Le cercle

une fois de plus je suis totalement conquise par l'enquête du commandant Servaz avec laquelle je me suis fait mener en bateau … un vrai bonheur de lecture
j'ai hâte de découvrir la suite
pur les fans de thriller vous pouvez vous lancer dans les romans de Bernard Minier les yeux fermés !

Je poursuis ma lecture de la série consacrée au policier Martin Servaz par Bernard Minier en reprenant, tant bien que mal, un certain ordre chronologique… Je rappelle que j'ai déjà lu glacé, puis La Vallée, Nuit et enfin Soeurs.
Avec le Cercle, je reprends la saga au deuxième opus.

Juste après glacé, Bernard Minier se sert, encore une fois des conditions météorologiques. Après l'hiver pyrénéen, nous voilà confrontés à la canicule et aux orages d'été… Au fil des pages, quand on ne transpire pas, on se mouille !
Ce que j'aime, chez Bernard Minier, c'est de ne pas être trop dépaysée, de me sentir près de chez moi, à Toulouse et dans les environs. Pour ce roman, l'auteur a imaginé une petite ville universitaire du Sud-Ouest…
J'apprécie aussi la culture de son personnage principal et l'ensemble des problématiques évoquées en marge des intrigues policières sur les conditions de travail de la police et de la gendarmerie, sur la situation pénitentiaire, sur les passe-droits dont bénéficient les parlementaires, etc…

Que dire de l'intrigue sans risquer de divulgâcher ? Tout commence par l'assassinat d'une professeure de classes préparatoires dont le cadavre est découvert étrangement mis en scène. Tous les soupçons se portent sur un étudiant, le fils d'un amour de jeunesse de Martin Servaz… En effet, c'est dans ce roman qu'apparaît Marianne.
Les assassinats s'enchainent, l'ombre d'un tueur en série en cavale plane sur l'enquête. Martin Servaz n'est pas près d'oublier le redoutable et retors Julian Hirtmann…
Une sombre histoire de manipulation et de vengeance dont les ficelles entremêlées ne se délieront qu'à l'ultime dénouement. Personnellement, j'adore quand je ne vois rien venir.

Les personnages prennent de la profondeur ; nous en apprenons davantage sur la vie privée des un(e)s et des autres, notamment de la gendarme Irène Ziegler. Nous faisons la connaissance de la fille de Martin Servaz, Margot, une jeune femme perspicace et délurée.

Évidemment, je retrouve les mêmes schémas narratifs : les proches de Martin Servaz sont en dangers, les procédures ne sont pas toujours respectées pour palier à l'urgence des situations, Martin paye beaucoup de sa personne, jusqu'à finir à l'hôpital… Mais j'ai signé le pacte de lecture.

Peut-être, selon moi et en l'état actuel de mes lectures, l'un des meilleurs de la série.

Encore une fois, j'avais choisi la version audio, lue par Hugues Martel, un narrateur dont j'apprécie beaucoup le travail.

Lien : https://www.facebook.com/pir..

La lecture de ce livre m'a littéralement scotchée.
C'est le 2ieme tome de la série et pour ma part, il m'a encore plus emballée que le premier.
Tout d'abord, par ce prologue qui vient s'immiscer par 3 fois dans l'histoire. On ne comprend pas vraiment le lien entre les 2 et le suspense dure jusqu'à la fin.
Un très bon thriller car plein de fausses pistes, de rebondissements et de doutes de la part de l'enquêteur.
Je le conseille aux amateurs de policier!

Deuxième enquête du commandant Servaz. Nous l'avions quitté dans la neige, après la fuite de Hirtmann, le tueur en série qui partage avec lui un goût prononcé pour la musique de Mahler. Nous le retrouvons deux ans plus tard ou presque, à Marsac, quand il est contacté par une des femmes de sa vie. le fils de cette dernière vient de se faire arrêter pour le meurtre particulièrement horrible d'une de ses profs de fac.

Encore un très bon cru et toujours un Martin Servaz sur le fil, au bord du précipice, une fragilité qui se dévoile un peu plus encore. Nous faisons aussi plus connaissance avec Margot, sa fille, qui fréquente le même établissement que celui dont il va tenter de prouver l'innocence.
Question enquête, c'est encore un écheveau de ramifications diverses et variées, qui emmène les policiers et le lecteur dans leur sillage, sur plusieurs pistes. Une nouvelle occasion pour Minier d'égratigner le monde politique; l'auteur n'ayant pas sa langue en poche. Nous avons aussi droit à quelques interludes où l'on découvre qu'une femme est séquestrée, on ne sait où, on ne sait par qui... Et surtout, on ne voit pas bien le lien avec l'enquête en cours. Patience, patience,.... il faudra arriver assez loin dans ce pavé de presque 800 pages avant de faire les premières connexions.

Un deuxième tome dont la fin appelle irrémédiablement à la lecture du troisième... Bernard Minier sait tenir son lecteur en haleine !

J'avais beaucoup aimé « Une putain d'histoire » et découvert avec ce thriller, une plume intelligente et agréable à lire, un auteur vers lequel je m'étais promis de revenir. C'est chose faite ! Bon, je me suis trompée en glissant non pas « glacé » dans ma valise, mais « Le cercle », soit le deuxième opus des enquêtes du Commandant SERVAZ… de nombreuses références sont faites dans « Le cercle » à cette première enquête mais cela reste néanmoins compréhensible ! J'espère juste que cela ne m'aura pas trop dévoilé de détails sur l'issue d'un livre que je pense lire très bientôt ! ;-)
Bon, revenons à ce page-turner qu'est « Le cercle »… parce que je dois bien l'avouer, ce roman, commencé au début de mes vacances, m'a offert quelques nuits courtes pour cause de lecture tardive ! Car j'ai vraiment dévoré ces 800 pages où le lecteur plonge avec le Cdt SERVAZ dans l'enquête autant que dans ses souvenirs et les ombres de son passé. L'histoire et l'intrigue sont bien construites, les différents personnages, intéressants et attachants. J'ai particulièrement aimé découvrir le Cdt SERVAZ, flic instruit et érudit, féru de littérature et de musique classique mais surtout flic torturé au passé sombre et douloureux, que l'on aimerait pouvoir soulager de ses peines et guérir de ses démons…
Je ne retiens qu'un point négatif à ce sympathique thriller : quelques passages que j'ai trouvé inutiles au livre, que ce soit pour le développement de l'histoire ou celui des personnages. Mais ce n'est vraiment qu'un détail au regard du plaisir que m'a procuré cette lecture ! Donc, vivement « glacé » et « N'éteins pas la lumière » !

Un roman addictif et plein de rebondissements. Difficile de sortir de ce livre pour continuer mes activités quotidiennes. J'ai adoré suivre l'évolution du commandant Servaz et on se prend vraiment d'amitié pour cet homme vraiment attachant. Bernard Minier nous livre ici un thriller palpitant.
Bonne lecture à tous et à toutes.

Avec le Cercle de Bernard Minier on suit Martin Servaz dans ses péripéties en proie avec le fantôme de Hirtman... la suite de glacé.

Le meurtre d'une prof universitaire et un étudiant qui se trouve là... qui ne sait rien, qui clame son innocence... Des pistes toutes plus floues les unes que les autres et bel et bien mêlées dans une sordide histoire qui remonte le cours de l'histoire des années plus tôt. En parallèle, la présence de Julian Hirtman... celui qui hante Servaz depuis son enquête à Saint Martin. Mais qu'on se s'y trompe pas... les conclusions hâtives ne sont pas les bienvenues.
Si c'était aussi simple ce ne serait pas signé Minier

S'il n'est pas utile de lire les ouvrages dans l'ordre pour apprécier la natation, je regrette d'avoir enchaîné si tôt avec Soeurs. En effet, une intrigue m'était révélée de fait. Néanmoins, si je fais abstraction de ce que j'ai compris en ayant lu Soeurs, je dois bien avouer que la surprise et la maîtrise de l'intrigue sont là. Quelle récit génial de suspense! Les rebondissements et personnages complexes sont captivants et on ne lâche plus cet ouvrage tant on veut avancer pour comprendre l'entièreté de ce palpitant thriller.

J'aime l'écriture de Bernard Minier car il est suffisamment fin pour amener subtilement les pièces du puzzle sans pour autant révéler le fond.
On n'est pas perdu mais réellement plongé avec les personnages dans un engrenage saisissant de machiavélisme... Ce qui me plaît également avec cet auteur, ce sont les thèmes qui relèvent finalement de l'injustice, la vengeance, l'implication émotionnelle, le retour en arrière sur sa vie et les fardeaux que l'on porte qui nous construisent... aussi lourds soient-ils.

Ai-je besoin de préciser que Bernard Minier a une place dans mon coeur d'amatrice de Noir 🖤

Une professeure est retrouvée morte chez elle ligotée dans sa baignoire. Un de ses élèves se trouve sur le lieu du crime, il s'avère être le fils de l'ancienne petite amie de Martin Servaz. Ce dernier est sur le coup mais doute de sa culpabilité pourtant les preuves semblent contre lui…
Je retrouve avec plaisir le commandant Martin Servaz et sa fine équipe pour cette seconde enquête. Une lecture très addictive et bien écrite, l'auteur sait tenir son lecteur en haleine même si je trouve que peu de choses se passent dans les 300 premières pages. Ensuite tout s'emballe, les rebondissements et les révélations s'enchainent et j'ai eu du mal à lâcher ce thriller.
Une intrigue bien ficelée où des moments du présent, du passé et même du futur se conjuguent avec virtuosité, des personnages complexes que j'aime découvrir un peu plus à chaque page et l'ombre du tueur en série Hirtmann qui plane sur cette enquête. J'ai hâte de découvrir sa prochaine enquête et retrouver tout ce beau petit monde !

J'avais lu glacé il y a plusieurs années et, je dois bien l'avouer, il n'était plus très frais dans ma mémoire et comme le Cercle fait beaucoup référence à glacé, et que je n'en avais que de vagues souvenirs, c'était plutôt délicat de temps à autre.

Minier reprend donc son Commandant Servaz et entame, pendant un peu moins de 800 pages une sombre histoire d'une prof retrouvée morte dans sa baignoire, en compagnie d'un ado sans aucun souvenir.

Ici, plus de montagne mais place à Marsac, une commune qui abrite une vie étudiante très intense ainsi que la meilleure prépa littéraire du coin. Nous voilà plongés dans un établissement scolaire d'élite, fréquenté par la fille de notre commandant ainsi que par lui-même dans sa jeunesse. le tout, enclavé dans une histoire d'amour de de jeune adulte avec la belle Marianne et saupoudrée des relents d'Hirtmann, le célèbre tueur de glacé.

L'enquête est dynamique et les policiers sont attachants. Un peu trop de souvenirs à mon goût autour de la relation avec Marianne, ce qui crée quelques longueurs mais ce n'est pas trop dérangeant. le livre se lit vraiment bien et on en dévore les 800 pages assez facilement et sans s'en apercevoir.

Je conseille néanmoins de bien avoir à l'esprit glacé pour pouvoir en profiter pleinement, on peut très bien comprendre l'histoire sans l'avoir lu ou en l'ayant fait il y a longtemps mais je pense qu'on passe à côté de moments très intenses et c'est dommage.

Pour être un peu plus précise : un soir, Martin Servaz va recevoir un appel de Marianne Bokhanovsky, la femme qu'il pensait être la femme de sa vie. Son fils, Hugo, s'est retrouvé sur les lieux d'une scène de crime : Claire Diemar, professeure de l'école de Marsac, est retrouvée morte dans sa baignoire, entièrement ligotée, avec une lampe torche enfoncée dans la gorge. Dehors, Hugo est face à la piscine, dans laquelle flottent des poupées. Une ambiance plutôt étrange... Plus étrange encore, lorsque Servaz se rendra sur les lieux, il remarquera qu'un CD de Gustav Mahler, le musicien préféré de Julian Hirtmann (je vous laisse lire le tome 1 pour comprendre qui il est) est présent dans la demeure de la victime, Claire Diemar...

Pendant ce temps, Margot, la fille de Servaz, est étudiante à l'école de Marsac, et surprend d'étranges conversations ... Hugo semble faire partie d'une organisation nommée «le Cercle», une organisation prête à tout pour le faire libérer. Qui sont-ils?

Bernard Minier pourrait bien être le Harlan Coben français. J'ai lu les quelques 550 pages en 2 jours, ne pouvant m'arrêter de lire. Encore une fois, on s'attache énormément aux personnages : on retrouve bien entendu le fidèle Servaz, mais on rencontre également d'autres personnages, comme Marianne, qui promettent de rester dans les parages... à travers ce nouveau thriller, l'auteur joue avec nos nerfs : une ambiance angoissante, une organisation secrète intrigante, des suspects qui semblent tous être coupables... Une grande réussite pour ma part.