que je qualifierais de gnangnan.

Je n'arrive toujours pas a comprendre l'engouement autour de ce roman.
Mais cela fait plus d'une fois que les titres a rallonge me joue ce vilain tour... je pense que j'y regarderai a deux fois avant d'en relire un les yeux fermés.

Un roman pour salle d'attente.
Commenter  J’apprécie          956
Ce n'est pas avec un "sourire en coin" ou en ayant envie de danser "un rock endiablé" que j'ai lu ce livre, mais plutôt "comme une furie" "au bord de l'éruption volcanique". Pourquoi ? Parce que c'est tellement mauvais que ça en devient indigent...

J'ai déjà eu du mal avec l'accumulation de poncifs, de lieux communs et de clichés. Dans le style comme dans les personnages. Outre ceux de ma première phrase, on a évidemment la "cascade" de cheveux magnifiques, le "regard noir" et le baiser "au coin des lèvres". Répétés plusieurs fois, tant qu'à faire ! Avec l'inévitable meilleur ami gay, et la "salope" (voui voui) qui parle toute seule pour qu'on puisse connaître ses mauvaises intentions (voui voui bis).

Mais le pompon, c'est qu'on essaie de nous faire croire qu'il s'agit de littérature, d'un roman sur le deuil, alors qu'il s'agit d'une romance bas de gamme ! Attention, je n'ai rien contre une bonne romance qui fait du bien au moral et accompagne un après-midi ensoleillé sur la plage... Il faut juste qu'elle soit réussie (là, non) et qu'elle s'assume comme romance (encore raté).

Bref, les gens heureux lisent peut-être, mais pas ce roman-là ! Ou alors, ils partent directement pour l'Irlande, la seule chose qui m'ait vraiment intéressée ici !

Challenge Petits plaisirs 16/xx et challenge PAL
Commenter  J’apprécie          7529
J'ai un énorme doute.
J'ai un énorme doute quant au succès de ce livre s'il n'y avait pas cette surenchère de drames au départ (mort d'un mari et d'un enfant) déclencheurs à coup sûr de nos glandes lacrymales.
Parce que mis à part ça qui émeut, je ne trouve rien d'autre de marquant dans ce livre.
Chaque personnage représente un profil psychologique cliché, bien au chaud dans sa p'tite case :
- le meilleur ami homo qui, à part faire la fête (avec un T-shirt col V échancré) et cumuler les amants, passe son temps à soutenir la pauvre Diane et à la prendre dans ses bras pour la consoler.
- le mec ténébreux (avec une chevelure ébouriffée) et pas commode (il a souffert d'abandon) qui est d'abord détesté de cette pauvre Diane mais qui est en fait un prince charmant moderne.
Je vous passe le père qui rabaisse la pauvre Diane avec ses conseils qui se voudraient bienveillants, la femme ultra belle manipulatrice (en robe noire), la chaudasse marrante sympa (en mini-jupe), etc…
Ça donne forcément des dialogues et des situations… fades, pour ne pas dire que la plume de l'auteur ne relève pas le niveau.
Mais si en fait, je le dis. Je n'ai pas aimé la plume de cet auteur qui, de plus, ne passe pas derrière le masque caricatural de ses personnages. Après tout, on doit tous rentrer dans une case en apparence, mais si un écrivain ne bouscule pas tout ça, autant regarder un téléfilm dramatico-romantique sur M6…
Commenter  J’apprécie          558
Quel titre magnifique ! Comment résister ? Hélas, ce fut une déception. le titre n'est que le nom du café littéraire tenu par Diane et n'a finalement aucune importance. Diane aurait tout aussi bien pu être boulangère.
Daine est dévastée par la perte de sa famille. Comment se reconstruire ? Sur les conseils de son meilleur ami, elle se rend en Irlande, pays que Colin, son mari, rêvait de visiter. Dès son arrivée, elle s'accroche avec son rustre (mais bel homme) de voisin. Voilà, voilà, nous sommes passés de la reconstruction — après un deuil plus que difficile à faire — à la romance.
L'écriture est moyenne, maintenant, si vous êtes dans un endroit isolé avec ce seul livre à vous mettre sous les yeux…
Commenter  J’apprécie          471
J'avais bien un petit doute en commençant la lecture, mais bon, après tout, pour les livres gentillets, je ne suis pas si mauvais public que ça. Et puis, étant moi-même un consommateur assidu de livres et de café, le titre m'a particulièrement tapé dans l'oeil.

Malheureusement, le roman enfile trop de clichés les uns derrière les autres pour pouvoir tenir le rythme : le meilleur ami gay à la sexualité débridée, des irlandais tous taillés comme des bûcherons… canadiens, un homme insupportable qui va forcément devenir le coup de coeur de l'héroïne, … Ça commençait à faire beaucoup pour moi. Quand on ajoute à ça le manque totale d'empathie envers les malheurs des protagonistes, il ne reste qu'une solution : arrêter la lecture et passer à autre chose.
Commenter  J’apprécie          400
Un livre que j'ai lu très vite et finalement avec beaucoup de plaisir comme on regarde un bon film sans prétention.J'avais été prévenu par la personne qui m'a offert ce livre que la première partie était assez triste.Donc j'avoue avoir survolé la première partie pour bien m'installer dans ce livre qu'à partir du moment où Diane part en Irlande pour tenter de se reconstruire après le double deuil de son mari et de sa fille.Evidemment j'ai adoré Edward ce photographe,voisin taciturne,très peu bavard qui est pourtant un gros ours tout tendre lorsqu'il déclare sa flamme à Diane.C'est mignon tout plein et mon coeur de midinette à fait des bonds de joie tout ébloui par ce personnage d'homme protecteur et rassurant qui n'existe que dans les contes de fée...
En résumé un livre qui nous fais rêver nous les incorrigibles "fleur bleu"...
Commenter  J’apprécie          382
Petit livre de poche facile à glisser dans son sac à main, voilà un roman qui se lit en une ou deux heures, le temps d'un trajet de week-end en train par exemple. Et comme il ne nécessite aucune concentration, il va vraiment être adapté à ce type de moment.

Pour dire vrai, apparemment ce roman à l'eau de rose a rencontré un grand succès qui à la fois me surprend - mais juste un peu - et m'afflige : le goût de nos concitoyens en matière de lecture est-il si médiocre ? J'espère qu'entre deux bluettes de ce type, ils arrivent à se mettre sous les yeux des denrées un peu plus roboratives, un peu plus exigeantes.

L'idée est simple (oserais-je dire simpliste ou simplette?) : après un double deuil, mari et enfant décédés dans un accident de voiture, Diane (tant qu'à faire, visons haut!) part soigner son chagrin en Irlande. Évidemment, il y fait un temps de chien, évidemment l'accueil y est chaleureux (et pas du tout freiné par la difficulté linguistique : c'est vrai, l'irlandais ça se comprend d'un coup!), évidemment il y a là Edward, un bel homme détestable, fermé, manifestement dévoré par un sombre secret ; évidemment ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre. Sauf que, petit moment inattendu dans ce défilé de scènes vues mille fois, sauf que arrive l'ex qui va leur mettre des bâtons dans les roues.

C'est vu, archi-vu, on n'a même pas le plaisir de découvrir les paysages d'Irlande (sauf ce coup d'oeil vertigineux du haut de la falaise : peur, suée, on se réfugie évidemment dans les bras puissants du bel Irlandais ronchon).

Bon, on n'efface pas sa douleur si vite, malgré les bières et les clopes (et Dieu sait qu'on en consomme, le livre doit être sponsorisé par Malborough, Guiness et le whisky du coin). A Paris, dans le Marais où vit - of course - l'ami fidèle gay nommé Félix un lieu attend Diane : le Café littéraire des Gens heureux. Elle va y retourner, continuer de se reconstruire et, qui sait ? peut-être recommencer à vivre. Avec ou sans Edward . L'objet d'une suite, peut-être ?

Le thème est à mon avis trop délicat, trop universel, trop bouleversant pour être traité avec autant de paresse.

Vraiment l'impression de lire le script d'un vieux film américain . Il ne manque que l'héroïne, soulevée de terre, ses deux pieds battant l'air et ses petits poings rageurs martelant la robuste poitrine de John Wayne. Ou d'un autre.. !

Commenter  J’apprécie          296
Ce livre illustre parfaitement deux de mes théories qu'il faut que je continue à appliquer pour mes lectures :
En général, j'eprouve de la méfiance pour les livres mis en avant genre tête de gondole entourés de tout un tapage médiatique . Cette lecture me conforte une fois de plus dans cette opinion.
Et ensuite, il faut que j'apprenne à dire non merci de façon diplomatique à mes amis bien intentionnés qui veulent absolument me prêter des livres . En général cela commence par : "Je sais que tu aimes lire, et je suis sur(e) que tu vas adorer celui-ci....."
J'ai toujours de la peine à refuser car cela part d'une bonne intention et après, je me sens obligée de lire ces livres....
Mais franchement, la je me serais bien passé de cette lecture.
J'avoue que je n'avais pourtant pas d'à priori spécial en commençant ma lecture en me disant que j'allais lire rapidement celui ci avant de passer à autre chose. Bon je l'ai effectivement lu rapidement, mais pas seulement. J'ai désenchanté des la page 15 où Clara retrouve son mari à l'hôpital. Ayant quelques connaissances dans le domaine du soin, je n'ai pu m'empêcher de ricaner devant le manque de crédibilité de cette partie de l'histoire....
Donc c'était déjà mal parti....Et effectivement cela a continué ...
Je n'ai pas du tout adhéré à l'histoire, même si j'ai éprouvé de la compassion pour la jeune femme.
Mais certains personnages frisent trop la caricature et les stéréotypes . Entre le copain qui concentre en sa personne tous les clichés sur les homosexuels, l'ours mal léché qui va s'apprivoiser pffff
Et franchement, j'ai eu de la peine à me croire en Irlande ....Et en plus, je ne sais pas trop, mais pour une personne qui a fait des livres son métier, j'ai l'impression que j'en lis plus qu'elle....
Donc, en résumé, un livre dont on peut se passer, ou à lire quand on est en train d'attendre un train histoire de ne pas se prendre la tête...
Commenter  J’apprécie          293
Sur les plages irlandaises, l'antipathique Edward, beau photographe solitaire à la voix rauque avec son chien, ses lunettes de soleil et son 4x4 arrivera-t-il à guérir de la déprime Diane qui a fui son café littéraire parisien et les souvenirs de sa fille et son mari décédés?

Ce livre au titre magnifique racontant l'histoire de gens malheureux qui fument, boivent des bières, s'engueulent et ne lisent pas du tout est malheureusement assez éloigné de mes goûts littéraires.
Commenter  J’apprécie          262




Lecteurs (22618) Voir plus



Quiz Voir plus

"Les gens heureux lisent et boivent du café" d'Agnès Martin-Lugand

Quel est le nom du meilleur ami de Diane ?

Colin
Jack
Edward
Félix

11 questions
366 lecteurs ont répondu
Thème : Les gens heureux lisent et boivent du café de Agnès Martin-LugandCréer un quiz sur ce livre

{* *}