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François Truchaud (Traducteur)
EAN : 9782265078024
214 pages
Fleuve Editions (25/03/2004)
3.45/5   33 notes
Résumé :
Holly a su faire de sa surdité un atout. Assistante sociale au service de la protection de l'enfance, elle s'épanouit en y mettant à profit sa sensibilité particulièrement aiguisée, son intuition proche de la clairvoyance, et son empathie. Elle offre aussi régulièrement ses services à la police, puisque sa capacité à lire sur les lèvres, même à grande distance, fait d'elle une indic idéale...
Une double vie plutôt mouvementée qui nécessite une certaine force ... >Voir plus
Que lire après CorbeauVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
...le démon Yeux Tueurs, (qui peut faire cesser votre coeur de battre simplement en vous regardant), ou Jeune Fille Ours (couverte de fourrure noire, qui peut vous briser la nuque d'un seul coup de dents), ou encore Corbeau...
Ce ne sont que des légendes indiennes, fit George Yeux Gris, le Nez-Percé.


- Elliot Joseph y croit tellement qu'il a battu son fils à mort, en voulant extirper ce démon nommé Corbeau... Se désola Holly, assistante sociale au service de protection de l'enfance.


L'alcoolisme de l'homme avait provoqué sa crise de démence, mais "Corbeau" avait-il sa part de responsabilité ? Existe-t-il vraiment?


Un démon tout noir, comme une ombre. "Corbeau est un oiseau, rusé et très dangereux, c'est un charognard". Mais, il peut prendre la forme de son choix...


Au procès, Elliot Joseph murmure une malédiction en direction d'Holly.
"Corbeau, corbeau, corbeau.
Il secouait la tête, tel un shaman qui agite son bâton médecine".


Holly est horrifiée, et se rend compte que ce don de pouvoir lire sur les lèvres ( à cause de sa surdité) est un problème à ce moment...


Corbeau qui peut prendre la forme qui lui convient, Corbeau qui va prendre votre chance, morceau par morceau. Comme un charognard, il déchiquète votre Vie, vos moyens d'existence, votre maison, les êtres qui vous sont chers, puis votre bonheur...
Mais, ce n'est qu'une légende indienne, n'est ce pas ?


Il y a des centaines d'histoires sur Corbeau, mais dans chacune d'elle, c'est la détresse humaine qui le fait saliver... le charognard s'attaque d'abord à vos yeux, puis arrache votre chair, un morceau après l'autre...


Holly s'aperçoit que sa fille Daisy (8 ans) a des cauchemars, que son ami Mickey Slim se comporte de manière étrange, que des étrangers la regardent avec concupiscence....


Ce n'est pas vrai, n'est ce pas?
Ce ne sont que des histoires?
Corbeau n'existe pas, n'est ce pas?


Graham Masterton a un goût immodéré pour les légendes, l'horreur et pour le surnaturel (comme Lovecraft, auquel il rendit hommage!). de plus, il a un souci du détail et un humour particulier qui en font un des maîtres du genre...
Crôa, Crôa, crôa!


Lisez aussi le billet de Siabelle, nous avons fait la lecture ensemble...C'était notre challenge!
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Le livre le «Corbeau» il est dans ma bibliothèque et par un vendredi soir, l'occasion se présente. Je vais découvrir ce qu'est le «corbeau» et en plus je lis mon auteur chouchou. C'est un petit roman, de 214 pages, c'est un thriller fantastique, qui vient aussi avec le surnaturel, et l'horreur. Le récit est écrit en 2002, il est édité par Fleuve Noir, en 2004. Lorsque tu regardes, la quatrième de couverture, le corbeau est très mystérieux. Je me suis questionnée : « Qu'est-ce qu'il est ? Est-ce qu'il est plus dans l'ombre ou est-ce qu'il va plus vers la lumière ?».

C'est toujours avec sa belle écriture, que j'affectionne, on retrouve ses thématiques et sa légende indienne. Il me surprend vraiment car il traite des sujets délicats, il place le lecteur dont lui-même doit s'interroger sur le pouvoir de l'homme, et jusqu'où la ligne du mal, doit s'arrêter, quand il s'agit de la violence, sous toutes ses formes. Je ne classe pas ce roman, dans ses livres incontournables, il reste que c'est une très bonne histoire, écrite à la Graham Masterton. Je conseille d'autres récits à lire, bien avant celui-ci, si on ne le connaît pas beaucoup.



Captivant, Enveloppant, Angoissant

Holly Summers, elle est attachante. Elle est veuve, et sourde, elle possède une faculté à lire sur les lèvres, elle est assistance sociale et elle travaille aussi pour la police. On la suit dans son quotidien, avec l'aide, qu'elle apporte aux familles, mais parfois ça ne se déroule pas, toujours comme prévu, surtout lorsqu'on lui jette un sort. Et c'est là, qu'on voit arriver le corbeau.

On peut sentir, effectivement, une routine, avec notre héroïne Holly, qui peut nous lasser parfois. On ressent vraiment une tension dans l'air, une subtilité de peur, et de crainte. On la sent vraiment déstabiliser, elle se questionne et elle continue, même si les événements s'enchainent autour d'elle. Il dispose des scènes, qu'ils ne conviendraient peut-être pas, à tous.

Il ne faut pas oublier, qu'il y met aussi sa petite touche, personnelle : «Holly défit le ruban, ôta précautionneusement le papier d'emballage, ouvrit le carton et rabattit le papier de soie noir. Elle en sortit une nuisette de dentelle noire, ornée de chrysanthèmes noirs, mais totalement transparente… Je suis stupéfaite… Hé… il n'y a pas de sous-entendu, d'accord? Ce n'est pas comme si je disais, j'ai envie de vous voir porter la porter. Je l'ai vue dans la vitrine des Nuits Magiques et j'ai pensé… euh, je ne sais pas. J'ai juste pensé à vous». Par la suite, Holly dit : «Mais personne ne m'avait jamais offert un cadeau de ce genre. David m'offrait des livres de cuisine, des nappes Shaker et des colliers indiens...»
Rappelons aussi que Graham Masterton était directeur de Mayfair.



Je le dévore, en une soirée, je reste très agréablement surprise, c'est rare, que je lis vite aussi, c'est bien à l'occasion. Je suis satisfaite dans l'ensemble. La question qu'on se pose : «Est-ce qu'il faut toujours se fier, à notre instinct, même si nos sens, ne le voient pas toujours ?»

J'invite donc à aller lire, sa magnifique plume, à Cascasimir, avec qui je lis, mon auteur préféré. C'est notre lecture ensemble.

Siabelle
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En regardant dans ma bibliothèque, j'ai retrouvé un livre que j'avais entamé 2 ou 3 ans plus tôt mais que je n'avais fini. Les premières furent difficiles a assimiler et c'est certainement pour ces raisons que j'ai abandonné le livre.
Du titre original unspeackable, le roman fut édité en 2002. Loin de ses titres phares, Corbeau reste un titre original quand a sa structuration par rapport aux textes qu'écrivait Graham Masterton. Holly est une femme sourde qui élève seule sa fille. Elle travaille pour les services de la protection de l'enfance. Parce qu'elle a du caractère et de la force, elle a apprit à lire sur les lèvres au point d'en faire un don. Elle peut ainsi comprendre les phrases et même savoir les origines des personnes qui parlent grâce à leur vocabulaire. Elle aide de temps a autre la police afin en tant qu'agent de terrain en espionnant les bandits.
Les cent voire les cent-cinquante premières pages sont d'un intérêt médiocre, la lassitude gagne. Puis, l'horreur cher à Graham Masterton arrive, mais comme il excelle d'habitude puisque là c'est vraiment psychologique. En fait, il place les hommes comme des pourris et il n'a pas tout a fait tort. Les perversions sont parfois insoutenables et une fin surprenante, mais tout aussi ignoble. Franchement, si j'avais commencé par lire ce livre, je n'aurais certainement pas essayé d'en lire d'autre de lui. Pour tous ceux qui aimerai découvrir cet auteur, ce livre n'ait pas représentatif de ses meuves et je ne le conseille pas. Pour les fans, ils risquent d'être déçu par ce roman.
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"Corbeau " de Graham Masterton.

Holly, jeune veuve,sourde, a la faculté de lire sur les lèvres et travaille en catimini pour les services de police ainsi qu' assistante sociale à la protection de l'enfance.
Elle parvient à retirer un enfant martyrisé à son père qui lui jette un sort. Ce sort est celui du"Corbeau" ...

L'auteur nous livre une vraie satyre sociale. Ces hommes "castrés " par les femmes qui réussissent professionnellement , ces hommes qui violent, maltraitent ou battent à mort des enfants , ces hommes avec un statut social dit supérieur et ne savent parler de femmes qu'en termes graveleux, au bout du compte que sont ils , sinon la lie de l'humanité ?
Graham Masterton ne nous épargne rien Içi jusqu'à la dernière phrase .
Pour ma part , du grand Masterton même si le fantastique est peu présent dans cette oeuvre.
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Il est vrai que lorsqu'on perd ou que l'on est privé de l'usage de l'un de nos sens, les autres se développent pour compenser. C'est le cas de Holly, sourde, assistante sociale au service de la protection de l'enfance, dotée d'une sensibilité particulièrement aiguisée.
Le Corbeau est un thriller fantastique, avec une pincée de surnaturel et bien entendu, de l'horreur, sinon ce ne serait pas un Masterton.Idem pour les légendes indiennes qui sont toujours intimement mêlées à ses récits.
Encore une fois, la peur nous colle aux tripes, on souffre en même temps que Holly, à laquelle un sort est jeté, on se fond dans le personnage.
J'ai beaucoup aimé ce récit et ai même eu l'impression de me retrouver dans certains passages. Un grand Graham Masterton.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
- "C'est l'histoire d'un roi solitaire qui cherchait une reine. Par un soir d'hiver, il partit à cheval dans la forêt, tagada-clop, tagada-clop. Le sol était recouvert de neige, et alors qu'il arrivait dans une clairière, un corbeau survint et se percha sur un buisson de ronces à côté de lui, croa ! croa ! pour becqueter des baies rouge vif. Le roi solitaire dit : "Je n'aurai de cesse jusqu'à ce que j'aie trouvé une reine aux cheveux aussi noirs que l'aile de ce corbeau, aux joues aussi blanches que la neige, et les lèvres aussi rouges que ces baies."
Il se remit en route, tagada-clop, tagada-clop, et il arriva bientôt devant l'enclos d'une église. Quatre hommes étaient assis à l'entrée du cimetière, à côté d'un cercueil ouvert, où était couché un homme mort, avec la neige qui tombait sur lui. "Pourquoi ne l'enterrez-vous pas ?" demanda le roi solitaire, et les hommes répondirent en pleurant : "Hélas, nous n'avons pas assez d'argent pour un enterrement."
Le roi solitaire dit : "Il doit être enterré, ce n'est que justice", et il plaça cinq pièces d'or sur la poitrine du mort, puis il repartit, tagada-clop, tagada-clop. Il galopa et galopa, et comme la nuit tombait, il se rendit compte qu'il devait trouver un endroit où passer la nuit. Un peu plus tard, il aperçut quelqu'un qui agitait une lanterne dans l'obscurité. C'était un homme aux cheveux roux entièrement vêtu de cuir qui portait un sac sur son dos. Il dit : "Mon seigneur, je sais où vous pouvez reposer votre tête cette nuit, et où vous trouverez également ce que vous désirez de tout votre cœur."
Le roi solitaire invita l'homme aux cheveux roux à monter en croupe, et l'homme le guida jusqu'à un grand château tombant en ruine au bord de la mer. Ils frappèrent à la porte, toc-toc-toc, et un roi très âgé leur ouvrit. Il portait une grande barbe blanche et il les invita à rester pour la nuit et à partager avec lui son pain de viande.
Tandis que le roi solitaire et l'homme aux cheveux roux mangeaient leur pain de viande, une très belle jeune fille descendit l'escalier d'un pas léger, tap-tap-tap, et ses cheveux étaient aussi noirs que l'aile d'un corbeau, ses joues aussi blanches que la neige, et ses lèvres aussi rouges que des baies. Pour le roi solitaire, waouh ! ce fut le coup de foudre.
Il demanda au vieux roi s'il pouvait prendre sa fille pour épouse. Le vieux roi accepta, mais la fille dit : "Vous m'aurez pour épouse à condition de garder soigneusement ce peigne et de me le rendre au matin."
Elle donna au roi solitaire un peigne en argent et il le mis dans sa poche.
Cependant, alors qu'ils s'apprêtaient à se coucher, l'homme aux cheveux roux demanda : "Avez-vous toujours le peigne, maître ?" et lorsque le roi solitaire chercha dans sa poche, il s'aperçut que le peigne avait disparu. Il se coucha, très affligé, et il pleura tellement qu'il trempa son oreiller. Un sacré pleurnicheur.
Mais l'homme aux cheveux roux ouvrit son sac, et il en sortit un manteau noir, des chaussures futées, et une épée faite de lumière blanche étincelante. Il se rendit en bas sur la pointe des pieds, et il vit que la fille du vieux roi sortait du château, le peigne en argent dans sa main. Il la suivit jusqu'au rivage. Là, elle jeta un coquillage dans l'eau, splash, et le coquillage devint une barque magique. Il fit la même chose, splash, et il rama tandis qu'elle se dirigeait vers une île pleine de rochers.
Sur l'île, à côté d'un feu aux flammes tremblotante, était assis un géant. La jeune fille lui donna le peigne en argent et lui dit ce qu'elle avait fait. "Mets-le dans ton coffre aux trésors", dit-elle, et "Garde-le en sécurité pour moi." Le géant laissa tomber le peigne en argent dans son coffre aux trésors, mais l'homme aux cheveux roux l'attrapa avec la pointe de son épée et le ressortit avant que le géant ait eu le temps de fermer son coffre à clé, puis il regagna la terre ferme à force de rames.
Le matin suivant, le roi solitaire tendit le peigne en argent à la jeune fille, et elle fut tellement furieuse qu'elle brisa toutes les assiettes sur la table du petit déjeuner, bing ! bing ! bing ! Elle dit : "Vous ne m'aurez pas pour épouse à moins de garder en sécurité ces ciseaux et de me les rendre demain matin."
A nouveau, ce soir-là, le roi solitaire s'aperçut que les ciseaux avaient disparu de sa poche. Bou-hou, bou-hou. Mais, à nouveau, l'homme aux cheveux roux mit son manteau noir et ses chaussures futées, suivit la jeune fille jusqu'au rivage, et rama vers l'île. Il saisit les ciseaux avec la pointe de son épée au moment où le géant les laissait tomber dans son coffre aux trésors, et il les rapporta au roi solitaire.
Le lendemain matin, la jeune fille fut tellement en colère qu'elle brisa toutes les assiettes sur la table du petit déjeuner, ainsi que toutes les chaises, bing ! crac ! bing ! et elle jeta par la fenêtre toute une boîte de Cheerios.
Le troisième jour, elle dit au roi solitaire : "Très bien... je vous épouserai demain matin si vous m'apportez les dernières lèvres que j'embrasserai cette nuit." Le roi solitaire pensa que c'était probablement sans espoir, mais il accepta cette condition.
La nuit venue, l'homme aux cheveux roux mit son manteau noir, et ses chaussures futées, et il la suivit jusqu'au rivage, puis jusqu'à l'île du géant. La jeune fille dit au géant : "Embrasse-moi ainsi tes lèvres seront les dernières lèvres que j'embrasserai cette nuit."
Une fois que la jeune fille fut repartie vers la terre ferme, l'homme aux cheveux roux sortit son épée de lumière blanche et trancha la tête du géant d'un seul coup, tchaac ! Il laissa tomber la tête dans un sac et la rapporta au roi solitaire, qui la cacha sous son lit.
Le matin suivant, la jeune fille dit : "Je présume que vous n'avez pas les dernières lèvres que j'ai embrassées cette nuit." Mais le roi solitaire lança la tête du géant sur la table du petit déjeuner et déclara : "Les voici, et ne sont-elles pas très laides ?" La jeune fille brisa toutes les assiettes sur la table, bing ! bing ! bing ! et lança par la fenêtre une assiettée d'œufs sur le plat et le chat. Mais elle avait donné sa parole, et elle fut obligée de l'épouser.
L'homme aux cheveux roux dit : "Emmenez-la dans la forêt, attachez-la à deux arbres, et battez-la avec des branchages, parce qu'elle a six démons en elle." Et c'est ce qu'il fit, et lorsqu'il la battit, de grandes boules de feu sortirent de sa bouche en grondant.
Mais lorsque le feu fut parti, elle était devenue la jeune fille la plus gentille que l'on ait jamais vue, et il la détacha et ils se marièrent.
Le roi solitaire dit à l'homme aux cheveux roux : "Je dois te payer pour tes services." Mais l'homme aux cheveux roux répondit : "Vous l'avez déjà fait. J'étais l'homme dans le cercueil, mort et non enterré, et vous avez payé pour mon enterrement, et c'était la seule façon dont je pouvais vous remercier."

~ Conte Mastertonien ~
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Corbeau est un charognard, qui prend la chance des gens. Il la prend morceau par morceau. D’abord vos moyens d’existence, ensuite votre maison, ensuite les êtres qui vous sont chers, enfin votre bonheur. Puis, lorsqu’il ne vous reste plus de chance, il vous prend, il vous met en pièces, il vous éventre, et il se nourrit de votre désespoir absolu. Il existe des dizaines d’histoires sur Corbeau, des centaines, mais dans chacune d’elles, c’est la détresse humaine qui le fait saliver.
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Elle continuait de regarder fixement la Porsche. C’était le même modèle, même année, même couleur, que James Dean conduisait lorsqu’il avait trouvé la mort en Californie en 1955. James Dean avait été le héros de David, et David avait eu une Porsche quasi identique à celle-ci. Et il était mort dedans, lui aussi.
Et maintenant elle était là, garée dans Salmon Street, devant la librairie préférée de David, comme si les pages du calendrier étaient revenues six ans et demi auparavant, comme si David était toujours vivant et se trouvait à l’intérieur de la librairie, en train de feuilleter des livres au rayon cinéma.
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L’ennui, c’est que les chiffres ne ressemblaient pas à des chiffres. Elle trouvait que les 2 ressemblaient à des cygnes, les 4 à des voiliers, les 8 à des sabliers, et comment pouvait-on additionner des cygnes, des voiliers et des sabliers ?
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- "Lorsqu'on a affaire à des parents agressif. Se lever, ne pas faire de gestes brusques. Regarder le parent agressif dans les yeux mais pas d'une manière provocante. Garder les mains le long du corps. Parler d'une voix apaisante en répétant les mêmes mots et essayer de faire appel au sentiment de responsabilité et d'amour-propre du parent agressif. Par exemple, ne pas dire "quelle sorte de parent pensez-vous être ?" Dire plutôt : "Je sais que vous êtes un très bon parent et je suis sûr que vous voulez le bien-être de votre enfant.""
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Catherine Dufour, l'autrice du Goût de l'immortalité (Prix Rosny aîné 2006, Grand Prix de l'Imaginaire 2007), d'Entends la nuit (Prix Masterton 2019) et, plus récemment, de Danse avec les lutins (Prix Imaginales 2020) nous explique en quoi l'ordre des Bene Gesserit est… une… plantade. En gros. Si, si.
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