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J'ai déjà lu plusieurs romans de la série 'Meurtriers sans visages' de Peter May, qui met en scène Enzo McLeod, médecin légiste italo-irlandais installé à Cahors qui résout de vieilles enquêtes dans le cadre d'un pari.

Après l'avoir suivi dans le Gaillacois avec Terreur dans les vignes, sur le Larzac, retrouvé en route depuis l'Espagne jusqu'aux quatre coins de la France dans La trace du sang, et découvert dans le premier opus de la série, 'Le mort aux quatre tombeaux', je viens de me plonger avec délices dans 'Un alibi en béton', qui clôt cette série.

Comme dans les volumes précédents, Enzo recherche le coupable d'un meurtre non élucidé, cette fois celui-d'une jeune fille bordelaise disparue en 1989 et dont le cadavre avait été mis au jour à l'été 2003, lorsque la canicule avait fait baisser le niveau de la mare où son cadavre avait été jeté.

Un coupable idéal croupissait en prison, mais était-ce le bon assassin ?

Enzo reprend l'enquête, bien qu'empêtré dans ses affaires familiales et amoureuses ...

Un roman très plaisant, qui m'a encore fait apprécier la bienveillance du héros qui trouve des excuses m^me à ses pires ennemis et qui dans ce dernier ouvrage montre encore toute la tendresse qu'il éprouve pour ses enfants.

Un héros qui va me manquer ... mais un auteur dont il me reste encore à découvrir de nombreux ouvrages, dont justement le dernier opus de la trilogie de l'Homme de Lewis
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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J'ai fini le 6eme tome de la série "assassins sans visage" de Peter May. Ce tome s'appelle "un alibi en béton" et est paru dans l'édition que j'ai lu chez A vue d'oeil (et aux Editions du Rouergue auparavant).
Dans ce tome, on retrouve Enzo Macleod, le scientifique écossais, pour une nouvelle enquête issue du livre de Roger Raffin, qui est maintenant lié à lui par le bébé qu'il a eu avec la fille d'Enzo.
Enzo s'attaque à l'enquête sur le décès de Lucie Martin.
Sa mort a été imputée a un serial killer qu'elle connaissait, mais elle n'a jamais pu être prouvée...
Le doute persiste donc et Enzo Macleod va poursuivre cette enquête en ouvrant les champs d'investigation plus largement qu'ils ne l'avaient été lors de la découverte du corps de la jeune fille.
En parallèle, le tueur qui a déjà tenté de le tuer a plusieurs reprises s'en prend maintenant a sa fille Sophie en l'enlevant... avec toujours dans l'optique qu'Enzo arrête ses enquêtes.. Forcément, ça va lui donner encore plus de rage a parvenir a la résoudre.
Une ancienne connaissance refait aussi une apparition surprise, pour le plus grand bonheur du scientifique écossais.

J'ai réservé le dernier tome, vivement que je sache la fin....
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J'avais beaucoup aimé la série écossaise et son ambiance parfaite. Lue il y a quelques années, il me reste le souvenir du vent, des oiseaux marins, la rudesse des personnages, le caractère somptueux des paysages.
Ici, rien de tel.
C'est plat. C'est fade. Peu crédible. Un petit roman vite torché. On se croirait dans une de ces séries policières régionalistes de l'été.
Une série franchouillarde à laquelle il n'aurait été alloué qu'un budget très limité : allez Peter, les personnages on s'en cogne et mets nous du pays. Place nous aussi un peu de pinard . Que diable, t'es dans les vignes.
A en faire aussi peu, Enzo Mac Leod n'est qu'un vieux beau sur le retour, même pas attachant. Plutôt irritant.



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Notre cher Enzo continue à se pencher sur les crimes non résolus du livre écrit par Raffin, qui est donc devenu le père de son petit-fils. Ce n'est pas pour cela que les relations ente les deux hommes sont devenues plus cordiales… Dans cette enquête, les deux filles d'Enzo sont présentes et surtout Sophie. Sophie qui au début du livre organise une petite fête pour l'anniversaire de son père à laquelle elle souhaite convier tous ceux qui ont eu de l'importance dans la vie de son père. de fait dans le roman on croisera beaucoup de personnes de la vie de ce dernier…
Mais surtout il y a l'enquête : Un dossier qui en devient six…
Et une fois de plus je n'ai pas lâché le roman. L'écriture est fluide, les personnages attachants, j'aime les univers de Peter May, que les crimes se déroulent en Ecosse, en Chine, en France ou ailleurs…
Alors je ne vais pas tarder à attaquer le petit dernier… C'est toujours un excellent moment de lecture, avec du suspense, de l'humanité, un petit sourire aux lèvres…
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Sans la mise en avant de ce roman par mon libraire, je n'aurais sans doute pas encore découvert Peter May. Pourtant cet auteur de polar a écrit de nombreux romans et reçu plusieurs récompenses. Étonnant donc que je ne l'ai encore jamais vu passer dans la sphère Bookstagram.
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Bien qu'Un alibi en béton soit le sixième opus d'une série, il peut se lire indépendamment des autres romans. Ce fut mon cas et cela ne m'a gêné aucunement dans la compréhension du récit.
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Le personnage principal (Enzo Macleod) s'est fixé comme objectif de résoudre des crimes qui n'ont jamais été résolus. Tel est le cas du meurtre de Lucie dont le principal suspect bénéficiait d'un alibi en béton. L'enquête est donc à reprendre du début...
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J'ai bien apprécié le spitch de départ. Au fil de la lecture, nous allons de découverte en découverte grâce à Enzo, personnage que j'ai beaucoup apprécié de par sa personnalité, son vécu et sa relation avec ses filles. Cerise sur le gâteau pour moi, l'histoire se déroule dans le sud-ouest.
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L'intrigue est bien ficelée et je n'ai rien vu venir concernant à la fois la résolution de l'enquête et les autres révélations que va découvrir Enzo (et qui sont de taille!!!). La quatrième de couverture parle de boite de Pandore et cela est bel et bien le cas.
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Un alibi en béton devrait séduire les amateurs (trices) de polars.
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Coup de griffe , un auteur que je suis habituellement et qui écrit normalement fort bien cf la trilogie écossaise . Mais là c'est extrêmement médiocre , sans écriture, sans saveur, poussif … ce ne peut pas être lui qui a écrit cela … ou comment prendre le lecteur pour un blaireau …
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Après s'être concentré sur une intrigue « culinaire », Enzo McLeod s'intéresse à l'affaire Lucie Martin, disparue en 1989 en même temps que trois autres filles, prostituées. Régis Blanc s'était alors accusé du meurtre. Pour autant, rien n'est moins sûr… et alors qu'Enzo se rapproche de la vérité sur cette affaire, sa fille et son beau-fils courent un grave danger.

Il est dommage que nous ayons découvert cette saga des « Assassins sans visage » par le dernier tome sorti car le twist final en était moins savoureux. Cependant, Peter May sait jouer avec nos nerfs et nous propose un récit correctement ficelé. Si la fin de l'affaire Martin semble terne, l'histoire d'Enzo devient encore plus puissante. Un jeu de manipulation que l'on n'aurait jamais deviné (sauf si, encore une fois, on avait pas démarré par la fin 😅)

Espérons qu'un tome 8 apparaisse, à moins que « La Gardienne de Mona Lisa » ne soit la conclusion…
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Curieux polar que celui-ci ! On débute logiquement par l'enquête consécutive à la découverte d'un cadavre dans un lac partiellement asséché. Comme d'habitude dans ce genre littéraire, on dérive très vite sur diverses pistes, fausses ou exactes. Mais ce qui n'a rien d'habituel, c'est qu'on oublie presque complètement le problème initial, qui n'est repris que dans les toutes dernières pages avec une solution sans grand rapport avec tout ce qui précède. C'est assez déstabilisant quand, comme moi, on ne cesse de se poser la même question au fil des 400 pages : Qui a tué Lucie Martin ?

Le récit est bien construit, varié et original. L'implication possible des proches de l'enquêteur est déroutante mais ajoute au suspens.

Un très bon livre au final.
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Le cadavre d'une jeune femme réapparait après avoir séjourné des années dans un lac.
Un sexagénaire écossais, plutôt sympathique, décide d'élucider ce cold case.
L'histoire est peu crédible, les ficelles très grosses, son histoire familiale qui occupe une grande partie du roman peu intéressante , les aventures des personnages peu crédibles...
L'ensemble est bien écrit, plutôt gentillet mais c'est totalement décevant.
J'avais lu Les disparus de Glasgow et c'était une belle découverte.
Celui-ci n'a pas beaucoup d'intérêt.
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Une ancienne affaire remonte à la surface. Un crime non-élucidé. En 1989, Lucie Martin, étudiante à Bordeaux a disparu sans laisser de traces. Malgré tous les efforts de la police, jamais son corps n'a été retrouvé. En 2003, alors que la canicule frappe la France, un promeneur découvre son cadavre dans un lac asséché du Lot-et-Garonne, non loin de la propriété familiale. Des indices font croire à un meurtre et ceux-ci relient la victime à Régis Blanc, un ancien détenu charismatique, à nouveau sous les verrous et suspecté de l'assassinat de trois prostituées qui besognaient pour lui. Est-il le coupable idéal ou y a-t-il maldonne à son sujet ? le détective Enzo McLeod décide de remonter le fil du temps et d'investiguer sur ce qui, pour lui, ressemblerait davantage au modus operandi d'un serial-killer. En jouant des coudes et en bousculant la routine, il se rend à l'évidence que cette enquête sera loin d'être sereine, prompte à réveiller de vieux fantômes et à raviver la douleur des parents de la malheu-reuse. Puis, à son insu, il met les doigts dans un engrenage qui pourrait lui être fatal et découvre qu'on ne doit jamais ouvrir la boîte de Pandore, sous peine d'en subir les déflagrations.
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